Reponse A Une Lettre De Poilu

« En toutes Lettres … » Etude du genre épistolaire Séance 1 : Lecture - Découverte. - Le professeur distribue une enveloppe à chaque élève de la classe. Cette enveloppe contient : •  une lettre ouverte expliquant les enjeux de la séquence, •  des documents qui s'apparentent au genre épistolaire, •  et les consignes du premier travail. Lecture de la lettre. Les élèves la reformulent et analysent le travail demandé Application

LA CHAMBRE DES OFFICIERS Marc Dugain Étude de l’incipit : p. 9 à 11 « …son mouchoir. »   1. Le contexte historique : Quel est le moment historique évoqué ? (mobilisation générale 1er août 1914) Comment le savons-nous ? 2. Les émotions : Quelles sont les émotions évoquées ? De la part de quels personnages ? Qu’en est-il du narrateur et de sa famille ? 3. Chabrol : Faites le portrait physique et moral du personnage. Où Adrien l’a-t-il connu ? Pourquoi l’auteur nous fait-il rencontrer ce

connus. On peut tout simplement demander à nos grands parents et arrières grands-parents qui eux aussi ont vécu la guerre. Certains préfèrent regarder un film; documentaire ou cinématographique. D'autres trouveront l'art pictural plus approprié. Jean Rouaud a écrit :"Nous n'avons jamais vraiment écouté ces vieillards de vingt ans dont le témoignage nous aiderait à remonter les chemins de l'horreur". J. Rouaud dénonce la guerre et ses fondements et nous invite à y réfléchir. Ainsi, on peut se poser cette

8 A. Le patriotisme avant tout 9 1°/ L’enthousiasme de la mobilisation 9 2°/ Le rôle des femmes 11 3°/ Le rôle de la propagande 17 B. L’image du soldat à l’arrière

Lettres de poilus René Jacob : René Jacob a été tué à Verdun en 1916. Il était fils de charron et lui-même boulanger à Bussy-en-Othe dans l’ Yonne. Il laissait derrière lui sa femme Lucie, et trois enfants dont l’aînée avait huit ans. René Jacob s’adresse à son journal de bord, il consigne son dégoût face au champ de bataille. L’auteur commence par des questions rhétoriques, il décrit ainsi sont impuissance à dire se qu’il voit : l’horreur des zones de conflits raconté de manière très cru

2nde BEP                             FRANÇAIS                                                                           Année 2005­2006  Œuvres à vous procurer (elles seront disponibles à la librairie Amblard) · · · · · · Paroles de poilus, lettres et carnets du front 1914­1918 (librio n° 245) Kreysman Taylor, Inconnu à cette adresse (livre de poche jeunesse n° 792) Nouvelles à chute (classiques et contemporains magnard n° 59) La télé nous rend fous ! Anthologie (Etonnants classiques n° 2221) Georges Feydeau

1 ¼ Proposition de R.M. DUCHENOY et A. HUYEZ . Troisième Collège SAINT-MICHEL L'ouvrage de référence est le Nathan I LE MONDE EN 1914 Carte au rétroprojecteur + Doc 1 p 16 Questions : 1. Quels sont les grands empires coloniaux en 1914 ? 2. Peut-on parler d'une domination

travail maison 2 Document 1 page 16 1) Quel événement est à l’origine de la première guerre mondiale ? Quelle en est la conséquence directe ? () 2) Pourquoi les pays européens entrent-ils les uns après les autres en guerre ? (Aidez-vous de la carte page 13) Document 2 et 3 page 16. 3) Quelles sont les deux causes de la guerre mentionnées dans ces documents ? Document 5 et 6 page 17 ? 4) Comment les Français réagissent-ils ? 5) Rédige un texte de cinq lignes indiquant

est l'un des conflit militaires les plus destructeurs de tout les temps. Elle s'est déroulée principalement en Europe de 1914 à 1918. Il s'agit du premier conflit à avoir pris une ampleur mondiale car, à cette époque les puissances européennes avaient encore leurs colonies. Pour cette raison, elle est également connue sous le nom de "la grande guerre". Lorsque la guerre a été déclarée entre la Triplice et la triple-entente, tout le monde pensait qu'elle serait de courte durée. Mais rapidement la

Analyser et comprendre des documents (10 points) HISTOIRE Document 1. Le témoignage d’un poilu « Ce matin, 16 avril 1917, […] après une nuit sans sommeil, […] attaque à 5 heures […]. Déjà l’ennemi attend, il est prêt, il guette, il bombarde presque aussi fort que nous. […] Je porte mes vivres, […] quatre grenades […] un couteau poignard […] et, enfin, mon fusil Lebel et ses cartouches, les deux masques à gaz et sans oublier mon casque. Avant de partir, nous avons fait une petite bombe1 ; comme