Raymond Aron

fallait l'imputer à quelqu'un d'autre, s'en débarrasser presque. Aussi, Rémy Rieffel dans sa Tribu des clercs fera appel à Pascal Ory qui parlait de l'intellectuel comme un « homme du culturel mis en situation d'homme du politique »4, ou encore à Raymond Aron et les notions de polarité efficacité-culture et de polarité imitation-création. « Plus on se rapproche de l'efficacité et de l'imitation, moins les chances sont grandes d'appartenir à la configuration intellectuelle »5. Marie-Christine Granjon

critique le régime totalitaire qui est fondé sur une idéologie c’est à dire les communistes et les nazis. Les trois caractéristiques du totalitarisme : déshumanisation / dévalorisation/ Première question : non 2eme quest : non 3eme quest : oui 3) Raymond Aron précise la définition du totalitarisme. Il évoque que pour établir un régime totalitaire parfait il doit répondre à plusieurs critères. Tout d’abord, ce régime est représentatif d’un parti politique défini qui est un parti unique, puis celui-ci

de sa notoriété. Leurs philosophies, bien que très proches, ne sauraient être confondues, même si les deux auteurs se sont influencés mutuellement. D'autres intellectuels ont joué un rôle important à différentes étapes de sa vie : Paul Nizan et Raymond Aron, ses condisciples à l'École normale supérieure ; Maurice Merleau-Ponty et Albert Camus dans les années d'après-guerre.

• Maurice Nédoncelle, La Réciprocité des consciences. Paris : Aubier, 1962. • Paul Ricœur, Philosophie de la volonté, t. I : Le Volontaire et l'involontaire [1949]. Paris : Aubier, collection “Philosophie”, 1988. La littérature engagée • Raymond Aron, L'Opium des intellectuels [1955]. Paris : Hachette, 2002. • Pierre Astier, Écrivains français engagés : la génération de 1930. Paris : Nouvelles Éditions Debresse, 1978. • Alexandre Beaujour, Littérature et engagement. Paris : Hachette,

notions de g ographie politique et de g opolitique sont donc souvent indiff renci es, telle tait l opinion de Richard Kleinschmager qui rappelait dans sa g ographie politique que: L usage indiff renci des deux termes para t la seule voie possible Raymond Aron rappelait utilement que l espace peut tre successivement consid r comme milieu, th tre et enjeu. Mais la notion de milieu (espace entourant les tres vivants et influant sur eux) appara t trop contraignante et d terministe alors que l on envisage

à l’opposée de la théorie Durkheimienne, s’éprenant de l’individu dans son entité pour comprendre la société sans pour autant chercher à l’améliorer. Les deux auteurs ont inspiré d’autres sociologues, tels que le sociologue et philosophe Raymond Aron ou Raymond Boudon qui se diront influencés par l’œuvre de Max Weber. Emile Durkheim, lui, suscitera de son vivant un grand enthousiasme et l’école Durkheimienne, à laquelle grand nombre de sociologues et anthropologues du XIX eme siècle adhèreront

l’opposition des idéologies — qui rend la paix impossible —, la recherche permanente du meilleur positionnement, la prise au sérieux du risque nucléaire — qui rend la guerre improbable —, la peur et diabolisation de l’autre. C’est pour cela que Raymond Aron dès 1948 dans son livre Le Grand Schisme parle de « guerre improbable, paix impossible ». - problématique : La problématique tourne donc autour des notions de BIPOLARISATION et de MODELE : est-ce que l’histoire des relations internationales

basses combinaisons. » Charles De Gaulle, à son fils, janvier 1946. « Au fond, tout: Europe, Communauté atlantique, OTAN, Armements, Etc., se ramène à une seule et même querelle: oui ou non la France doit-elle être la France ? » Charles De Gaulle à Raymond Aron, 9 décembre 1963. « Au fond, vous savez, mon seul rival international, c'est Tintin ! Nous sommes les petits qui ne se laissent pas avoir par les grands. On s'en aperçoit pas, à cause de ma taille. » Charles De Gaulle. « Quand tout va mal et

sa notoriété. Leurs philosophies, bien que très proches, ne sauraient être confondues, même si les deux auteurs se sont influencés mutuellement. D'autres intellectuels ont joué un rôle important à différentes étapes de sa vie : Paul Nizan et Raymond Aron, ses condisciples à l'École normale supérieure ; Maurice Merleau-Ponty et Albert Camus dans les années d'après-guerre.

sur la scène internationale »1. En effet, l’interrogation sur le rôle des « acteurs et des forces » ou plutôt « les forces profondes », pour reprendre ici des concepts chers à JeanBaptiste DUROSELLE, a connu des développements dans les travaux de Raymond ARON mais rares pour donner à la Sociologie des Relations Internationales une place entièrement reconnue dans ce vaste champ des études internationales. Toujours est-il que l’hypothèse selon laquelle les phénomènes internationaux doivent être appréhendés