Representation Phedre Respecte La Regle Des Bienséance

nouvelles méthodes de travail. Un monde libre : dans une société où tous les hommes sont bien éduqués chacun a le droit de s'instruire, de lire et de penser librement. François Rabelais imagine ainsi l'Abbaye de Thélème dans laquelle règne une seule règle « Fay ce que voudras » (Gargantua, 1534, chapitre 57), signifiant qu'il faut obéir à sa raison. Ses implications : le développement de l'esprit critique : L'homme capable de comprendre seul les textes et de penser par lui-même s'interroge sur sa condition

qualifié d' "art de la Contre-Réforme".  Elle se développe dans le contexte religieux de la Contre-réforme, après les guerres de religion, ce qui entraîne une représentation de la religion grâce aux arts. Période agitée : assassinats des rois Henri III et IV, succession de régences…  Cette incertitude donne naissance à la représentation d’un monde toujours en mouvement.  Auteurs : Agrippa d’Aubigné                  Théophile de Viau                 Jacques Davy du Perron          Jean-Baptiste

l'autorité du roi qui en fait la base d'un art officiel. Mouvement de la mesure et de l'harmonie, le Classicisme cherche l'accord de l'écrivain avec son milieu, de la pensée avec l'expression. Il prône donc l'ordre, la discipline et la régularité. Le respect des règles héritées des Grecs et des Romains, l'économie des moyens, le caractère mesuré opposent les œuvres classiques aux œuvres baroques basées sur l'abondance et l'émotion. Ce terme n'a pas été employé par le XVIIème à la recherche d'une auto-définition

caractère sensationnel propre au mélodrame. Don César, personnage léger et drôle, appartient plutôt à la comédie. Dans la scène 2, son insouciance et son humour contrastent avec le caractère sérieux et moralisateur de son oncle. Facétieux, il ne respecte pas les règles morales et sociales. Enfin, son attachement à l’argent introduit dans la pièce des considérations prosaïques propres à la comédie. Quant à Ruy Blas, il apparaît comme un personnage tragique. Son destin malheureux, qui le contraint

regret égal de part et d'autre ; mais l'amour de la gloire fut plus puissant que les attraits de la volupté». Contre l'évidence historique, les successeurs de Coëffeteau allaient remplacer cette volupté par une passion moralement admirable, évitant (bienséance oblige) le problème des relations physiques. Dans la première partie de ses ‘’Peintures morales’’ (1640, une quatrième édition sortit en 1669), consacrée aux passions et à la nécessité de les modérer, le Père Le Moyne développa, entre autres exemples

: Alinéa Relecture, corrections : Hélène Ducoutumany © Hatier, Paris 2011 – ISBN 978-2-218-93559-6 Toute représentation, traduction, adaptation ou reproduction, même partielle, par tous procédés, en tous pays, faite sans autorisation préalable est illicite et exposerait le contrevenant à des poursuites judiciaires. Réf. : loi du 11 mars 1957, alinéas 2 et 3 de l’article 41. Une représentation ou reproduction sans autorisation de l’éditeur ou du centre français d’Exploitation du droit de copie (20

lumières, Yves Bernard Costumes, Virginie Merlin Musique, Arthur Besson Assistante à la mise en scène, Josepha Micard Dramaturgie, Laurent Muhleisen Assistant à la scénographie, Michel Rose Nouvelle mise en scène Avec le soutien d’Air France Représentations Salle Richelieu, matinée à 14h, soirées à 20h30. Prix des places de 5 € à 37 €. Renseignements et location : tous les jours de 11h à 18h aux guichets du théâtre et par téléphone au 01 44 58 15 03, sur le site internet www.comedie-francaise.fr

279832BWY_FicheGF_2017_Ruys_Blas_fm9.fm1 Ru y Bl as 1re. Le texte théâtral et sa représentation, du XVIIe siècle à nos jours HUGO Ruy Blas Édition avec dossier de Sylvain Ledda no 9782081390638 ● 2,80 € I. Pourquoi étudier Ruy Blas en classe de première ? ’étude d’un drame romantique s’avère particulièrement adaptée aux classes de première générale et technolo- gique, dans la mesure où elle s’inscrit dans la continuité du travail mené en seconde : elle permet aux élèves de réin- vestir non

- récit, propos - récit imaginaire, histoire, allégation mensongère (1140) - petit récit moralisant qui met en scène des animaux (1180) Fabulation : - discours, conversation - bavardages, mensonges - 1830 : représentation imaginaire des faits Fabulateur : - auteur de récits, conteur - fin XIXe, associé à « fabulation » Affabuler : organiser un récit XXe : variante de « fabuler » Affabulation : moralité d’une fable XXe : prend le sens de « fabulation

théâtre est un genre à part. Le terme même, d’origine grecque, est le dérivé d’un verbe signifiant regarder, contempler : il désigne donc un endroit où l’on voit, où l’on admire ; les théâtres grecs en plein air attiraient les foules lors de représentations périodiques, sortes de cérémonies en l’honneur des dieux. Une œuvre destinée non à être lue, comme celles des autres genres littéraires, mais à être représentée et vue, c’est forcément particulier, et ce sont ces particularités que nous allons