Recit Imaginaire

Plume est un recueil poétique, publié en 1938 par Henri Michaux (bien que la première version ait été écrite en 1930). Il s'agit d'une œuvre originale, composée de treize chapitres se présentant comme des récits très courts (quelques pages au plus), mettant tous en scène le personnage de Plume dans des « aventures » parfois cocasses ou rocambolesques, parfois surréalistes. Le nom de Plume fait référence à la légèreté du personnage, un personnage sans épaisseur ni volonté affirmée, qui se laisse

métamorphoses,etc). Le conte met souvent en scène des couples de personnages dont l'un est bon, l'autre méchant. En règle générale, le bon finit finit par triompher. L'époque et le lieu du récit sont rarement définis, comme le montre l'emploi de la traditionnelle formule: Il était une fois … Ces récits imaginaires ont-ils bercés notre enfance au fil d'histoires merveilleuses et de personnages fabuleux ? Dans un premier temps, nous découvrirons que les contes font l'objet de réflexion dans le monde

l’utilisation du réel est aussi un outil pour créer un monde fictif. Les mythes sont normalement des récits légendaires qui mettent en scène des personnages imaginaires (dieux, demi-dieux, héros, éléments naturels, des animaux qui parlent) dans une façon allégorique. Un exemple de mythes est Genesis dans le Bible. Les mythes ne sont pas n’importe quel récit fantastique, mais un récit qu’il est un récit tenu pour vrai, dans un système de croyances déterminées. Ces types de littérature ne sont pas basés

fidèlement du réel, ou engage-t-il une vision personnelle du réel ? Nous verrons que certains éléments du roman relèvent d’une écriture réaliste, et que d’autres éléments métamorphosent cette réalité. Certains romanciers tentent de rattacher leur récit à la réalité. Emile Zola par exemple, qui va enrichir ses romans de descriptions détaillées, grâce à la recherche d’un vocabulaire technique assez évolué. Zola s’appuie sur une précise documentation qu’il élabore grâce à ses recherches : les Carnets

l’histoire des deux genres. » (c’est moi qui souligne) In Le roman et la nouvelle, de Pierre-Louis REY, Ed. HATIER, Profil Histoire littéraire Le Robert illustré : Nouvelle : « Court récit écrit présentant une unité d’action et peu de personnages. Les nouvelles de Maupassant » Conte : « Récit de faits, d’aventures imaginaires, destiné à distraire et a instruire. Les contes de Perrault. » « Pour Edgar POE, la nouvelle se caractérise par l’existence d’un effet unique, situé à la fin de l’histoire ; et

sujet d’étude ? 1°) Présentation générale de l’objet d’étude : - Qu’est ce que l’imaginaire ? - A quoi sert-il ? Les trois questions permettent d’atteindre l’objectif de cet objet d’étude : La fable, le conte, les récits imaginaires sont-ils réservés aux enfants ? Comment l’imaginaire joue t-il avec les moyens du langage, à l’opposé de sa fonction utilitaire ou référentielle ? Le lecteur d’œuvre de fiction fuit-il la réalité ? - La 1ère question fait émerger

cet univers embelli par les doux sentiments qui s'en dégage. Le violence d'une passion, la mélancolie d'un tourment amoureux, la douleur d'un amour non réciproque.......tant de sentiments reunis pour faire valser le coeur au rythme de l'histoire. Récits sentimentaux ou poémes tourmentés, nous donnent à fantasmer sur les amours dont on rêverait, celles qui nous manquent ou celles qu'on aimerait oublier. La réalité Cependant, si notre imagination n'a pas de limites, la littérature en possède bel

Les genres littéraires Les genres narratifs : L’apologue : - est un récit (genre narratif : sous-genre), - est bref - sous forme allégorique (=symbolique, l'apologue est un exemple particulier qui doit être extrapolable au cas général. - contient un enseignement moral (portée didactique). Exemples : le chien et le flacon ; Le tir et le cimetière. Les contes : schéma narratif récurrent : une situation initiale (fondée sur un bonheur ou un malheur) remis en cause par un événement perturbateur (maléfique

le noyau du récit demeure le même. D’ailleurs, on peut être porté à croire que c’est ce que Jacques Ferron, écrivain prolifique québécois qui a vécu de 1921 à 1985, a pu constater lorsqu’il a habité en Gaspésie. Il a pu entendre de nombreuses histoires et, au fil du temps, il a constaté que celles-ci évoluaient et prenaient des tournures différentes qui leur donnaient un coté tout à fait fictif. On peut donc supposer que c’est ce qui l’a amené à mettre à l’écrit des récits imaginaires et divertissants

animaliers - réels ou imaginaires – à des interprétations religieuses, tels l’aspic représentant le pécheur, ou les sirènes représentant les voluptés du monde ou encore le tétra morphe. * La fantaisie Les gargouilles sont très souvent associées au mot « monstre ». Pour beaucoup d’entre elles, les motifs sont purement fantaisistes et très souvent empruntés à la nature. Les créateurs sculptent des animaux réels, tels le lion, les oiseaux, mais aussi des animaux imaginaires composites, tels le griffon