Rousseau Bon Sauvage

domaine de droit. Il existe un droit naturel considéré par bcp supérieur au droit divin, lui-même supérieur au droit positif (c’est le droit qui a été crée par l’être humain). -Le Mythe du Bon Sauvage : selon ce mythe l’Homme naturel est partout heureux ce qui n’est pas le cas pour l’Homme en société (Rousseau). L’Homme de l’état naturel selon bcp de philosophes vit dans un univers édénique il est heureux, il satisfait ses besoins des désirs {manger, dormir, désirs charnels...} -Sensualisme

situation anormale. Cette morale peut-être étouffante et néfaste lorsqu’il n’est pas compris. Ces lois sont aussi une source de tension entre les individus. Exercice 4 : Rousseau fait le blâme de la civilisation. Ce dernier est convaincu que celle-ci a perverti les hommes. Ce philosophe des lumières fait l’éloge du « bon sauvage » en condamnant les injustices sociales. A ses yeux, elles sont nées de la propriété. Lui reproche ainsi de trahir les efforts des Lumières pour le développement du progrès

conscients. La qualité à rechercher : la supériorité du philosophe sur les autres hommes réside dans sa faculté de « démêler les causes » (ligne 2-3) de son action : il réfléchit aux raisons qui le font agir, se demande si elles sont bonnes, ne se décide qu’après cet examen de conscience. C’est pourquoi il peut se dire indépendant, maître de lui-même. Une métaphore est chargée de résumer cette idée d’indépendance, celle de l’horloge qui se monte elle-même (ligne 4). Aux

légitime de Milan. Il a été exilé par son frère avec sa fille Miranda sur une ile déserte. Il possède des pouvoirs magiques et contrôle notamment Ariel, esprit de l’air. * Ferdinand, fils du roi de Naples, épousera Miranda * Caliban, esclave sauvage, être négatif qui symbolise la terre, la violence et la mort * Ariel : esprit de l’air, du souffle de vie. I Résumé La scène s'ouvre sur le naufrage, provoqué par Ariel, d'un navire portant le roi de Naples, son fils Ferdinand ainsi que le

barbares ne sont pas ceux qu'on pense. En s'appuyant sur une relation de voyage de Léry (qui a servi aussi pour la récente rédaction de Rouge Brésil, le roman de Ruffin), Montaigne inaugure le mythe du bon sauvage, qu'exploiteront les philosophes des siècles ultérieurs (surtout Diderot et Rousseau). Contexte : Montaigne dit s'appuyer sur le témoignage d'un compagnon de Villegagnon (expédition de la France antarctique (i.e. le Brésil), 1555-1561), qui est ensuite entré à son service. En fait, il

recherche du savoir, c’est se poser les questions, lesquelles questions sont plus importantes que les réponses. Le savoir, c’est de savoir poser les bonnes questions, mais pas tant de savoir y répondre. A moins de vouloir idéologiquement retourner à une époque de non savoir, époque de l’homme originel ignorant, mythe du bon sauvage propre à Rousseau. Auquel cas, le savoir n’est pas absent mais non désiré. On ne peut pas en effet retourner artificiellement à cet état de nature. Dans ce cas, l’homme

conscients. La qualité à rechercher : la supériorité du philosophe sur les autres hommes réside dans sa faculté de « démêler les causes » (ligne 2-3) de son action : il réfléchit aux raisons qui le font agir, se demande si elles sont bonnes, ne se décide qu’après cet examen de conscience. C’est pourquoi il peut se dire indépendant, maître de lui-même. Une métaphore est chargée de résumer cette idée d’indépendance, celle de l’horloge qui se monte elle-même (ligne 4). Aux

 Voltaire annonce déjà l’esprit anti-clérical et rationaliste qui culminera au XIXe siècle. Quant à Jean-Jacques Rousseau (1712-1778), né à Genève, orphelin et autodidacte, esprit indépendant et idéaliste, son œuvre sera fortement inspirée par sa propre expérience de la vie, au contact de l’injustice et de l’inégalité (Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, 1755). Pour Rousseau, les problèmes politiques de la société dérivent largement d’un défaut de communication (Essai sur

Le mythe du bon sauvage s’est constitué à la suite de la découverte de l’Amérique. Il s’agit de l'idéalisation des hommes vivants en contact étroit avec nature. L’idée que « le bon sauvage » vit dans un paradis sur terre en d’autres temps, en d’autres lieux où paix et bonheur sont assurés par une nature bienveillante, ils sont bien loin de la perte du jardin. Ce mythe répond aussi entre autres, à la quête de nouvelles valeurs du 18e siècle ainsi qu’au débat opposant « nature » et « culture ».

courant : humanisme. Commence en 1570, après la mort de son père, s'isole et écrit ses essais. Essais : a 2 sens : - essayer une pensée : apprendre à juger. S'interdit aucun domaine. S'efforce de juger sous divers points de vue, y compris celui du sauvage. Un des 1ers auteurs a avoir vu l'autre autrement que comme un ennemi, comme quelqu'un qui a simplement un mode de vie différent. - s'essayer soi même, écrire une autobiographie, écrit sur lui même : passer toute sa vie à écrier pour mieux se connaître