Roi Arthur Enluminures

I Découvrir la légende 1_L'origine de la légende arthurienne est le fruit des écrits de Chrétien de Troyes et de Geoffroy de Monmouth qui datent du XIIe siècle. Arthur aurait été un chef de guerre, un Dux Bellorum selon l'historien Nennius qui fut le premier au VIIIeme siècle à coucher sur papier l'histoire du roi Arthur. C'est ensuite que le personnage fut récupéré par Chrétien de Troyes en France et Geoffroy de Monmouth (l'inventeur de Merlin) en Grande-Bretagne. Ces deux poètes firent

lances. La joute du roi Henri II contre Montgomery le 10 juillet 1559 est restée tristement célèbre. Mécontent de sa première prestation contre Montgomery, le roi exige une seconde lance, ce qui est contraire à l’usage. Montgomery oublie de changer de lance, ce qui est aussi contraire à la coutume. Le choc entraine la rupture de cette lance qui pénètre à travers la visière du casque d’Henri II. Après bien des tentatives, les médecins du royaume ne pourront le sauver et le roi meurt donc ce 10 juillet

arthurienne est un ensemble de textes écrit au moyen âge autour du roi Arthur, de son entourage et de la quête du Graal. Il n'existe pas une légende arthurienne mais des légendes arthuriennes car au fil du temps, différents écrivains - tel Chrétien de Troyes, l’ont enrichie. Il s’agit principalement de cinq romans en prose : L'Histoire du Saint-Graal, L'Histoire de Merlin, Le Lancelot en prose, La Quête du Saint-Graal, La Mort du roi Arthur. Ces récits ayant été composés par des auteurs différents,

Iseult. -> Passion dévastatrice Mythe parvenu en morceaux avec comme fond commun le Moyen-Age. Béroul et Thomas : Deux écrivains très connus pour leurs manuscrits très complets. * Inspiration du merveilleux celtique (autour des légendes du roi Arthur, de par le lieu et la mythologie celtique) -> Fatalité (destin), filtre magique, connaissance des plantes, etc. Métaphore filée (esclavage, adultère, désir, passion, etc.). (Amour plus fort que les liens vassaliques !) Oxymore : Opposition

vô être né dans ce contrée ? - Oui : il y a longtemps que j'y habite. - Et comment est pelée cette pays ? - La France, bel ami. - Et savez-vô des nouvelles du roi ? - Que t'importe le roi ? Tu n'as point de vieille ! - Lui être brave homme ; il reçoit avec plaisir les artistes. Moi être savoir bons lais bretons, de Merlin ou dou Netun, du roi Lartur et de Tritant, de Charpel et de saint Bredan. - Et connais-tu (ici Ysengrin parodie le parler de l'étranger) le lai de dâme Yseut ? - Yes, yes, dit l'autre

les serviteurs . Le seigneur qui était assit sur son trône était le roi Arthur qui était a côté de sa mère la féé Morgane qui elle était juste a côté des serviteurs assise sur une chaise prit la parole : - << Si on demanda au jongleur qu’il nous joue une petite chanson avec son fameux instrument qui se nomme luth? Le jongleur commença a nous joué sa chanson : La bataille était sanglante et mortelle , Arthur est habillé d’un haubert avec un haume Il appela ses cohaiquipiers

Sauvigny, que vendez-vous ? Demanda Tristan. _ Je possède des armes de toutes sortes dont la lame vient de Constantinople, affirma le marchand. _Pourriez-vous me les monter ? Questionna-il. _Ces armes ne sont pas à vendre elles sont destinés au roi Arthur ! affirma le marchand _ Vous travaillez pour ce félon il tua mes parents en leurs tranchant la tête devant mes yeux lorsque j’étais encore petit, sanglota-t-il Je suis sur la route du graal pour le tuer ! cria Tristan _ Je vois que tu rencontreras

désirs de changement, etc.). Ces chansons de geste mélangent des faits historiques et des légendes pour raconter des exploits guerriers, des combats et la vie des chevaliers. Elles développent donc des idées chevaleresques de bravoure, de loyauté au roi (donner sa vie pour lui), de force au combat, etc. La chanson de geste la plus connue est « La chanson de Roland » (6e siècle) qui raconte les exploits de l’armée de Charlemagne, en les idéalisant bien sûr. · A partir du 12e : la littérature

de Longus, iie siècle, le Satyricon de Pétrone, ive siècle). Le roman connaît deux périodes dominantes. D'abord, aux xiiie et xive siècles, on assiste à l'extraordinaire épanouissement du roman courtois qui narre les aventures des chevaliers du roi Arthur partant à la conquête du Graal ou de leur dame (Lancelot et la reine Guenièvre, Tristan et Iseut), cependant que Le Roman de Renart évoque cet accomplissement sur un mode burlesque. Ensuite, c'est au xviiie siècle qu'a lieu la lente gestation du

nobles de l’époque de s’amuser lorsqu’ils se réunissaient pour des affaires plus ou moins graves. Dans ce document, on commencera par analyser deux personnages de cet extrait, à savoir Grimbert et Renart. Puis, on abordera la satire faite de la cour du roi par les habitants des villes de son propre royaume. Pour commencer cette analyse, on va poser un regard critique sur deux personnages présents dans ce passage. On va commencer par Grimbert qui est un proche de Renart. On peut voir qu’il possède deux