Rire et Châtiment

Lecture analytique n° 1 : Victor Hugo, Châtiments, III, 3, « Fable ou histoire », (manuel, p. 290). Fable ou histoire Un jour, maigre et sentant un royal appétit, Un singe d'une peau de tigre se vêtit. Le tigre avait été méchant, lui, fut atroce. Il avait endossé le droit d'être féroce. Il se mit à grincer des dents, criant : je suis Le vainqueur des halliers, le roi sombre des nuits ! Il s'embusqua, brigand des bois, dans les épines; Il entassa l'horreur, le meurtre, les rapines

pour les ridicules » et l’infidélité est un hommage à la beauté de toutes les femmes. Dans le début de la scène que nous allons étudier survient Elvire qui est la femme que Don Juan vient juste d’épouse après l’avoir sortie du couvent. On s’attend à rire d’une femme outragée et ridiculisée. Mais ce ne sera pas la cas. Problématique Comment Molière mêle-t-il les registres pour opposer une héroïne tragique et pathétique à un libertin en action? Annonce du plan Nous mnotrerons d’abord en quoi

sur un recueil d'un style de poésie dont je n'avais jamais entendu parler, des poésies humoristiques. Content de cette trouvaille qui me permettrai de faire mon devoir avec joie, je l'emprunta et l'étudiai pour mon devoir. Ce recueil s'intitule : le rire en poésie, Je vais donc maintenant vous présenter les quatre poèmes que j'ai préféré dans ce recueil ainsi que la raison pour laquelle je les ai privilégié, le tout accompagné d'une brève biographie des quatre auteurs qui les ont écrit. I. On

INTRODUCTION : Victor Hugo célèbre auteur aux multiples talents, fais parti d’un des auteurs qui ont marqués le XIXème siècle. Il écrivit de grands romans comme les Misérables. Victor Hugo est également poète, il écrivit Les Châtiments. Une œuvre qui est relativement contre Napoléon III. Dès 1856, le chef d’œuvre de la poésie lyrique s’intitulant Les Contemplations, une œuvre intime, fût publiée. Cette œuvre, est un texte, argumentatif qui pose les bases d’une nouvelle conception de la poésie

). L'inspiration personnelle est elle-même inséparable d'intentions satiriques qui se manifestent aussi bien dans les poèmes politiques que dans les poèmes intimes. On a fait observer à juste titre que Le Forgeron doit autant au Victor Hugo des Châtiments qu'aux grandes apostrophes de La Légende des siècles. La satire peut être le commentaire d'une parole, aussi bien de la repartie de Nina que des proclamations enflammées des Cassagnac. Elle prend volontiers la forme, faussement objective, d'un tableau

attend la mort avec patiente) Ne reportes pas ta repentance, fais de bonne action avant que tu n'en es plus l'occasion et que Dieu te reprenne la vie. Pour les croyants jardins dans lesquels ils seront éternels ; pour les autres, sévères chatiments. L'espérance de Dieu Celui qui est proche de Dieu doit évoquer la miséricorde de Dieu, Il doit avoir une bonne espérance de Dieu car Dieu est pardonneur, généreux, Miséricordieux, aimant, grand et bon. L'enterrement Suivre le convoi

littéraires écrites ou situées au Moyen Age, comme dans l’histoire du roi Arthur ou dans Ivanhoé de Walter Scott et beaucoup d’autres. L’œuvre est organisée dans trois chapitres principaux I. La trahison de Ganelon II. La mort de Roland III. Le châtiment Le but de cette analyse sera le chapitre qui trait la trahison de Ganelon. Ce chapitre est divisé en quatre sous-chapitres  1) Le conseil de sarrasins 2) Le conseil de françaises 3) L’ambassade d’un traître 4) Roldan dans l’arrière Roland protagoniste

ajoute progressivement une dimension auditive à la scène : « ils [...] entendirent un sermon », « une belle musique en faux-bourdon », si bien qu’à la fin le nouveau tremblement de terre est perçu par ce sens aussi : « un fracas épouvantable ». Le châtiment de Candide marque l’aboutissement de ce spectacle grotesque : il est « fessé en cadence, pendant qu’on chantait ». On remarque que c’est déjà « à grands coups de pied dans le derrière » qu’il avait été chassé du château au premier chapitre, et

portrait plaisant de l’après-vie « mille charmes » , « couchée entre les fleurs ». Le narrateur approuve donc cette sincérité opposée au mensonge de celui qui a dit qu’il l’a vu rire. III/ Satire du pouvoir royal 1) La cruauté et l’arbitraire La cruauté du roi est renforcée à travers l’allusion au châtiment à travers la mention des « sacrés ongles » au vers 36. On note l’antithèse « membres profanes »/« sacrés ongles ». Le fabuliste tourne en déri¬sion la force divine du roi. On devine

du châtiment divin. Si DJ ne se repent pas, le ciel va bientôt le punir. Sga nous signale cette menace divine dès la première scène (« Suffit qu'il faut que le courroux du Ciel l'accable quelque jour ») et ne cesse de la répéter tout au long de la pièce (acte I, sc.2, texte que l'on a étudié; acte IV, sc1; acte V, sc2 et 4). Done Elvire s'en fera l'écho (acte IV, sc.6). La punition divine semble inéluctable et pend au-dessus de Dj comme une épée de Damoclès. Nous attendons donc ce châtiment à la