Relation Britannicus Et Junie

un texte théâtral ;  la notion de genre (tragédie et comédie) de • Distinguer celle de registre (comique et tragique).  groupement de textes comiques • Un  groupement de textes tragiques • Un  cursive : Jean Racine, • Lecture Britannicus (1669) Objet d’étude La tragédie et la comédie au XVIIe siècle : le classicisme Présentation de la séquence Présentation des objectifs Avant de commencer… quelques repères historiques Chapitre 1 Aspects de la comédie au XVIIe siècle

c'est avec Britannicus, dans lequel, en prenant pour sujet et pour cadre l'histoire romaine, puisque sa tragédie parle de L’empereur Claude qui a eu un fils, Britannicus, avant d’épouser Agrippine et d’adopter Néron, fils qu’Agrippine a eu d’un précédent mariage, où Néron a succédé à Claude, et où il gouverne l’Empire avec sagesse au moment où débute la tragédie, que Racine raconte l’instant précis où la vraie nature de Néron se révèle : sa passion subite pour Junie, fiancée de Britannicus, qui le pousse

Tartuffe» est un hypocrite Comparaison (Féminin): Une comparaison est une mise en relation de deux termes à l’aide d’un terme comparant (comme, tel, semblable à, etc.). Hypotypose (Féminin): L’hypotypose fait la description d’une chose comme si elle la mettait sous les yeux du lecteur, de façon animée et vivante. Figure privilégiée du genre Démonstratif. Ex: Néron évoque l’arrivée de Junie dans Britannicus(II,2):Cette nuit je l’ai vue arriver en ces lieux, Triste, levant au ciel ses yeux

âme a plus de feu que vous n'avez de cendre! Mon coeur a plus d'amour que vous n'avez d'oubli! (Hugo, Les Chants du Crépuscule) CHIASME (n.m): reprise inversée d'une même structure. Je vois mes honneurs croître et tomber mon crédit (Racine, Britannicus) CRITERE MORPHOLOGIQUE DERIVATION (n.f): répétition de mots qui ont une même base lexicale. (...) sans avoir usé de rien on est désabusé de tout. (Chateaubriand, Génie du Christianisme) POLYPTOTE (n.m): répétition d'un mot avec variation

XVII° siècle signifie : monseigneur). 2. Termes ironiques et jeux de mots : - Droit à la politesse, mais également à l’argent. - Antiphrase : au meilleur de mes amis. Politesse insolente et insultante, qui rappelle la réplique de Junie à Néron, dans Britannicus, de Racine : j’ose dire pourtant que je n’ai mérité ni cet excès ni cette indignité. 3. Réaction de Monsieur Dimanche : humilité forcée mais gêne et malaise. 2°) La stratégie de Don Juan : 1. La tactique du siège : - Objectif de

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC A MONTRÉAL LA TRAGÉDIE RACINIENNE: DE L'ESTHÉTIQUE CLASSIQUE À LA PEINTURE DES PASSIONS DANS 3 ŒUVRES: ANDROMAQUE, BRITANNICUS ET PHÈDRE MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME ÉXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRlSE EN ÉTUDES LITTÉRAIRES PAR THOMAS CAMPBELL JANVIER 2008 UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL Service des bibliothèques Avertissement La diffusion de ce mémoire se fait dans le respect des droits de son auteur, qui a signé le formulaire Autorisation de

la parole au théâtre ? Le texte théâtral est construit comme un long dialogue, constitué des répliques échangées par les personnages : la longueur des répliques, les jeux d'échos qui se créent entre elles, renseignent souvent sur la nature des relations entre les personnages. Ainsi, par exemple, lorsque de très courtes répliques se font suite et s'enchaînent rapidement, on les appelle des stichomythies : ce procédé caractérise un échange vif entre deux personnages et peut traduire l'intensité tragique

le spectateur ne peut y voir l’image d’un évènement susceptible d’arriver dans la vie réelle. Les tragédies soumettent aussi les évènements à un rythme qui n’est pas celui de la vie. Dans ​ Britannicus​ , Néron est censé, en vingt-quatre heures, faire enlever Junie, en tomber amoureux, faire arrêter Britannicus, se réconcilier avec lui et finalement l’assassiner. Dans le théâtre de l'absurde, ce sont des faits surnaturels qui soutiennent la tension de l'action. Ainsi, chez Ionesco, les hommes se transforment

VIII • Acte deuxième – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV – Scène V – Scène VI – Scène VII – Scène VIII – Scène IX – Scène X – Scène XI – Scène XII – Scène XIII – Scène XIV • Acte troisième – Scène I – Scène II – Scène III – Scène dernière Britannicus • • Adresse • Première préface • Seconde préface • Acteurs • Acte premier – Scène I – Scène II 6 – – – – Théâtre complet Scène III Scène IV • Acte deuxième – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV – Scène V – Scène VI – Scène VII – Scène

d’insatiables passions, nombre de ses héros illustrent l’emprise des trois concupiscences condamnées par saint Augustin. À lalibido sentiendi, recherche de satisfactions sensuelles, correspond la fureur amoureuse de Phèdre ou de Roxane. Néron (Britannicus), Agamemnon (Iphigénie), Athalie, Mathan (Athalie) incarnent la libido dominandi, amour du pouvoir, empire de l’ambition, de l’orgueil. La libido sciendi est un vain appétit de connaissances, une curiosité éperdue : « Ah ! Que vous enflammez mon