Rimbaud Conte Illuminations

Le registre est donc épidictique et la louange en est la caractéristique, avec, dès le début du texte, la métonymie associée à une tournure impersonnelle qui font de l’entrée à la Cour de la future princesse, une apparition mystérieuse digne d’un conte de fée de Perrault : « Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde ». - Cependant ce portrait stéréotypé et les effets qu’ils produisent encadrent un discours explicatif et analytique qui est le centre du texte et que

Musset, ne passera pas le cap des bouleversements idéologiques et politiques des 1848-50, c'est, avec l'inusable Hugo, le romantisme « noir » qui survivra au mouvement et en assurera la continuité avec les écrivains de la modernité (Baudelaire, Rimbaud, Lautréamont principalement) et, par-delà, avec ceux de la génération surréaliste. C'est lui encore qui fondera, dans la période 1850-1880, la contestation du réalisme officiel et installé. Le romantisme noir ou romantisme obscur, caractérise précisément

poètes symbolistes sont de véritables ‘’esthéticiens littéraires’’ compte tenu de l’attention accordée au travail formel. -‘’Elévation’’ de Charles Baudelaire ; -‘’Les Complaintes’’ de Jules Laforgue ; -‘’Une Saison en enfer’’, ‘’ Les Illuminations’’ d’Arthur Rimbaud ; -‘’Poèmes saturniens’’, ‘’Fêtes galantes’’ de Paul Verlaine. Les symbolistes ont tendance à chercher le mystère et la rêverie, à découvrir des correspondances secrètes entre la Nature et L’Homme. Il s’agit de créer un Art pur, exigeant

gargouilles inquiétantes de la cathédrale NotreDame de Paris. L’univers immense, mystérieux et fantasmé de la cathédrale gothique est aussi familier à Chateaubriand (Génie du christianisme), comme à Huysmans auteur de La Cathédrale, à propos de Chartres. Rimbaud poète génial et voyant, la vision tourmentée de Lautréamont comme d’Aloysius Bertrand (Gaspard de la nuit, 1842), le renouveau spiritualiste avec Huysmans à la fin du siècle, sont autant d’expressions du thème. La transfiguration du réel dans Aurélia

| | |journal intime | |3. Genre romanesque |Récit d’événements imaginaires |Adhésion à une histoire et à des |Le conte, la nouvelle, le roman | | | |personnages |:Le roman psychologique ou roman | | |

Considérons l’influence de William Shakespeare, souvent considéré comme un dramaturge moderne maîtrisant avec brio la capacité de représenter les aspects de la nature humaine : dans la Tragédie d’Othello, 1604, si Shakespeare garde l'armature du conte italien de Giraldi Cinthio, il l'épure de ses aspects mélodramatiques pour densifier l'action et explorer la profondeur psychologique des personnages. On peut apercevoir une brèche dans ce huis clos de la passion, lequel laisse entrevoir un univers

|Commune | | | | | |1871-1940 |Troisième République |1871-1873 |Thiers |1873 : Une Saison en enfer, Rimbaud | | | | | | |1874 : Romances sans paroles, Verlaine | | | | |

SLAMTI SadEléments de critique littéraireSemestre v Université Ibn Zohr2020/ 2021Avertissement L’article intitulé L’ivresse intertextuelle aura comme but de vous amener au lieu de la littérarité chez Baudelaire. Le poète arabe cité comme un intertexte n’est qu’un prétexte pour approcher l’écrire poétique baudelairienne qui est l intertexte sur lequel nous bâtirons notre critique des poèmes proposés à l’étude Avant propos « Qu’on ne me dise pas que j’ai rien

1155-1189) Quelques poèmes de troubadours  comme  Guillaume  d’Aquitaine  (mort  en  1126),  Bernard  de   Ventadour (mort vers 1170), Arnaut Daniel (actif entre 1180 et 1200) *Chrétien de Troyes, Le Chevalier au Lion (Yvain vers 1177-1181) ou Le Conte du Graal (vers 1180) Le Roman de Renart (extraits, à partir de 1180) ∆   Guillaume   de   Lorris   et   Jean   de   Meung,   Le Roman de la Rose (1230-1235 / 1275-1280) (extraits, notamment la première partie de Guillaume de Lorris) Charles  d’Orléans

fable, une moralit (Baudelaire, Mallarm); ceux pour qui il n'tait que la transcription d'un cahier d'impressions (sont vises toutes les pages descriptives de la fin du sicle); celui qui en aurait fait une exposition de trouvailles , c'est--dire Rimbaud. L'auteur affirme que le pome en prose doit satisfaire deux conditions: donner la sensation du ferm et faire percevoir une distance avec le sujet de luvre. Dans les annes 1950, on pense que la posie moderne, dans ce qu'elle a de plus inventif