Registre Pathétique Peine De Mort

du lecteur. Tandis que le texte A ( extrait de « Madame Bovary » ) et le texte C ( extrait de « La Parure » ) mise sur l'aspect pitoyable et déplorable de l'héroine, le texte B ( extrait de « L'assommoir » ) au contraire semble mettre en valeur la peine que ressent cette héroine vis à vis d'autrui. Dans « Madame Bovary », le lecteur est ici apitoyé par un tel personnage. L'auteur utlise un effet de gradation pour décrire cette héroine misérable au début: « de grosses larmes lui découlèrent des yeux

deux scènes = effet dramatique + urgence qui va crescendo jusqu'à la mort de DJ. Urgence, deux appels au repentir spectre : « Don Juan n'a plus qu'un moment à pouvoir profiter de la miséricorde du ciel et s'il ne se repent ici, sa perte est résolue » statut : « Don Juan, l'endurcissement au pêché traîne une mort funeste » C. un dénouement spectaculaire grâce à l'intervention du surnaturel (rappelle le mouvement baroque) la mort de DJ sur scène : feu invisible, brasier ardent = châtiment infernal

« des martyrs ». Par conséquent, l’affiche ne remplit pas du tout son objectif initial de propagande, c’est un échec total. Strophe pour se souvenir : ce texte est à la fois un poème et une oraison funèbre (discours public prononcé en l’honneur d’un mort illustre) car le discours a été lu en public lors de l’inauguration et qu’il s’adresse à un public particulier « vous » v1/3 qui désigne les morts des Francs-Tireurs. Le mètre utilisé est l’alexandrin, vers le plus solennel de la langue française qui

Les Complaintes Jules LAFORGUE 1885 Le Poète_ Jules Laforgue, né à Montevideo le 16 août 1860 et mort dans le 7èmé arrondissement de Paris le 20 août 1887, est un poète français. Connu pour être un des inventeurs du Vers libre il mêle en une vision pessimiste du monde mélancolie, humour et familiarité du style parlé. Il est né d'une famille qui avait émigré en espérant faire fortune, il est le deuxième de onze enfants. À l’âge de six ans, il vient en France avec sa mère, dans la ville de Tarbes d’où

L’extrait étudié appartient à la nouvelle Carmen, écrite pas Prosper Mérimée, auteur de la génération romantique, elle est parue à l’apogée de ce mouvement littéraire, en 1845. L’auteur nous présente le dénouement tragique du récit: la mort attendue de Carmen. Dans ce chapitre, le narrateur initial s’efface et cède sa place à Don José, ce qui permet d’avoir un témoignage de première main. En effet, Don José se confesse au narrateur et lui relate ainsi son histoire avec la gitane, le passage étudié

L’auteur par son texte, fait apparaitre les situations pathétique, comique par lesquelles, n’importe quel adorateur jaloux dans n’importe quel siècle, passe. La jalousie de l’amour met souvent l’amoureux dans un état d’esprit navrant pendant cette période, la personne se sent ridicule, l’emploi de mot « honte », insiste sur le fait que Swann ne se sent pas bien et mal a l’aise dans ce qu’il fait. C’est l’histoire d’amour pathétique dans laquelle un des deux n’a pas confiance en l’autre ,c’est

romantique · PROB : comment ce poème transmet il les émotions provoqué par l’absence de l’être aimée, tout en proposant une réflexion profonde sur le temps qui passe ?MOUV1: question rhétorique à la réflexion sur la vie et la mort · Tout d’abord , la première strophe est une élégie/plainte contre le temps ce composant de 3 alexandrins et de rimes croisée et un hémistiche 1. V1/ainsi: adverbe annonçant une conséquence , une conclusion

d’exagération (Tirade des « non merci ») - Les registres grâce au tableau registre. - Les types de phrase. - Les comiques. - Le quiproquo (Rencontre Cyrano/Roxane). - Les procédés de l’éloquence (Répétitions et anaphores/Rythme –énumération, accumulation, gradation/ Les comparaisons et les métaphores/ Le choix du vocabulaire/ Les oppositions lexicales/Les modalisateurs/L’interrogation rhétorique et l’exclamation). FICHE REGISTRES Indiquez les registres utilisés par l’auteur pour chaque scène étudiée

accentuent la grande souffrance et douleur ressentie par Œnone. Elle incarne la voix de la raison au vers « Par de vaines frayeurs cessez de m’offenser. » (vers 8) quand Phèdre s'abandonne à sa folie, et de la vie quand Phèdre parle de se donner la mort. L’enchaînement des répliques s’opère à chaque fois sur un mot d’Œnone que Phèdre répète et qualifie péjorativement (« votre sang », « ce sang déplorable » ; « aimez-vous », « De l’amour j’ai toutes les fureurs »). Au comble de l’impatience, Œnone

et les brise, il satisfait la curiosité excitée et complète l’impression générale. Il est la dernière réponse à cette série de questions dans lesquelles se traduit tout l’intérêt d’une lecture ou d’un spectacle. Le dénouement, c’est tour à tour la mort du héros principal ou son triomphe, l’achèvement d’une œuvre ou la consommation d’une catastrophe, c’est la vertu récompensée ou malheureuse, l’innocence sauvée ou opprimée, ce sont toutes nos sympathies trompées ou satisfaites par l’événement définitif