Relance Client

ont été envisagé pour sortir de la crise de la dette : l’austérité, la mutualisation et la relance. Ainsi on peut se demander quelles sont les forces et les faiblesses de chacune de ces stratégies ? Quelle est la stratégie la plus envisagée par l’UEM ? Nous commencerons donc par la stratégie dite d’austérité, puis ensuite nous étudierons la stratégie de mutualisation et nous finirons par le plan de relance. L'austérité est un adjectif synonyme de rigueur économique. L'austérité est attachée

déficits budgétaire Situation où les dépenses du budget de l’état sont supérieures au recettes de l’état. ( 2000 : loi de Finance : D = 1692 MMF R = 1473,7 MMF Solde = déficit de l’etat = -215,3 MMF Pour les Keynésiens = moyens de relance de l’économie ( déficit public Notion plus large car au solde des dépenses et recettes de l’état, on va rajouter le solde des dépenses et recettes des collectivités locales et des organismes de sécurité sociales. Les organismes de sécu sociales

en cause du rôle de l'Etat L'Etat se révèle inefficace face à la récession : sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing, l'Etat hésite entre une politique de relance par la consommation et une politique monétarisme de rigueur (stop and go) ; de même sous la présidence Mitterand après avoir instauré une politique de relance et une vague de nationalisations, on assiste à un retour à une politique de rigueur. Depuis 1986, l'Etat se désengage économiquement ; les privatisations opérées

pour essayer de contre carré la récession (baisse du niveau de l’activité éco et de l’emploi -> chômage). Les états ont essayé de prendre les choses en main -> Plan de Relance. Ex : Fr :35 milliards d’€ ; USA : 700 milliards d’€ Ils ont augmenté la dépense, sans prélever les impôts => Recours a l’endettement (Relance Keynésienne) * Baisse du niveau de l’activité économique (PIB baisse) Les revenus des agents éco s’effondrent = recettes de l’Etat s’effondre (- de profit, - de dividende

forte et à une inflation contenue, vise à réduire le coût des importations et à favoriser les exportations. 2. Quels sont les outils de cette politique? La désinflation compétitive est une politique économique de rigueur, s’opposant à la politique de relance conjoncturelle préconisé par J.M. Keynes. Tout d’abord, il s’agit de réduire la croissance de la masse monétaire par une politique monétaire restrictive. Ensuite, cela passe par une politique budgétaire temporaire restrictive, soit une réduction des

le revenu ? Ces questions prennent un relief particulier dans le contexte d'une contraction du crédit justifiant une réaction de gouvernance économique par des politiques budgétaires « contra-récessives ». Cela, d'autant plus qu'une politique de relance optimale contre la crise pourrait devoir reposer non seulement sur l'investissement, mais aussi s'appuyer plus largement sur la consommation des ménages pour juguler aussi rapidement que possible les anticipations déflationnistes. Les réponses apportées

DE CHOMAGE NATUREL Incompressible, résulte du chômage frictionnel et structurel, c'est-à-dire à l’inadaptation de certains individus aux caractéristiques du marché du L. NAIRU=Non Acceleration Inflation Rate of Unemployement. Toute politique de relance a un effet nul pour combattre ce chômage et ne peut que stimuler l’inflation. ANTICIPATION -naïve : même chose hier et aujourd’hui -effective : en fonction des choses passées -rationnelle : en fonction de tout. Prévision formée par des agents

2008, les quatre plus grands pays européens- l’Allemagne, la France, la Grande-Bretagne et l’Italie- réclamaient un assouplissement des règles. De fait, l’adoption des plans de soutien financier tout d’abord, puis la mise en place d’une politique de relance ont suspendu l’application du PSC. Toutefois, l’urgence de la situation n’empêche pas les institutions – par la voix de José Manuel Barroso pour la Commission et celle de Jean-Claude Trichet pour la Banque centrale européenne – de rappeler la nécessité

1975) "L'international commande, le national suit." Les politiques économiques national et autonomes, sont de moins en moins efficace pour stimuler la croissance. -----> C’est la fin des politiques autonomes --> échec cinglant de la politique de relance de 1981. (Dernière politique Keynésienne). Corée du sud (pays émergent : 11 eme puissance). Élie Cohen dit que dans une dizaine d'année la Chine à la première puissance mondiale, L'Inde deuxième. Et les États Unis 3 eme ou 4 eme puissance mondiale

fait que l’ampleur du chômage s’explique par l’existence d’une crise économique. La solution passe par un assainissement de la situation économique. Deux types de politiques peuvent être envisagées : une politique de relance économique ou une politique restrictive. Une politique de relance de type keynésienne se heurte à trois obstacles : le taux d’inflation ; la contrainte extérieure et l’équilibre des fiances publiques. Une politique restrictive de type libérale ne parvient pas non plus à résoudre