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I - structure de L'Oeuvre Le roman est divisé en 12 chapitres. a) le schéma narratif Les chapitres 1à 5 représentent les espoirs, l'idéal de Claude. Cette phase euphorique se termine avec l'échec de Plein air au Salon des Refusés. Le chapitre 6 constitue une parenthèse. Claude, ulcéré par les critiques, fait retraite dans son nid d'amour à la campagne, à Bennecourt, en bordure de Seine. Après la période de "lune de miel", Claude finit par s'y ennuyer et rentre à Paris au bout de 3 ans

De plus, c’est une période de prospérité économique. En littérature on assiste à une renaissance du roman et la poésie. La mort de Duplessis viendra mettre une fin cette période. Malgré ses efforts, Paul-Émile Borduas fera peu d’adeptes avec son Refus global (1948). Ce manifeste de la révolte est par contre source d’inspiration pour plus d’un auteur. C’est dans cet esprit que Gérard Bessette propose de s’affirmer avec Le Libraire 1960. Dans ce roman Hervé Jodoin, personnage principal, adopte

tandem Duplessis-clergé n’épargnait pas les assoiffés de réformes et de liberté, pas plus que ne l’avaient fait avant les Taschereau ou les Godbout. Parmi ces « assoiffés » de liberté se trouvaient des artistes comme Paul-Émile Borduas qui a vu son Refus Global censu-ré par les journaux et qui fut congédié par L’École du Meuble. C’est au début de cette période que Gabrielle Roy allait publier, à sa manière, un véritable manifeste social—écrit en filigrane dans Bonheur d’occasion; un portrait de société

1865, l'oeuvre mesurait plus de quatre mètre sur six et devait constituer un hommage mais aussi un défi à l'égard de Manet dont le tableau du même titre avait été l'objet des sarcasmes du public et des critiques lors de son exposition au Salon des Refusés en 1863. Mais le projet fut abandonné en 1866, juste avant l'inauguration du Salon auquel Monet le destinait. En 1920, Le peintre raconte lui-même ce qu'il est advenu du tableau : "je devais payer mon loyer, je l'ai donné en gage au propriétaire

presque aucune ombre, ainsi, l'éclairage de la scène n'est pas naturel. Cela nous donne l'impression que la scène n'a pas été peinte à l'éxterieur. III. Le Déjeuner sur l'herbe: Source de scandale et de polémique En 1863, Le déjeuner sur l'herbe fut refusé par le comité du Salon officiel de Paris, qui considérait cette oeuvre trop provocatrice et obscène et qui acusait Manet de travailler que par esquisse floue et incohérentes. 1) Les dimensions de l'oeuvre Cette oeuvre fut l'objet de critique aussi

littérature québécoise au 20e siècle a connu beaucoup de déboire. Elle a été censurée pendant plusieurs années par le clergé et le gouvernement de Maurice Duplessis. Ensuite, il y a eu Paul-Émile Borduas et son groupe qui ont créé le manifeste du refus global, vers 1960, qui a sauvé notre littérature et nos écrivains ont pu désormais écrire sur l’imaginaire, le crime et toute autre valeur qui n’étaient pas celles de l’église. Dans le début des années 80, Monique Proulx a publié son premier livre

sur toile Né à Montréal en 1923, Jean Paul Riopelle a fait de la peinture, de la sculpture, l’estampe, la céramique et la lave emmaillée. Il est membre du groupe des AUTOMATISTES de Paul-Émile Borduas. C’est Riopelle qui illustra la jaquette du Refus Global en 1948. Il vit à Paris (1948) où il devint un des chefs de file à l’école abstraite de Paris et en 1966. Il était très populaire à New York et représentait fièrement le Canada autour du monde, notamment à Venise. Il est considéré comme un

l’Art moderne tout entier dont il s’agit. En effet, avec Le Déjeuner sur l’herbe, Manet va provoquer un véritable tollé parce que cette œuvre se détache des conventions artistiques de son temps, qu’est la peinture académique. C’est au Salon des Refusés en 1863, nouveau lieu d'exposition inauguré par Napoléon III accueillant, à la demande des artistes, les œuvres rejetées au Salon officiel, que le Déjeuner sur l’herbe suscite de vives critiques de la part d’un public, notamment l’Impératrice, offusqué

existence de mort vivant, sans grand espoir d’être un jour libéré ou qu’il doive se résigner à être exclu socialement et culturellement. Comme Borduas qui a été congédié de son poste de professeur à l’École des Meuble à la suite de la parution du Refus global. C’est alors que les chances sont faible de survie pour un artiste qui décide de rester au pays, alors que le parti de l’Union nationale est dirigé par Maurice Duplessis est au pouvoir et que l’Église catholique est la puissance même. C’est

les Automatistes, où il devint chef de file du mouvement automatiste. Écrits de l’artiste Au sein du groupe les Automatistes, il a rédigé plusieurs écrits dont le Refus Global, en 1948, un manifeste qui met en question les valeurs traditionnelles, dont la foi catholique et l’attachement aux valeurs ancestrales, et qui propose le refus de toute idée de repliement sur soi afin de promouvoir l’idéologie d’ouverture sur la pensée universelle pour la société québécoise. Cet écrit est disponible à la bibliothèque