Rousseau Conscience Instinct Divin

parfaitement bon et satisfaisant, toute action serait une ingérence inutile qui, ne pouvant améliorer les choses, ne pourrait que les rendre pires. Ou, si tant est qu’une action puisse être justifiée, ce serait uniquement quand elle obéit directement aux instincts, puisqu’on pourrait éventuellement considérer qu’ils font partie de l’ordre spontané de la nature ; mais tout ce qu’on ferait de façon préméditée et intentionnelle serait une violation de cet ordre parfait. Si l’artificiel ne vaut pas mieux que le

innées. Avec quelques critères d’appartenances, on peut affirmer à la fois ses liens avec ses semblables et sa spécificité. On peut parler d’identités meurtrières lorsque nous généralisons. Nous devrions modifier nos habitudes d’expression et prendre conscience du fait que nos propos ne sont pas innocents et qu’ils contribuent à perpétuer des préjugés qui se sont avérés tout au long de l’Histoire pervers et meurtriers. Le postulat de base de l’universalité : considérer qu’il y a des droits indissolubles

il affirme que cette puissance ne peut venir que du groupe, de la société. C’est en effet seulement de la collectivité, qui dépasse chaque individu et s’impose à lui, que peut venir une telle force. La religion n’est jamais qu’une modalité de la conscience collective, c’est-à-dire du lien social, de la contrainte exercée par le groupe sur chaque individu. Dieu, c’est le clan, écrit-il. Toute religion consiste à adorer la société. De plus, toutes les religions suscitent un sentiment intense d’appartenance

qu'il y a chez Locke une véritable haine envers les tirants, notamment envers les Bourbons en France et les Stuarts en Grande Bretagne. Il s'agit ici ni plus ni moins d'une véritable haine envers le pouvoir absolu, se prétendant de surcroit de droit divin. C'est dans de telles dispositions et dans de telles réflexions qu'il rencontre Guillaume d'Orange, hollandais et jeune prince, qui va réincarner tous les espoirs du protestantisme, notamment le calvinisme. Suite à la seconde révolution anglaise

La conscience : - 3 usages possibles de la conscience (se servir des expressions de dissertation pour réfléchir) : - point de vue psychologique : « perte de conscience » : rapport conscience/connaissance de quelque chose qu’on pourrait perdre et retrouver. - point de vue cognitif : rapport conscience/pensée : prendre/avoir conscience de quelque chose, façon dont la chose m’apparait, est plus ou moins claire, plus ou moins lucide. - point de vue moral : « cas de conscience », « avoir bonne

apporte le bonheur et le savoir la vérité. Le philosophe n'est pas forcement heureux etc. Il veut y acceder, on pourrait dire qu'il ne sait rien justement. La difference avec les etres communs est qu'il doit y acceder en usant de la raison il prend conscience de sa propre ignorance. Il n'y a de désir que par rapport a un manque. Croire etre heureux par exemple et ne pas le savoir est de l'ordre de l'opinion. La philo demarche critique(argumenter) vis à vis des opinions. Une opinion est un point

unifié et harmonieux, évoquant la vertu ou la sainteté ») était mise au service de la maîtrise de soi et de vertu. Volonté d'absorber l'énergie symbolique. « pour qu'un Rousseau puisse plus tard écouter dans broncher la voix de la nature, l'éducation de l'homme moderne a dû travailler pendant 2 siècles à étouffer celle des instincts » Besoin d'aménager un ensemble de domaines imaginaires séparés de la réalité quotidienne. Héritage religieux et souvenirs (culturels ou forgé pare l'effort de civilité)

La conscience n’est qu’un réseau de communication entre hommes ; c’est en cette seule qualité qu’elle a été forcée de se développer : l’homme, qui vivait solitaire, en bête de proie, aurait pu s’en passer. Si nos actions, pensées, sentiments et mouvements parviennent, du moins en partie, à la surface de notre conscience, c’est le résultat d’une terrible nécessité qui a longtemps dominé l’homme, le plus menacé des animaux : il avait besoin de secours et de protection, besoin de son semblable, il était

France était prise en modèle dans l'Europe entière, c'est comprendre le formidable souffle qui a conduit tout un peuple à la Révolution. Ce siècle a connu les plus grands hommes, les plus grands penseurs, encore très présents aujourd'hui : Voltaire, Rousseau, Diderot, Montesquieu, Beaumarchais, Marivaux, et tant d'autres!   La métamorphose a été longue et nous prendrons les limites suivantes : 1715, mort de Louis XIV et 18 brumaire, coup d'Etat de Napolélon.    Ce courant n'est pas uniquement un

c’est-à-dire naturelle. Ensuite, nous argumenterons le fait que la morale est parfois acquise, régit par la société. Il convient donc d’analyser en quoi la morale peut être considéré comme naturelle. Nous verrons, dans un premier temps que la raison et la conscience sont primordiales pour la morale. Ensuite, nous aborderons la notion de vertu naturelle. Enfin, nous étudierons les lois morales universelles régies par la nature. Tout d’abord, la morale est une faculté dont tous les hommes sont dotés. La nature