Réductionnisme

les maladies aiguës a permis le développement des vaccins et des antibiotiques Limites: s'intéresse plus à la maladie qu'à la personne les facteurs comportementaux et sociaux sont secondaires ou accessoires participe du réductionnisme et du dualisme du corps et de l'esprit permet peu la prévention favorise le rôle des soignants au détriment de l'implication des soignés b) modèle biopsychosocial maladie appréhendée comme une intéraction entre des facteurs biologiques

du holisme est sa configuration d'un agrégat cohérent et unifié composé de moindre ensembles. Une approche holistique de l'organisme humain embrasse et affirme la complexité, l'inclusion, la diversité, et résiste inexorablement toute forme de réductionnisme (Wulf, 1998). L'humanisme, comme une approche multidimensionnelle de l'expérience et du comportement humain, met l'accent sur l'autonomie de l'individu-actualisation et l'unicité, avec le choix et l'intégration qui a suivi. Le chevauchement

beaucoup de penseurs, le plus souvent russes, développèrent le sillon matérialiste et l'économie, pour proposer des théories monistes (jusqu'à Bogdanov et son empiriomonisme), parfois behavioristes (Pavlov), et assumant parfois pleinement le réductionnisme qu'est l'économisme. • le marxisme "occidentale" : en rupture avec le marxisme russe, du temps de Lénine (cf. Marxisme et philosophie de Korsch) ou de Staline (cf. Le Matérialisme dialectique de Henri Lefebvre), ou suivant les courants révisionnistes

dégager la science du carcan des idées métaphysiques dominant au XIXe siècle, le positivisme a eu une influence décisive sur la science et la philosophie contemporaines. Parmi les tendances qui s'en inspire, on peut noter le positivisme logique, le réductionnisme, ... Cependant, on constate que les avancées les plus spectaculaires de la science sont amenées par des interrogations sur le « pourquoi ? » avant d'être des questions purement techniques. On peut penser que la science positiviste est condamnée

Cette perspective d’analyse par l’approche des intérêts ne permet pas d’impacter l’efficacité de cette loi, car même si les théories du choix rationnel constituent des atouts tirées de l’aspect économique, la perspective conduit aussi à un certain réductionnisme. On peut reproche à cette approche son principe de base : l’homme rationnel maximisant son utilité personnelle. Et ainsi donc elle met de coté les valeurs comme l’éthique, la morale, l’idéologie, l’altruisme, les émotions qui ne sont pas perçues

réprimées de l'inconscient et suscite tout un monde de fantasmes symboliques : ils assurent l'assouvissement factice de ce que l'on ne peut se permettre à l'état de veille. » Critique de la conception psychanalytique de l'art: ? Il s'agit d'un réductionnisme : l'expérience de la valeur, ici la Beauté, est niée en tant qu'elle est l'objet d'une étude réductrice. La dimension de transcendance de l'homme (Kant, Schopenhauer, Platon, Hegel) dans l'expérience esthétique est méconnue. L'homme ne se transcende

positivisme logique. Le premier est la distinction entre vérités analytiques et vérités synthétiques : il y aurait des propositions vraies indépendamment des faits, qui seraient vraies en vertu de leur seule signification. Le second dogme, le réductionnisme, est la théorie selon laquelle les énoncés doués de sens peuvent être reformulés en énoncés portant sur des données de l'expérience immédiate (dans ce cas un énoncé analytique serait un énoncé confirmé par l'expérience dans tous les cas). Ce

qu’ils ont d’eux- mêmes  : l’univers de l’art est un univers de croyance, croyance dans le don, dans l’unicité du créateur incréé, et l’irrup- tion du sociologue, qui veut comprendre, expliquer, rendre raison fait scandale. Désenchantement, réductionnisme, en un mot grossièreté ou, ce qui revient au même, sacrilège : le sociologue est celui qui, comme Voltaire avait chassé les rois de l’histoire, veut chasser les artistes de l’histoire de l’art. Mais cela tient aussi aux sociologues qui se sont

126-129, 131-132, Index 255 136, 140-144, 148, 152-156, 205, 228, 237, 245-247 Rawls J. : 44-45, 47, 147, 151-152 réaliste : 233, 235-236 réalité : 13, 33, 38, 40, 47, 56, 153, 167, 170, 194, 196, 209-210 réduction : 41, 212-216, 227, 238 réductionnisme : 31-32, 40, 51-52, 54, 212, 215, 228, 238 réentrées : 221-222 relativisme : 50, 157 réminiscence : 195 respect de la nature : 159-161, 166-167, 172-173, 177 respect de la personne : 125, 146, 149, 169 responsabilité : 148, 174-175 résurrection

d’opposer, de disjoindre, de simplifier pour appréhender et concevoir le réel. La raison et la logique donne une vision rationnelle des phénomènes, elles génèrent l’évolution cependant elles contiennent leurs propres produits de destruction dans le réductionnisme car elles enferment la réalité dans un système cohérent. Cette cohérence n’est plus la réalité, elle répond à l’idéalisme. La science et la technique détenaient "l’univers complexe" jusqu’au vingtième siècle, dès lors le cloisonnement de leurs