Ronsard Te Regardant

physique l'apparente également à un vagabond, son pantalon est troué, il dort à la belle étoile en contemplant le ciel, immense horizon qui s'offre à lui et est synonyme de liberté. En s'assimilant à un pauvre orphelin il redevient l'enfant effaré regardant le boulanger par le soupirail. Il reprend l'image du petit Poucet perdu dans la forêt mais ses repères ne sont pas des petits cailloux mais les étoiles dans le ciel. Ce ciel le nourrit, la grande ourse lui rappelle une auberge. Cette marche sans

l’emporte sur l’Ivoire. De ton obscurité vient l’éclat de ta gloire, Et je vois dans tes yeux, dont je n’ose parler, Un Amour africain, qui s’apprête à voler, Et qui d’un arc d’ébène, aspire à la victoire. Sorcière sans démons, qui prédis l’avenir, Qui, regardant la main, nous viens entretenir, Et qui charmes nos sens d’une aimable imposture : Tu parais peu savante en l’art de deviner ; Mais sans t’amuser 4 plus à la bonne aventure, Sombre divinité, tu nous la peux donner GEORGES DE SCUDÉRY Poésies diverses

Apollinaire perpétue-t-il la tradition du lyrisme amoureux dans Alcools ( 1913) ? Poèmes étudiés : - Les colchiques -Automne malade Lectures complémentaires : - La chanson de Gayette et Oriour (comparaison avec Le pont Mirabeau) -Pierre de Ronsard, Quand vous serez bien vieille, Sonnets pour Hélène, 1578. - Paul Eluard, La courbe de tes yeux, Capitale de la douleur, 1926. Axes d’étude du recueil : - Histoire du recueil et étude du titre -Tradition lyrique et modernité dans le recueil

philosophe exilé en 1726, est un commentaire des Pensées de Pascal. « Remarques sur les Pensées de Monsieur Pascal » VI. « En voyant l’aveuglement et la misère de l’homme, et ces contrariétés étonnantes qui se découvrent dans sa nature ; et regardant tout l’univers muet, et l’homme sans lumière, abandonné à lui-même, et comme égaré dans ce recoin de l’univers, sans savoir qui l’y a mis, ce qu’il est venu y faire, ce qu’il deviendra en mourant, j’entre en effroi comme un homme qu’on aurait emporté

Pour l'atteindre, il faut au contraire souffrir sur terre, en adoptant la rigueur morale. Cette idée se retrouve dans les discours de Jésus à ses disciples, rapportés dans la Bible. « Jésus s'était arrêté dans la plaine, et la foule l'entourait. Regardant alors ses disciples, Jésus dit : Heureux, vous les pauvres, car le Royaume de Dieu est à vous. Heureux, vous qui avez faim maintenant, car vous serez rassasiés. [...] Mais malheur à vous, les riches ! car vous avez votre consolation. Malheur à vous

La Parca ti recise, cenere ti depose. Fa’ che queste mie lacrime, queto pianto ti onori, Questo vaso di latte, questa cesta di fiori; E il tuo corpo non sia, vivo o morto, che rose. (M. Luzi, Per la morte di Maria-Copia da Ronsard, La barca, 1942) * Mezzogiorno. Giardino. Occhio fermo, perspicuo, cristallino, non visto, onniveggente. Nuda flagra, rovente d’identità si disfa di simbolo la rosa, annulla canto, musica

Testament qui comporte plusieurs ballades en forme de bilan pour une vie fort mouvementées : la plus connue est celle qui évoque non sans humour la fuite du temps et les plaisirs éphémères. La beauté ne dure qu’un moment : un air de nostalgie dont RONSARD et les romantiques ne manqueront pas de faire un bon usage. La ballade des pendus  (ou l’épitaphe Villon) : La pluye nous a buez et lavez, Et le soleil dessechiéz et noircis ; Pies corbeaulx, nous ont les yeux cavez, Et arrachiéz

........................................ 7 Chanson. Pierre de Ronsard ........................................................................................................................................... 7 Je n'ai plus que les os, un Squelette je semble. Pierre de Ronsard ................................................................................... 7 Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle. Pierre de Ronsard..............................................................

intellectuel et culturel du XVIème siècle, caractérisé par l'étude des textes antiques et l'affirmation de leur supériorité. Joachim du Bellay, poète français, est né à Liré en Anjou en 1522, il étudia à Poitiers où il fit la connaissance de Ronsard en 1547.En 1553 ils décident de créer un groupe de personne de lettres, la Pléiade. Du Bellay partit pour Rome afin de devenir le secrétaire de son oncle, se mit à pour témoigner du regret qu'il eu à quitter sa famille, et la Pléiade, son recueil

(1518-1524) Chambord (1519-1555) Fontainebleau, la Cour Ovale (1527-1529) Galerie François 1er à Fontainebleau (1534-1540) Ecouen (1538-1555) Jean Bullant architecte à partir de 1550 Ancy-le-Franc (1544-1550) Henri II (1547-1559) Ronsard, Les Amours (1552) 1ere traduction française de Vitruve par Jean Martin (1547) illustrée par Jean Goujon Anet (1547-1552) par Philibert Delorme Façade au Louvre de Pierre Lescot et Jean Goujon (1549-1553) François II (1559-1560) Régence