Raymond Aron Democratie Et Totalitarisme

décisions politiques et économiques dans le but de le préserver pour les générations futures. Ex : Le Parti vert du Canada. · Le libéralisme  : courant de pensée qui prône la liberté individuelle et la démocratie. L’individu est responsable et par conséquent, le pouvoir de l’Etat doit être limité. Exemple : Le Parti Libéral du Canada et le Parti Démocrate des USA. · Le conservatisme  : idéologie se portant à

politique : ∗ la dictature : elle meurt avec le dictateur ; ∗ la monarchie : c’est la loi salique, le problème de transmission ne se pose pas  car la loi salique élude la question ; ∗ la démocratie : elle ne résout pas le problème.   − réponse stratégique : deux stratégies, inconciliables, s’affrontent :   ∗ la stratégie du chef : elle est marquée par l’obsession

soumis à la seule autorité reconnue : la volonté générale (vision communautaire du lien social, prédominance du collectif). Ce renversement communautaire intervient chez Rousseau avec l'ajout du concept de fraternité. «Le totalitarisme est la Némésis {la vengeance} de la démocratie abstraite.» Luis Dumont. P 146. F. L'économie comme harmonie des intérêts. Postulat : L'intérêt général est le produit des intérêts particuliers entre lesquels existe une harmonie naturelle. 1. La fable des abeilles

va encore plus loin dans l'interdiction des conflits puisqu'il tente d'empêcher l'idée même de conflit d'émerger dans l'esprit des citoyens (conflits entre citoyens ou entre citoyens et pouvoir). Il y a donc immixtion dans la sphère privée. Les démocraties pluralistes se situent entre l'Etat absent et l'Etat trop présent. Elles banalisent le conflit tout en canalisant ses formes d'expression pour empêcher les manifestations de violence et même la guerre civile. Les manifestations ne sont pas interdites

seul ; - l’aristocratie : le pouvoir du groupe ; - la politeia (la république) : le pouvoir du plus grand nombre. Ces types originaux se transforment selon ARISTOTE « lorsqu’elles sont corrompues » : - la tyrannie ; - l’oligarchie ; - la démocratie. ARISTOTE se méfiait du pouvoir du plus grand nombre. Plus tard, dans la suite de son œuvre, il va établir une relation entre les types de régimes et leur évolution. Se faisant, il portera un jugement de valeur puisqu’il note sa préférence pour

: L'impérialisme, stade suprême du capitalisme. - WW. ROSTOV : Les étapes de la croissance économique. - HAYEK : Droit, législation, liberté - SCHUMPETER : Capitalisme, socialisme et démocratie. - J.K. GALBRAITH : L'ère de l'opulence. - M. WEBER : L'éthique protestante et l'esprit de capitalisme. - R. ARON : Dix-huit leçons sur la société industrielle. - F. PERROUX : Le capitalisme. - Francis FUKUYAMA : "La fin de l'Histoire et le dernier homme".   SOURCES : - Encyclopedia universalis

Idées: l'histoire a un sens (approche historique). L'Histoire conduit vers l'égalité qui mènera nécessairement à la démocratie. C'est elle qui mène naturellement vers l'émancipation de l'individu qui sera assorti d'un système politique en accord avec le temps. Constant souligne les erreurs de rousseau (ignorer l'histoire, recherche une liberté qui correspondait à l'esprit des démocratie antique) et des révolutionnaires. Or pour BC, la liberté des anciens différent de celle des modernes: Anciens > libéralisme

enracinée. Elle suscite des réflexes acquis d’obéissance. - La domination légale rationnelle : Ce type de domination repose sur la croyance en la légalité des normes juridiques et des procédures en vigueur. Cette forme de légitimité prévaut dans les démocraties modernes. Cette domination s’accompagne de l’existence d’une bureaucratie qui doit être indépendante notamment dans les conditions de sa nomination. Contrairement à la domination traditionnelle qui repose sur des relations personnelles, la domination

négatifs des totalitarismes : – promotion des scientifiques sur des bases raciale. (Chercheurs non-aryens exclus) – dépendance des chercheurs vis-à-vis du pouvoir politique – moins on a de certitudes, moins on a d'erreurs, les régimes totalitaires développent un discours négatif vis-à-vis de la recherche, définition de ce qui est pur et de ce qui est impur. Les régimes autoritaires ou totalitaires ne permettent pas dans toutes les disciplines. D'une certaine manière, sans démocratie, il n'y a pas

des typologies des régimes politiques. 11 A/ La typologie d’Aristote. 11 B/ La typologie de Montesquieu. 12 C/ La typologie de Rousseau. 13 II. Les régimes démocratiques. 15 A/ Le concept de démocratie. 15 1. Les critères des régimes démocratiques. 15 2. La distinction entre république et démocratie. 16 B/ Régime démocratique et système de partis. 16 1. Les systèmes de partis. 16 a) Bipartisme et multipartisme. 17 b) La polarisation des systèmes de partis. 17 2. L’influence des mode de