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Investissement ou consommation ? Un air de déjà vu Investissement ou consommation ? Un air de déjà vu 19 February 2009 By Bertrand DUPERRIN 4 Comments Dans de nombreux pays le débat fait rage afin de savoir si la politique de relance la plus adaptée est une politique de relance de la consommation ou de l’investissement. Cela relève de deux logiques différentes : dans un cas on essaie de limiter les effets de la crise et leur impact sur les ménages (et par ricochet sur les entreprises), dans l’autre

(contraction de l’activité économique) A l’inverse en diminuant ce cout de refinancement des banques, la banque centrale les incite à augmenter d’avantage les activités de redistributions de crédit en faveur des agents économiques ( politique de relance). En résumé, le taux de refinancement permet à la banque centrale d’agir sur la distribution de crédit des banques et donc sur le processus de création monétaire qui régule à son tour l’activité économique. Remarque : En réalité c’est un taux

production afin de répondre a la demande et d'attirer les consommateurs dans le but de profits . C'est aussi , un facteur de croissance à effet multiplicateur . Le multiplicateur d'investissement développé par Kenz est a la bases des politique de relances keynésienne qui provoque un effet de second tour sur le circuit économique engendré par l'investissement.nvestissement autonome : investissement qui n’est pas dû à la demande. On se place dans le cas d’un investissement autonome (exemple : politique

gouvernements occidentaux. L’Etat est redevenu un acteur central de l’économie par sa capacité à mobiliser des fonds. Ainsi, quelle politique budgétaire doit adopter un Etat en période de crise et surtout à quel horizon ? I. La nécessité de la relance budgétaire A. La puissance étatique Les quatre documents présentés insistent sur la nécessité de l’intervention de l’Etat pour une sortie de crise. En effet, l’Etat dispose de ressources qui peuvent s’avérer très utiles dès lors qu’elles

dynamique des activités de production, notamment pour les secteurs tournés vers les marchés extérieurs, et celle de l'exacerbation de la concurrence et de l'écart de la compétitivité sur le marché intérieur. Force est de constater que la politique de relance, via la demande intérieure tant prônée au cours des dernières années, a montré ses limites à cause d'une faible intégration intersectorielle des secteurs productifs locaux. 85% des intrants importés sont incompressibles Dans son analyse sectorielle

conjoncturelles. En effet, une politique de relance n’est plus aussi efficace qu’elle ne le fût au cours des années 70. Une politique de relance vise à augmenter la demande par un abaissement du taux intérêt. Or, une politique monétaire expansive peut générer de l’inflation (et donc une baisse de la compétitivité extérieure), diminuer le taux d’intérêt créerait une fuite des capitaux vers des pays aux taux d’intérêts plus avantageux (Keynes) et relancer la demande pourrait pousser les ménages à consommer

propose de soutenir la consommation au lieu de favoriser la consommation. Les mesures de relance économique selon MALTHUS : * Il évoque le commerce extérieur qui peut, selon lui, alimenter une demande plus soutenue, * Moyen d’étendre les débouchés, il donne «  le pouvoir et la volonté d’employer plus de travail » * Propose aussi l’utilisation des dépenses publiques comme instrument de relance de la demande. Il en vient ainsi à considérer que la loi des débouchés est fausse : Au contraire

« Le principe contra cyclique dans les politiques de relances keynésiennes : fondements et critiques » INTRODUCTION : La révolution keynésienne a totalement remis en question le credo libéral. On peut considérer John Maynard Keynes comme le fondateur d'une des constructions intellectuelles les plus importantes de notre siècle. La pensée keynésienne est basée sur le fait de considérer que la demande effective (c'est-à-dire le niveau de consommation et le niveau d'investissement) détermine

consommation s’est ralentie. Le système productif né de la deuxième révolution industrielle est à bout de souffle. IV- La reprise et ses incertitudes A- Des réponses à la crise La plupart des gouvernements tentent d’appliquer un politique de relance inspirée des principes de Keynes, ceci à pour cause d’augmenter brutalement les déficits publiques et d’affaiblir les monnaies. Mais l’augmentation de la consommation ne favorise pas forcément les entreprises nationales (concurrence du Japon et de

être compensé par le budget fédéral. D’autres part le Budget f peut financer DP publiques délibérés dans el cadre de la politique discrétionnaire ( en Europe,pas de relance concerté pourtant elle permet de limiter les fuites lié aux importations donc limiter la baisse du multiplicateur eco). Si relance concertée le cout de la relance ne sera pas supporter pour un seul pays donc permet de imiter l’endettement des pays. Budget fédéral peut jouer rôle stabilisateur, si on augmente considérablement ce