Rhétorique

| |ou | |sur la Rhétorique | |

langage : la rhétorique (dont Gorgias est censé être l’inventeur). « Subir ou commettre l’injustice ? », cela relève d’une question morale ou politique étant liée à ce que peut, et ne peut pas la rhétorique. Le dialogue du Gorgias s’organise en trois grands moments qui se règlent sur les trois interlocuteurs différents de Socrate : 1- Gorgias : réflexion sur la nature même de la rhétorique, qui conduit à une perplexité qui la remet en question. 2- Polos : la rhétorique est envisagée

Montrez pourquoi, pour Gorgias, la valeur de la rhétorique est politique. Tout d’abord, Calliclès affirme Socrate que Gorgias peut répondre à toutes les questions qu’on lui demande. Socrate lui demande alors «qui es-tu?» car la connaissance de soi-même est nécessaire à la connaissance de quelque chose. Gorgias affirme à Socrate qu’il exerce un type d’art suprême. Ce type d’art est la rhétorique. Selon Gorgias, l’objet que la rhétorique fait connaître est le discours et chaque forme d’art se

PLATON : Extrait de Gorgias Les exemples abordés montrent en quoi le rhéteur parvient mieux à persuader que le médecin ou encore que l'artisan ayant une connaissance de son art. On peut très bien alors reconnaître une force de la rhétorique et lui concéder une valeur puisqu'elle semble plus efficace que l'action de celui qui connaît, toutefois, on peut remarquer que cette efficacité est toute relative. En effet, elle parvient bien à persuader le malade, par exemple, mais elle ne parviendra pas

entre langage et pouvoir. II. Langage, vérité, justice 1)La rhétorique Les mots véhiculent un rapport au monde , découpent la réalité et vont tjr de pair avec une certaine frome de société.On peut dire des mots qu'ils sont des instruments qui vont être utilisés pour donner une certaine forme à la réalité.Le langage pt devenir une certaine technique au même titre que les activités qui transforment la matière.La RHETORIQUE est l'art de bien parler. Sophiste = artisan de la parole qui peut

« Ironie est chez nous une raillerie dans la conversation, ou une figure de rhétorique, et chez Théophraste, c'est quelque chose entre la fourberie et la dissimulatio, qui n'est pourtant ni l'un, ni l'autre. » La Bruyère, Caractères( 1688), éd. Garnier, 1962, p. 16. Par ce propos, La Bruyère souligne la polysémie que recouvre le terme d'ironie : il désigne tantôt une pointe rhétorique, tantôt une attitude associée à celle du philosophe depuis la caricature de Socrate proposée par Aristophane. Dans

TRAVAIL SUR LE GORGIAS DE PLATON S QUESTIONS POUR s’approprier le sens de l’oeuvre INTRODUCTION : définition de la rhétorique 1) A la question « La quête de la liberté passe-t-elle par le pouvoir?» que répondraient POLOS et GORGIAS d’une part et Socrate d’autre part. Construisez votre réponse par étapes en abordant chaque question qui suit. (Produisez une analyse de ce que chacun d’eux produirait comme analyse pour répondre aux questions suivantes en distinguant bien les deux types de réponses

écraser ses adversaire par la force. La rhétorique est l’art de prendre le pouvoir non pas par la force, mais par la capacité à convaincre et à impressionner les autres. Je ne voit donc pas pourquoi un tyran qui s’assume tyran, devrait connaitre l’art de la rhétorique sinon par simple curiosité intellectuelle. Quand nous avons la chance ou la malchance de prendre le pouvoir par la force, il s’avère inutile de comprendre l’art d’impressionner, car la rhétorique n’apprend aucunement comment combattre

vendre un produit, imposer une idée ou une croyance, le langage devient un moyen efficace de persuasion. La rhétorique est dites «ouvrière de persuasion» par Platon, dans sa critique des sophistes. Elle sert à bien parler obtenir ce que l'on désir, c'est la magie du discours, elle ne tente pas de convaincre mais simplement de persuader d'une croyance en suggérant une opinion. Un discours rhétorique n'a rien de véridique, aucune conviction solide, car pour convaincre il faut une parole munie de raison

expert l'est véritablement. Comment celui qui ne sait pas peut-il décider ? I. Le risque de la rhétorique "Il m'est arrivé maintes fois d'accompagner mon frère ou d'autres médecins chez quelque malade qui refusait une drogue ou ne voulait pas se faire opérer par le fer et le feu, et là où les exhortations du médecin restaient vaines, moi je persuadais le malade, par le seul art de la rhétorique. Qu'un orateur et un médecin aillent ensemble dans la ville que tu voudras : si une discussion doit