Rousseau Déterminisme Liberté

personne comme si le protagoniste racontait ses propres aventures, à commencer par sa généalogie, contrairement à ce qu’est censé faire un chevalier. Le pícaro apparaît dans le roman dans une double perspective : comme auteur et comme acteur.  3. Déterminisme : bien que le pícaro tente d’améliorer sa condition sociale, il échoue toujours et restera toujours pícaro, c’est pourquoi la structure du roman picaresque est toujours ouverte. 4. Idéologie moralisante et pessimiste : Le picaresque est très influencé

développement de cette même culture (en particulier techno-scientifique) met en cause sa place au sein même de la nature. Enjeux : Nature (déterminisme biologique) et culture (éducation, tradition, histoire) Savoir (science) et pouvoir (technique) Intérêt anthropologique (question qu’est-ce que l’homme ?) Les moyens et les fins (place de l’homme, morale, liberté) La spécificité de l’homme : la culture La condition fondamentale : « l’homme est un roseau, le plus faible de la nature, mais

l’individualisme : * L’humanisme Le premier élément de l’Humanisme est la liberté. Rousseau : « l’Homme apparait comme le seul être pour lequel ni l’histoire ni la nature ne saurait constituer des codes ». On ne peut pas se tourner vers ces deux sources de vérité pour apprendre comment se comporter. L’humanité est absolument libre parce que l’histoire c’est l’état de tous les savoirs dont on hérite (la culture) et la nature (déterminisme naturel) c’est ce qui peut définir notre condition humaine. Sans ces

archives. Point de rupture : Barthes qui abandonne le schéma narratif. Michon : fragmentation des Vies minuscules, réflexion sur la mémoire et l’archive (vie de gens très ordinaires). - Murat note le déplacement d’une éthique individuelle (Augustin, Rousseau), où l’autobiographe dote le récit de sa vie d’une fonction explicative, d’aveu et d’apologétique, à une éthique collective (Michon s’implique par métonymie secondairement dans les vies d’autrui). b) pacte et transaction : la part du lecteur

construction sociale de la réalité : Berger et Luckmann - la société n’existe pas, elle est un « construit » des sociologues IV) La définition de l’objet et les conceptions de l’homme en société (paradigmes) : holisme ou individualisme, déterminisme ou liberté de l’homme en société ? -L’exemple de l’accès aux études supérieures et de la mobilité sociale -Le postulat de la rationalité : R. Boudon : « le sociologue a avantage à voir dans l’acteur social un individu rationnel ». - Critiques de la

phrase de ce livre est d’importance : « Quel que soit le concept qu’on se fait, du point de vue métaphysique, de la liberté du vouloir, ses manifestations phénoménales, les actions humaines, n’en sont pas moins déterminées, exactement comme tout événement naturel, selon les lois universelles de la nature. » On comprend ainsi qu’il y a des « manifestations phénoménales » de la liberté et que l’histoire va en tracer le récit : « L’histoire se propose de rapporter ces manifestations, malgré l’obscurité

tendance à opposer la loi et la liberté[->0] : les lois ou le droit[->1] contraindraient, donc annuleraient la liberté. Mais de quelles lois parlons-nous ? S’agit-il des lois juridiques ? Des lois physiques ? Des lois morales ? Des lois psychologiques ou historiques, s’il en est ? Définissons par « loi » une proposition par laquelle sont énoncés une régularité, une constance, un devoir[->2] être ou une norme. En ce cas, toute loi s’oppose au fait, à ce qui est. Par liberté, entendons provisoirement ce

fut tout d’abord entendue comme norme du bien et du mal, comme instance de jugement. Elle est voix intérieure. Cette première conception est restée prégnante dans toute l’histoire de la philosophie. La conscience morale peut relever du sentiment (Rousseau) mais aussi de la raison (Kant).        -La conscience est une invention récente : L’idée de la conscience comme rapport de la pensée à elle-même et comme fonction de connaissance des activités mentales, de la vie psychique, est née avec la philosophie

lecture. Des 1eres lignes, auteur nous annonce qu’il sera extravagant, etc. Tout cela est dans le but de divertir. b) Interventions du narrateur Finissent toujours par ramener le lecteur au récit + indiquent aussi que le narrateur aura une grade liberté + commentera l’action. Lecteur doit s’habituer à sa présence  connivence (complicité) amusée entre auteur et narrateur. ||= fonction incitative Le conteur se met lui-même en scène grâce à ses interventions  joue sur les registres + anime dialogue

même être profitable à la raison par la raison Vouloir rester jeune, c’est refuser le temps qui passe, c’est donc refuser la maîtrise que le temps a sur nous. Si l’on reste jeune, il semble que l’on échappe au temps et que l’on se défait du déterminisme. Ainsi le désir de rester jeune peut se comprendre comme un refus de la raison de soumission au destin, et une démonstration de la puissance de l’homme à s’affirmer contre la nature. C’est en refusant la fatalité que l’on se donne le moyen d’agir