Regard Du Narrateur Madame Bovary

PINÇON-CHARLOT "Sociologie de la bourgeoisie" (1991) […] L’air du bal était lourd ; les lampes pâlissaient. On refluait dans la salle de billard. Un domestique monta sur une chaise et cassa deux vitres ; au bruit des éclats de verre, Mme Bovary tourna la tête et aperçut dans le jardin, contre les carreaux, des faces de paysans qui regardaient. Alors le souvenir des Bertaux lui arriva. Elle revit la ferme, la mare bourbeuse, son père en blouse sous les pommiers, et elle se revit elle-même

voyage et histoire B. La relation de voyage : un genre mixte C. Lecture analytique n° 2 : Cyrano de Bergerac, L’autre monde ou les états et empires de la lune Corrigés des exercices 3. Regards de voyageurs du XVIIIe au XXe siècle : l’Autre, miroir et mire de soi A. Roman épistolaire et croisement des regards : les Lettres persanes de Montesquieu B. Lecture analytique n° 3 : Bougainville, Voyage autour du monde C. Lecture analytique n° 4 : Nicolas Bouvier, L’usage du monde Corrigés des exercices

Tout d’abord, le récit commence de manière chronologique, Après la journée d’enterrement de la mère du narrateur, la chronologie des événements s’enchaînent (de nombreux connecteurs spatio temporels). C’est ce qui peut faire pencher la caractérisation du texte vers une écriture diariste (c’est-à-dire un journal intime). L’énonciation (celui qui parle, qui raconte)

Texte 6 : Flaubert, Madame Bovary, le couvent Grandes lignes du plan: I. Différents points de vue II. Les stéréotypes romantiques I. Différents points de vue a) La vieille fille Ici, l. 73, "messieurs" est en italique → il s'agit d'un mot important pour elle dans son vocabulaire et il n'y a aucune raison qu'il renvoie à Homais. b) L'héroïne * L'expression "bonne sœur" l. 59 est soit méliorative et renvoie alors à Emma (elle vient d'une ferme donc langage simple), soit

Gustave FLAUBERT Madame Bovary Emma, épouse du médecin Charles Bovary, a pris un amant, Rodolphe ; elle espérait partir avec lui. Rodolphe se dérobe : elle vient de recevoir une lettre de rupture. " Tout épouvantée, (...) haletante, éperdue, ivre ", elle fuit jusqu'à la mansarde située au second étage de sa maison. En face, par-dessus les toits, la pleine campagne s'étalait à perte de vue. En bas, sous elle, la place du village était vide, les cailloux du trottoir scintillaient

LECTURE ANALYTIQUE 2 Fin de Madame Bovary, Gustave Flaubert, 1857 Nous sommes ici dans les dernières pages du roman de Madame Bovary écrit par G.Flaubert. Ouvrage paru en 1857 raconte la destinée tragique d’Emma Bovary, personnage épris de romantisme d’idylles et de rêverie lyrique. En effet, l’héroïne éponyme qui dans sa jeunesse s’est abreuvé de romans sentimentaux va pour tromper son mari, ainsi elle va souffrir de ses grandes passions auprès de ses amants. Accablée de dettes, elle se suicide

livre : un romancier, alter ego qui leur ressemble et les nie. Le roman peut donc se contester lui-même de l'intérieur. 4 Par l'introduction du point de vue De Diderot à Flaubert, le narrateur concentre la force de dérision du roman. Si Flaubert se moque de ses personnages et de lui-même, le narrateur de Jacques le fataliste dénonce ouvertement le lecteur traditionnel, gouverné par les stéréotypes. 5 Par le statut du lecteur Pratiquée isolément, au rythme que détermine le liseur, la

Le livre don est extrait le texte est Madame Bovary. Roman réaliste du XIXe siècle se roman fut condamner la même année qu'un autre chef-d’œuvre de la littérature française qui n'est autre que les fleurs du mal de Baudelaire. Il a été écrit pas Flaubert qui est le chef de file du mouvement réaliste avec Maupassant ils forment l'élite du réalisme. Flaubert à grandit en Normandie et son enfance fut ennuyeuse. C 'est deux point point de la vie de Flaubert sont transcrit dans cet extrait. Le registre

félicité d’un château Romanesque. Ce lieu est représenté comme sombre sinistre et lugubre. Le narrateur s’appuie sur de nombreux procédés stylistiques pour nourrir sa description subjective du lieu et use ainsi d’une anaphore-at la répétition de "une ville" (l.29, 30, 31) afin de mettre en exergue le centre de ses pensées dans ce passage. Notons également l’énumération reflétant les pensées du narrateur, dévoré par l’aspect sauvage, isolé et inhabité du cadre Spatio-temporel, et use d’un champ

« on » qui promène ce miroir ? Il renvoie au romancier : romancier absent, n’intervenant pas dans son roman, il se contente de se promener le long d’un chemin. * Cette promenade métaphorique peut alors désigner le fil narratif et la position du narrateur dans sa narration. Antithèses : Un miroir que l’on promène le long d’un chemin, ce n’est pas : * un miroir que l’on promène dans l’esprit d’un psg (roman d’introspection) ; * ni dans des espaces imaginaires (roman utopique, pastoral) ;