Rire et Châtiment

successives, provoque un rythme soutenu. Il interpelle le lecteur par des réflexions théâtrales : qui dira ma douleur, lecteur pitoyable, partagez mon affliction. Celles-ci sont disproportionnées par rapport à l'action qu'il accomplit. Ce décalage suscite le rire. Le narrateur utilise de nombreux repères spatio-temporels (au fond d’une dépense, jalousie élevée) et plusieurs détails (maie, broche, couteau, latte) qui permettent de faire revivre l'action Le champ lexical de l'effort montre que Rousseau a engagé

pas, il continue à le nier. Sganarelle Sganarelle, en tant que valet, n'est protecteur de la Foi que par peur de l'au-delà. Présent depuis les premières comédies de Molière, dans cette pièce, il vient en contrepoint apporter de l'humanité et du rire à une pièce qui sans lui aurait été bien noire. Mais le Sganarelle de Dom Juan se démarque des autres valets de Molière ; on peut le qualifier d'asexuel dans la mesure où il ne "récupère" pas les conquêtes de Dom Juan, ce que pouvait faire un valet

contribué, tout comme Baudelaire, au renouvellement de la poésie et de la littérature. • Bibliographie : o Hernani (1830) o Notre Dame de Paris (1831) o Le roi s’amuse (1832) o Ruy Blas (1838) o Les Châtiments (1853) o Les Contemplations (1856) o Les Misérables (1862) • Hernani, Acte IV, scène 2 (monologue de Don Carlos) : Avant son élection en tant qu’empereur, Don Carlos (futur Charles Quint) est pris de doute et d’angoisse

il fait appelle a l’humour,au comique verbale, a la parodie, a la caricature, ect.... -Le comique peut naître d'une situation absurde, d'un comportement et d'un caractère ou bien de geste. -Les effets du registre comique sur le lecteur provoque le rire,le sourire et l'amusement. Il fait appel a divers thème varié ( défaut d'un personnage, caractère ) -Les procédés littéraires utilisé pour le comique sont souvent des répétitions,des quiproquos, des propos décalés, actions de parole qui semblent

COMMENTAIRE COMPOSE Victor Hugo, Les Châtiments, XXIII Introduction : Au cours des siècles, la poésie a eu des fonctions diverses : tantôt peinture, tantôt expression du moi, tantôt arme politique et sociale, tantôt jeu verbal pur… Au XIX siècle, les poètes romantiques privilégient à la fois la force argumentative et l’efficacité lyrique de la poésie. C'est ainsi qu'en 1853, Victor Hugo rédige pendant son exil Les Châtiments, recueil de poèmes satiriques faisant la critique du régime de Napoléon

afin de critiquer la société contrôlée par la Cour à cette époque, tout en détournant la censure. Au XVIIIe siècle, les philosophes des Lumières, Marivaux, Voltaire, Montesquieu et Beaumarchais utilisent l’humour pour instruire. « Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer », dit Figaro à son maître dans Le Barbier de Séville, de Beaumarchais. Figaro, un personnage de théâtre, prend ainsi du recul, grâce à l’humour, sur ses malheurs personnels afin de mieux les supporter.

confus et forcés, s’ils l’apercevaient, de rire indécemment. Un jour le bourreau vint, et Gwynplaine le fit rire. On voyait Gwynplaine, on se tenait les côtes ; il parlait, on se roulait à terre. Il était le pôle opposé du chagrin. Spleen était à un bout, et Gwynplaine à l’autre. Aussi était-il parvenu rapidement, dans les champs de foire et dans les carrefours, à une fort satisfaisante renommée d’homme horrible. C’est en riant que Guynplaine faisait rire. Et pourtant il ne riait pas. Sa face riait

: rapide mais précis. Il décrit d’abord les vêtements (mitre : sorte de chapeau pointu, San-benito : sorte de casaque portée par-dessus un vêtement), ensuite l’organisation de la cérémonie : la procession, la musique, le sermon et pour finir le châtiment qui est le point d’aboutissement de la cérémonie (c’est présenté comme normal de les fesser, de les brûler ou de les pendre). - Conséquences de cette cérémonie : 1ère conséquence : il y a un autre tremblement de terre (fait réel : appelé réplique)

n’ont rien en commun, à poser des liens logiques là où il n’y en a pas, à introduire un décalage entre un fait et son interprétation, de façon que l’événement paraisse étrange et dépourvu de sens. On note un décalage entre les faits reprochés et le châtiment : le biscayen est seulement « convaincu d’avoir épousé sa commère » ; le participe passé jette un doute sur la vérité du fait. De même les deux portugais ont seulement « arraché le lard » et rien ne prouve qu’ils ne voulaient pas le manger. Pangloss

la totalités de vos biens et de votre fortune appartiennent à votre épouse. Nous demandons la mort de Don Juan. Don Juan (Rire) : Pensez-vous réellement que tout ceci aidera à combler le chagrin de cette femme qui m’a tant chérie et qui continue a m’aimer même ne serais-ce dans une infime part de son esprit ? Ma mort ne sera pas une récompense pour elle mais un châtiment. Je vous prie votre honneur de bien vouloir accorder cette faveur à la femme de ma vie et épargnez-moi. La Mort : Don Juan