Ronsard Te Regardant

[pic] [pic] 1er sonnet : Pierre de Ronsard «  Maîtresse, embrasse-moi, baise-moi, serre-moi » Maîtresse, embrasse-moi, baise-moi, serre-moi, Haleine contre haleine, échauffe-moi la vie, Mille et mille baisers donne-moi je te prie, Amour veut tout sans nombre, amour n'a point de loi. Baise et rebaise-moi ; belle bouche pourquoi Te gardes-tu là-bas, quand tu seras blêmie, A baiser (de Pluton ou la femme ou l'amie), N'ayant plus

Anthologie Poétique : La fuite du temps Sommaire : « Arrivé dedans Rome... », Les Vingt-quatre sonnets Romains, Jacques Grévin, 1560 « Sonnet à Marie », Second livre des Amours, Pierre de Ronsard, 1578 « Assieds-toi sur le bord... », Le Mépris de la vie et de la Consolation, Jean-Baptiste Chassignet, 1594 « Hélas ! Qu'est-ce de l'homme orgueilleux...  », Jean Auvray, 1623 « A mes amis », Evariste de Parny, 1778 « Le

de Charles Baudelaire-p5 A Vénus de Joachim Du Bellay-p6 J’aime une amie entièrement parfaite de Marguerite de Navarre-p7 Beauté des femmes … de Paul Verlaine -p7 A Cassandre de Pierre de Ronsard-p8 Sonnet pour un cheval de Winston Perez -p8 Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse de Pierre de Ronsard -p9 -L’amour p12 à p16 : Cet amour de Jacques Prévert -p12 Le tendre et dangereux visage de l’amour de Jacques Prévert -p13 Lettera amorosa de René Char-p13 Les yeux brillants de Michel

faveur de l’enrichissement de la langue française, il a notamment écrit l’ouvrage théorique Défense et illustration de la langue française. Il faisait partie de la Pléiade, un groupe de sept poètes français de la Renaissance formé par son ami Pierre Ronsard. Les Regrets est un recueil de poèmes de 191 sonnets en alexandrins paru en 1558. Du Bellay écrivit celui-ci à la suite d’un décevant voyage à Rome. Il regagnera la France avec dans ses bagages les textes de cette expérience mal vécue qui explique

HUMANISME L'humanisme est un courant littéraire et artistique de la Renaissance, qui se caractérise par la foi en l'homme. Joachim du Bellay, poète français, est né à Liré en Anjou en 1522, il étudia à Poitiers où il fit la connaissance de Ronsard en 1547, ils ont décidé de créer un groupe de personne de lettres, la Pléiade. Du Bellay partit pour Rome afin de devenir le secrétaire de son oncle, il écrivit pour témoigner du regret qu'il eu à quitter sa famille, et la Pléiade, son recueil

Ceux qui sont revenus peuvent-ils être heureux Ils essaient d’oublier étonnés qu’à leur âge Les veines de leurs bras soient devenues si bleues Les Allemands guettaient du haut des miradors La lune se taisait comme vous vous taisiez En regardant au loin, en regardant dehors Votre chair était tendre à leurs chiens policiers On me dit à présent que ces mots n’ont plus cours Qu’il vaut mieux ne chanter que des chansons d’amour Que le sang sèche vite en entrant dans l’histoire Et qu’il ne sert à rien

POETIQUE : LA PLEIADE : La pléiade de 1549 à la mort de Ronsard, la pléiade n'a jamais constitué une école. Le phénomène n'existe pas au XVI° siècle. Pour la première fois, des poètes et écrivains français se sentent liés par une communauté d'intérêts, prennent conscience de visées théoriques et poétiques homogènes, se reconnaissent un chef (Ronsard). Bref, ils s'identifient comme un groupe sous une domination commune. C'est Ronsard qui en 1556 a repris le terme de pléiade par cette constellation

IV)La Poèsie: Pendant la période humaniste, des nouveautés en ce qui concerne la poésie apparraissent. La Pléiade: La Pléiade est un groupe de sept poètes français rassemblés autour de Pierre de Ronsard et Joachim du Bellay. Ce mouvement littéraire est d’abord nommé la «Brigade». Le souci majeur de la Brigade, élevée sous l'égide de l'helléniste Jean Dorat, est de faire reculer le «Monstre Ignorance» par la diffusion de la culture antique, de rendre

refrain et est repris à la fin de chaque strophe et de l’envoi. La longueur des vers et l’agencement des rimes sont variables. Utilisation des périphrases[29] et utilisation des allégories[30]. Par exemple : Une ennuyeuse tristesse. 3) En regardant vers le pays de France Bio : En 1433, Charles d’Orléans se trouve à Douvres et aperçoit, dans le lointain, les côtes de France. Il en ressent le regret de sa patrie. Mais la paix semble proche et l’espoir renaît. Dans ce poème, le lyrisme

dans le hochement de sa tête et dans ses bras soulevés, qui préparent la fronde à son tir. Chaque détail exprime une énergie et une tension maitrisée. Les muscles de son corps sont contractés, et l'expression de son visage que Bernin sculpta en se regardant dans un miroir, déborde de colère: ses yeux se plissent pour viser la cible, ses narines se gonflent, son front se contracte, ses lèvres se serrent, sa chevelure semble animée par un vent impétueux. Le vent gonfle la tunique du jeune guerrier qui