Ronald Coase

et des risques du marché * Diversification géographique * Intégration des activités productioves et commerciales (plus théorique) – Internalisation – on veut tout contrôler derrière cette idée, la théorie des « coûts de transaction » de Ronald COASE. Il part du principe qu’on a 3 marchés : des inputs, du capital et du L. Sur chacun des marchés, des coûts de transaction = des coûts d’appel au marché. Si on fait appel au marché, coûts plus élevés. Tout faire soi même peut justifier des délocalisations

notre société »27. Toutefois des défaillances du marché liées aux externalités aux monopoles etc. peuvent justifier une intervention publique. Marché ou firmes[modifier | modifier le code] Pourquoi existe-t-il des firmes ? Depuis les travaux de Ronald Coase et de leur approfondissement par Oliver Williamson, les économistes distinguent deux modes de coordination des activités économiques : un mode décentralisé, où les individus sont libres : le marché ; un mode centralisé où les êtres humains sont

imparfaite, elle les pousse à adopter diverses stratégies pour tirer au mieux leur épingle du jeu. Mais les entreprises sont aussi des formes alternatives au marché qui remplacent la concurrence par le contrat ou la hiérarchie comme l’ont montré Ronald Coase et Oliver Williamson. Face à cette concurrence l’entreprise doit différencier son offre pour atteindre ses objectifs de survie et de marché Les éléments de différenciation d’offre : 1 / différenciation par la qualité , 2 /différenciation par

sur le niveau de production e optimale de la firme : ce niveau diminue. 1.4.2 La n´gociation et le th´or`me de Coase e e e Ronald H. Coase a re¸u le prix Nobel d’´conomie en 1991 pour “avoir d´couvert et c e e ´clairci la signification des coˆts de transaction et des droits de propri´t´ dans la structure e u ee institutionnelle et le fonctionnement de l’´conomie”. e Selon Coase, tout syst`me ´conomique poss`de une structure institutionnelle complexe e e e qui m´rite d’ˆtre ´tudi´e. Les agents

l’existence d’entreprises, Ronald Coase a proposé en 1937 dans un article intitulé « La nature de la firme » de considérer une entreprise comme un arrangement institutionnel alternatif au marché. Le marché assure la coordination des agents sans qu’ils la cherchent, au travers d’un système de prix, tandis que l’entreprise est un lieu ou la coordination est réalisée de manière consciente par l’autorité et la hiérarchie (ou par d’autres modalités), sans intervention d’un système de prix. Coase pose alors une deuxième

Industrial Control (Londres, Pitman, 1920). L’idée que le « planning » fait partie du contrôle apparaît dans plusieurs ouvrages de F. Dutton des années 1924 à 1927 et dans un ouvrage de William O. Lichtner, Planned Control in Manufacturing (New York, Ronald) en 1924. A la fin de la décennie 1920 le contrôle est bien considéré comme une des fonctions du management et le planning lui est rattaché, donc le contrôle est vu comme processus, du moins par les pionniers. Il reste alors à lui rattacher l’informel

prépondérante, puisqu’il s’agit de la survie de « l’espèce humaine ». Ces derniers peuvent être regroupés sous deux courants de pensées : la théorie néoclassique et la décroissance. 1) L’approche néoclassique. La tradition Pigouvienne et le théorème de Coase font tous deux partie de l’économie néo classique. Elle enseigne que les préférences des individus au sein d’un marché parfait se révèlent tel qu’elles sont satisfaites de manière optimale pour la société. Le problème réside dans le fait que les marchés

qu'il faut taxer ceux qui génèrent des externalités négatives : taxe du pollueur-payeur. Celui qui provoque une externalité négative compense ses externalités à ceux qui les subissent, en les dédommageant. La taxe carbone agit suivant ce principe. Coase pense que si on taxe l'opérateur ferroviaire, on va accroître le coût de l'activité ferroviaire, ce qui va conduire l'opérateur à répercuter sur le consommateur ce coût supplémentaire. Les tarifs vont donc augmenter, ce qui collectivement sera négatif

remplacent la concurrence par le contrat ou la hiérarchie comme l’ont montré Ronald Coase et Oliver Williamson. L’entreprise structure alternative au marché et à la concurrence Ronald Coase25 va poser la question de savoir pourquoi les firmes existent. En effet si la libre concurrence fonctionnait partout, il n’y aurait pas besoin d’entreprises, lieux où l’agent se soumet au pouvoir hiérarchique de son supérieur. Pour Ronald Coase le recours à la firme s’explique parce que le fonctionnement du marché

RONALD COASE Prix Nobel d’économie L’entreprise, le marché et le droit Traduit de l’anglais et présenté par Boualem Aliouat © Éditions d’Organisation, 2005 ISBN : 2-7081-2000-X L’entreprise, le marché et le droit 1 I. INTRODUCTION L’essentiel de cet ouvrage tient dans trois articles : « La nature de la firme » (1937), « La controverse du coût marginal » (1946) et « Le problème du coût social » (1960). Les autres articles prolongent, illustrent ou explicitent les thèses que nous