Raymond Queneau Bien Placé Bien Choisie

ironiques et injurieux envers un certain type de poésie jugée obscure ou incompréhensible, en | |- Rimbaud, « Alchimie du verbe », Une Saison en enfer |concluant par ce vers de Boileau : « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement ». Vous répondez à ces propos en faisant l’éloge de | |NATHAN Interro des lycées 2008 |l’« obscurité » en poésie. Votre texte sera adressé au courrier des lecteurs

Claudel ou Saint-John Perse 2. Le rythme du vers a) Coupe et césure En français, la dernière syllabe non muette est accentuée. Les accents de cette nature entraînent des pauses que l’on appelle des coupes qui sont mobiles dans le vers. La place de la coupe conditionne la lecture en imposant au vers un rythme. La coupe principale s’appelle la césure (du latin : couper) et sépare les deux moitiés du vers que l’on nomme les hémistiches (qui signifie : demi-vers). La règle classique, définie

Claudel ou Saint-John Perse 2. Le rythme du vers a) Coupe et césure En français, la dernière syllabe non muette est accentuée. Les accents de cette nature entraînent des pauses que l’on appelle des coupes qui sont mobiles dans le vers. La place de la coupe conditionne la lecture en imposant au vers un rythme. La coupe principale s’appelle la césure (du latin : couper) et sépare les deux moitiés du vers que l’on nomme les hémistiches (qui signifie : demi-vers). La règle classique, définie

qu’il faisait nuit », Langage cuit ......................................................................... Texte C. René de Obaldia, « Le plus beau vers de la langue française », Innocentines......................................... Texte D. Raymond Queneau, « Lipogramme en A, en E et en Z », Oulipo, la littérature potentielle ..................... Sujet 9. Objets d’étude : Le théâtre : texte et représentation. Convaincre, persuader et délibérer....... Texte A. Jean Racine, Bérénice, acte I, scène

qu’il faisait nuit », Langage cuit ......................................................................... Texte C. René de Obaldia, « Le plus beau vers de la langue française », Innocentines......................................... Texte D. Raymond Queneau, « Lipogramme en A, en E et en Z », Oulipo, la littérature potentielle ..................... Sujet 9. Objets d’étude : Le théâtre : texte et représentation. Convaincre, persuader et délibérer....... Texte A. Jean Racine, Bérénice, acte I, scène

Dans cette nouvelle séquence, tu vas encore découvrir un monde fabuleux : « C’était du temps que les bêtes parlaient… », nous précise Jean de La Fontaine, mais pas seulement les bêtes, les arbres, les objets aussi … Les êtres humains, bien sûr, ont leur place. Tous ces éléments prennent vie dans un univers familier. La fable est donc idéale pour instruire les hommes tout en les divertissant : « movere, placere, docere » - émouvoir, plaire, enseigner, telle est la devise du fabuliste. La Fable

education.fr/pid23218-cid50211/ressources-en-francais.html. o Quel que soit l’objet d’étude et l’époque étudiée, en supplément du groupement de textes ou bien intégré, une association « texte d’hier/texte d’aujourd’hui » permettra à l’élève de voir l’universalité et l’intemporalité de certains thèmes, textes, valeurs ou sentiments. o Cette liste n’est bien entendu pas exhaustive ! Certaines de ces ressources visent plutôt votre propre réflexion, afin de vous aider à la recherche de ressources pour les

avec « l’amoureuse concentration d’un horloger », les mots livre et littérature sont synonymes. Mais pour d’autres comme Ulysses Carion, fondateur du Book art ou Nouvel art de faire les livres, la littérature et même l’écrit, qui n’y ont pas leur place, dénaturent l’espace du livre. Cette contradiction est révélatrice d’une double réalité esthétique et technique, matérielle et intellectuelle du livre qu’il appartient à l’éditeur de prendre en charge. Comment la traduit-il ? De quelle technique

mais seulement suggérer. Vous discuterez cette affirmation… Invention : Un journal publie des propos ironiques et injurieux envers un certain type de poésie jugée obscure ou incompréhensible, en concluant par ce vers de Boileau : « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement ». Vous répondez à ces propos en faisant l’éloge de l’« obscurité » en poésie. Votre texte sera adressé au courrier des lecteurs du journal. Question : Précisez quels portraits de nomades sont ici proposés. Dites s’ils vous semblent

mais seulement suggérer. Vous discuterez cette affirmation… Invention : Un journal publie des propos ironiques et injurieux envers un certain type de poésie jugée obscure ou incompréhensible, en concluant par ce vers de Boileau : « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement ». Vous répondez à ces propos en faisant l’éloge de l’« obscurité » en poésie. Votre texte sera adressé au courrier des lecteurs du journal. Question : Précisez quels portraits de nomades sont ici proposés. Dites s’ils vous semblent