Reaganomics

considered the cure for Britain's economic decline. Thatcherism claims to promote low inflation, the small state and free markets through tight control of the money supply, privatization and constraints on the labour movement. It is often compared with Reaganomics in the United States, Rogernomics in New Zealand and Economic Rationalism in Australia as a key part of the worldwide neoliberal movement. Nigel Lawson, Thatcher's Chancellor of the Exchequer from 1983 to 1989, listed the Thatcherite ideals as:

financière des entreprises. En effet, cette baisse a allégé les charges pesant sur ces dernières, ce qui a permis la hausse des profits et, par voie de conséquence, la reprise de l’investissement facteur de croissance. Cette politique, dénommée « reaganomics », a permis aux Etats-Unis de connaitre à partir du milieu des années 1980 une période de croissance relativement élevée. Si le rôle de régulation conjoncturelle des prélèvements obligatoires occupe encore une place importante dans les politiques

de débat au cours des 20-30 dernières années. A/ émergence et réception d’une oeuvre a/ le contexte sociétale La crise des années 70, montée du chômage…On assiste à une montée en puissance des idées libérales en matière économique = « reaganomics » On peut dire que Rawls est choqué. Lui libéral au sens politique, et comme le note Paul Ricœur à son propos. « Chez Rawls comme chez Aristote c’est le scandale de l’inégalité qui met en mouvement ». D’où le retour à la justice comme sorte de

l'exportation vont être massivement placés sur le marché financier américain. Si bien que les USA vont financer leur déficit extérieur par le Japon qui est le premier banquier au monde. 1) La politique mixte menée par l'administration Reagan « Reaganomics » très commentée à l'époque car elle paraissait sans succès. Mais adaptée finalement. À l'époque, c'est la stagflation. Il faut lutter contre une activité en berne et une inflation. A) concernant la régulation monétaire On va recourir à l'instrument

les capacité techniques de rivaliser avec l'Amérique dans la course aux armements. Bombardier Northrop B 2 Spirit : coût unitaire 2, 3 milliards de $ (1993) 3) Le redressement économique et les "autoroutes de l'information" Les reaganomics (politique économique de Reagan) des années 1980 reposent sur les baisses d'impôts, la baisse des dépenses publiques (hors budget de la défense qui augmentera de 40%) la déréglementation afin de développer la concurrence et la désinflation en relation

Economics) a été initialement développée par les économistes classiques à partir du 18 siècle (A. Smith, J.B. Say, Mill S…). Elle a connu un regain d’intérêt aux Etats – Unis à partir du milieu des années 70 notamment sous l’administration Reagan (« Reaganomics »). II.4.1) Les fondements de l’économie de l’offre L’économie de l’offre repose sur les principes suivants : 1) la croyance selon laquelle l’offre est le principal moteur de l’activité économique ; 2) les mécanismes de marché

Rapports annuels de l’OIRA au Congrès sur les coûts et bénéfices des réglementations fédérales. Rapports annuels du Congressional Budget Office (CBO) sur les Unfunded Mandates. Articles : William Niskanen (décembre 1988) : The Weak Fourth Leg of Reaganomics - Cato Institute. William Niskanen (1996) : Clinton's Regulatory Record : Policies, process, and Outcomes Cato Institute. Murray Weidenbaum (1997) : Regulatory Process Reform from Ford to Clinton - Cato Review of Business and Government. Susan Dudley

son deuxième mandat . Il gagne les élections largement . Il se retire triomphalement en 89 . Grande capacité à se faire passer pour un homme crédible . The « great communicator » . Sa politique économique est baptisée « reaganomics » : . Théorie moderne de l’offre . Baisse massive d’impôt . Augmentation du budget militaire . La dette publique augmente ainsi de 200% de 1981 à 1989 . Il lance l’Initiative Defense Strategic « star wars » . Il ordonne

Etat-gendarme à un Etat-providence. Depuis le début des années 1980, on assiste à l’avènement des politiques libérales car les politiques keynésiennes n’ont pas réussi à résoudre le problème de la crise : GB - 1979 : Thatchérisme. USA - 1980 : Reaganomics. France - 1986 : privatisations, liberté des prix, flexibilité du marche du travail (emplois précaires). Durant les années 1990, les pays n’adoptent pas purement une politique libérale ou une politique keynésienne. Ils cherchent un compromis

réductions d'impôts, pour un État minimal (sauf en matière de défense), pour une déréglementation en matière de droit des sociétés et il soutenait vivement la libreentreprise. On parle de supply-side economics (économie de l’offre) et même parfois de « Reaganomics » pour qualifier ces politiques dont les économistes s’accordent généralement à reconnaître qu’elles mirent fin à l’inflation et au chômage (mais pas au déficit budgétaire qui au contraire s’accrut). En Grande-Bretagne, le caractère idéologique