Rousseau Et Descartes Et Le Progrès

s'entourent de plus de 250 collaborateurs et attirent 3500 souscripteurs. A/ La philosophie des Lumières 1) Raison, Nature, Progrès La source de cette philosophie se trouve chez Descartes et chez l'anglais Locke. Les philosophes du XVIIIºs. ont une foi absolue dans la raison (l'intelligence humaine). La nature est source infinie de justice et de bonté. Ils croient au progrès indéfini de l'humanité vers le bonheur. Cette notion de bonheur attire la bourgeoisie. La mort comme la vie est considérée

pas naturelle mais acquise. ex  : les techniques de guerre évolue entre la première et la seconde guerre mondiale. Technique = constitue un critère de valeur d’une civilisation(= progrès accomplis par l’humanité) . Par la maîtrise de la nature par les humains, elle permet d’améliorer la vie humaine. BACON : Le progrès que l’humain développe depuis plusieurs année à travers l’avancement des sciences et des techniques permet d’atteindre l’idéal que les hommes se fixent, ils pourront donc arriver

Comment ces idées deviennent le patrimoine mondial de l’humanité ? II. La diffusion des Lumières Ménétra = est un artisan vitrier, est un homme du peuple, est un homme des Lumières, a entendu parler de Rousseau, Voltaire et Diderot, se définit comme philosophe dans son journal intime. C’est un « Rousseau des ruisseaux » (génération de jeunes écrivains, attirés par le prestige nouveau de l’homme de lettres, mais obligés pour survivre de rédiger des libelles scandaleux). LES LUMIERES COMME SYSTEME DE PENSEE

télévision, internet, livres, maisons de la culture, etc., accroissent indéfiniment la capacité de diffusion. Nous pourrions nous demander alors quelle est la place de l’art dans notre société ? Comment a-t-elle évoluée par rapport au siècle du progrès autant technique que de la pensée, comme le XVIIIème siècle ? Dans un premier temps nous verrons quelle étais la place de l’art au XVIIIème siècle, siècle des Lumières et des arts, pour voir ensuite, en s’appuyant sur la presse récente, quelle

perfection d'où beaucoup puisent leur inspiration (La Fontaine et Esope; Racine et Sénèque; Molière et Plaute). La prééminence accordée à la raison, faculté partagée par tous les hommes, et qui doit contrôler l'imagination (Le Discours de la Méthode de Descartes est une oeuvre fondatrice du classicisme). La mise en place de règles formelles eszt nourrie par cette place accordée à la raison (règle des trois unités) Le classicisme définit à la fois un idéal esthétique et un idéal de type humain l'honnête

fondement du pouvoir politique selon Locke et Hobbes. 3. La critique par Rousseau des conceptions de l'état de nature de Hobbes. 4. L'impossibilité selon Rousseau de la guerre à l'état de nature. 5. L'insuffisance de l'argument empirique de Hobbes. 6. L'accord de Hobbes et de Rousseau sur l'idée du fondement social de la moralité. 7. Le problème du droit naturel selon Rousseau. 8. Le contrat social et l'Etat selon Rousseau. Conclusion : l'insuffisance et le danger des conceptions de Hobbes

Lilia HK DISCOURS SUR L'ORIGINE ET LES FONDEMENTS DE L'INEGALITE PARMI LES HOMMES Jean-Jacques Rousseau Discours publié en 1753 suite à la question de l'Académie de Dijon : "Quelle est l'origine de l'inégalité parmi les hommes et est-elle autorisée par la loi naturelle?" Ce discours suit le Discours sur les sciences et les arts (1751). Dédicace à la République de Genève : Rousseau est fier d'y être citoyen. Il fait l'éloge de ses concitoyens : la formule "Magnifiques, très honorés et

: http://www.etudes-litteraires.com/rousseau-discours-inegalite.php#ixzz1eboJvS5H ROUSSEAU “ Ce sont le fer et le blé qui ont civilisé les hommes et perdu le genre humain ”. (p.101). Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755) http://www.webphilo.com/reponses/voir.php?numero=453058845&reponses=23&keyword=pascal&categorie=sujets Il n'y a rien qu'on ne rende naturel, il n'y a naturel qu'on ne fasse perde. " (Pascal) Thème : Nature et culture

connaissance des causes qui nous déterminent. Si donc lutte entre liberté et passions il y a, il ne s’agit pas d’un combat déclaré entre deux parties en présence dès le départ. La liberté comme absence de contrainte ne sera atteinte qu’au terme des progrès de la raison sur le terrain de l’illusion. Transition Si donc les passions paralysent la volonté et la raison, il faut effectivement combattre les passions pour être libre. Mais s’agit-il alors d’éradiquer toutes les passions sous prétexte qu’elles

Certes, cela ne signifie pas que la résignation soit nécessaire. Elle peut ne pas être. Il peut exister des individus candidats au martyre qui se soulèvent. Mais il n'en reste pas moins vrai que la prudence est alors de se résigner. Comme le souligne Rousseau, qui n'était pourtant pas un adepte de la résignation, se soumettre au plus fort n'est pas tout à fait un acte de nécessité mais n'est pas non plus un acte de volonté. C'est un acte de prudence. J'accepte parce que je n'ai pas vraiment le choix ou