Registre Pathétique Peine De Mort

de tous les cœurs. La belle et infortunée Saint-Yves sentait déjà sa fin approcher ; elle était dans le calme, mais dans ce calme affreux de la nature affaissée qui n’a plus la force de combattre. "O mon cher amant ! dit-elle d’une voix tombante, la mort me punit de ma faiblesse ; mais j’expire avec la consolation de vous savoir libre. Je vous ai adoré en vous trahissant, et je vous adore en vous disant un éternel adieu." Elle ne se parait pas d’une vaine fermeté ; elle ne concevait pas cette misérable

autorisés à agir ainsi que la mère […] commença à mal payer.’ (l. 21-22). Le portrait de Cosette qui constitue la deuxième partie du chapitre (l. 20-37) est construit tout en opposition à celui des Thénardier, dans un registre pathétique clairement destiné à apitoyer le lecteur. Ce registre repose sur trois éléments : il est lié à son âge ‘avant même qu’elle eût cinq ans’ (l.15) et renforcé par l’allusion à l’histoire de Dumolard (l. 17-19) ; il est lié aux fonctions qui lui sont imposées ‘souffre-douleur’

la bénédiction du religieux,Atala,par fidélité à un vœu de virginité fait jadis à sa mère,s'est empoisonnée pour ne pas être parjure. Ce texte est d'une portée romantique dont lequel l'auteur cherche à faire naître chez son lecteur des émotions pathétiques,sa tonalité tragique,cet scène se compose en deux parties : la première est de ((Ici la voix d'Atala s'éteignit […] je promis à Atala d'embrasser un jour la religion chrétienne)),dépeint le testament d'Atala,et le second de ((A ce spectacle[…]Atala

aurait bien aimé vivre. Mais il n’y a rien à faire." (p. 9) Il l’indique aussi pour d'autres personnages : " (...) que son tour vienne de se lever et mourir." (p. 11) Il présente la mort comme un fait inévitable et simple. Il souligne non pas la violence de l’histoire, mais le repos qui concerne tous les personnages. La mort est vue ici comme un fait ordinaire, un fait qu’il faut observer et accepter : “Tous ceux qui avaient à mourir sont morts.” (p. 123) Les spectateurs ou les lecteurs connaissent donc

conditions de travail inhumaines, des logements insalubres et sordides, la famine effroyable, qui semblent traverser les siècles. On peut relever dans l'ensemble de ces textes des procédés rhétoriques, des procédés de style qui renforcent la tonalité pathétique. On peut d'abord étudier le recours fréquent aux comparaisons et aux métaphores, dans les textes de La Bruyère, de Victor Hugo, de Rimbaud et de Zola. Le texte de La Bruyère est bâti essentiellement sur la métaphore filée de l'animal. L'assimilation

que déserter était passible de la peine de mort et jugé irrespectueux envers les anciens, les actuels et les futurs combattants de guerre. Pour sa défense, Boris Vian lui avait envoyé une lettre qui est connue sous le nom de Lettre ouverte à Monsieur Farber où Boris Vian qualifie sa chanson de « procivile » et non d'« antimilitariste ». Boris Vian Écrivain, Poète, parolier, chanteur, musicien, peintre et compositeur, Boris Vian est né le 10 mars 1920 et est mort le 23 juin 1959 à l'âge de 39 ans

donc malade, peut-être gravement. Elle a aussi « une douleur fixe dans l’épaule » (l.36). Toutes ces atteintes physiques renforcent l’aspect misérable de la jeune femme, déjà amorcé par l’état de ses vêtements. Cela annonce aussi très probablement sa mort. Elle perd finalement toute dignité lorsqu’elle se prostitue, cette action étant désignée par le terme général « en vendant le reste » (l.54). Fantine nous apparaît comme une mère exemplaire, entièrement dévouée à son enfant et prête à tout pour

disent que leur femme de chambre était leur meilleure amie et la personne a qui elles partageaient tout. Dans ce cas on s’aperçoit que une comédie plaisante aura instruit et encourager les maitres a être plus « humain » avec leurs serviteurs. Les registres ironique et satirique sont un des moyens les plus efficaces afin de persuader par le rire. L’ironie est une figure de rhétorique par laquelle on dit le contraire de ce qu’on veut faire entendre. Celle-ci permit surtout

caché des événements.   Le procédé de la Bécasse. Rappel dans le but de vérifier s’il a été respecté par Maupassant. 4) Analyse de Aux champs (tableau de Lepage, Intérieur paysan ?); La rempailleuse ; La peur selon personnages, narrateur, registres, chute et incipit, thèmes, la femme, les procédés pour « faire vrai ». La rempailleuse : - Point de vue narratif : fin d’un dîner d’ouverture de chasse chez le marquis de Bertrans, 11 chasseurs, 8 femmes, un médecin. Un tel repas était une pratique

qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer. Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! » O servitude infâme imposée à l'enfant ! Rachitisme ! travail