Rationalité

Porter : 5 forces : Intensité concurrentielle, negoc distr. Four., barrières à l’entrée, menace des nouveaux entrants, menace des b et s de subtit. Simon : L’individu a une rationalité limitée face aux décisions à prendre. Limitée par le temps et les obstacles. Likert : Diff types de style de direction : 4 : Autoritaire, consultatif, participatif, paternaliste Crozier : analyse stratégique : la strat engage l’ensemble des ressources matérielles, humaines et financières de l’entreprise Chandler :

générale. Le décideur serait libre et autonome, rationnel, les enjeux seraient connus. C'est bien idéaliste ! B - RATIONALITE LIMITEE Modèle proposé par l'américain Simon. La décision finale est toujours un compromis, le décideur n'ayant jamais toutes les cartes en main. L'environnement est très complexe, aussi le décideur essaye de trouver la moins mauvaise solution (d'où la "rationalité limitée"). C - DISSONANCE COGNITIVE Souvent, la décision (de type compromis) ne satisfait pas complètement

choix de la premier solution" satisfaisante" fonctionnement par essai/erreur Différentes approches : Approche rationnelle (20 %) Définition précise du pblm Listes des choix possibles Calcul de la meilleur utilité Approche organisationnelle Rationalité limitée du décideur Contraintes de l'organisation Choix d'une solution satisfaisante Approche politique Importance des négociations et des compromis entre groupes Motivations sociale > motivations instrumentales (loyauté, réputation)>(incitations

4 types de couts: Les couts d’information, les couts de taille, les couts d’exclusion, les couts de comportements. Et comme toutes théories économiques, l’économie de transaction repose des hypothèses de comportement des individus ce sont: la rationalité limitée et l’opportunisme. La première consiste en ce que nos limites nous portent à prendre des décisions satisfaisantes plutôt qu’optimales, et l’opportunisme qui repose sur des intérêts personnels pousse à user de ruses et de tromperies et peut

qui recherche la maximisation du profit et la minimisation des coûts dans un environnement certain. Il recherche la solution optimale et les décisions sont acceptées par l’ensemble des acteurs de l’entreprise. 2° La théorie du décideur à rationalité limitée : HERBERT SIMON, montre que les décideurs ne peuvent envisager toutes les solutions. Niveau minimale de satisfaction et non optimale. 3° Les théoriques contemporains : CYERT ET MARCH. * Les acteurs d’une entreprise ne partageant pas

critiquent la rationalisation de l’Etat et la rationalité des décideurs publics. Herbert Simon développe l’idée que l’Etat n’a qu’une rationalité limitée, et ce pour 2 raisons : Problèmes d’informations et de connaissances car l’information est coûteuse, partielle et parfois inexacte (critique des chiffres du chômage de l’époque) Problème interne à l’Etat : l’Etat n’est pas un ensemble homogène, il est fait d’éléments différents qui empêchent une bonne rationalité. De +, problèmes de divergences de volonté

les décrire « contrainte d’indescriptibilité », soit parce que l’une des parties détient une information privée sur ces variables « asymétrie d’information ». La première difficulté renvoie aux coûts d’écriture ainsi qu’aux limites cognitives (rationalité limitée) que subissent les parties au moment de la rédaction du contrat. La seconde difficulté renvoie au problème de révélation d’information auquel sont confrontées les parties lorsqu’elles choisissent un contrat contingent. En effet, que l’on

bien être de son partenaire dans une relation de coopération (...) Elle représente un acte purement désintéressé". L’altruisme émerge "non seulement dans des situations variées de la vie courante" mais aussi "dans des situations très simples où la rationalité économique au sens stricte du terme (maximisation des gains) devrait l’emporter sans difficulté". Les individus se montrent généralement plus altruistes "lorsque leurs dons sont utilisés à des fins explicites"."L’altruisme est généralement positivement

Simon, a démontré à travers son modèles IMC que toute décision est un processus complexe en 4 étapes : 1ère ) Intelligence e 2ème ) Modélisation 3ème )Choix, Mise en oeuvre et contrôle Il remarque que le décideur fait preuve d’une rationalité limitée : il ne prend pas la décision optimale mais la plus satisfaisante Schéma récapitulatif : 2. Le rôle de l’équipe dirigeante 2.1. Quelles sont les deux dimensions du pilotage de l’organisation ? La dimension technique :la collecte

routinières intériorisées et acceptées par les acteurs. D’où l’idée, qui rééquilibre quelque peu ma critique initiale de la perspective rationaliste, que les institutions et les organisations contribuent à donner aux processus décisionnels une rationalité limitée fondée justement sur les routines et les coutumes. 2/ Les théories de l’action publique : deux approches traditionnelles J’ai déjà été amené à parler à plusieurs reprises dans le cours de la question des relations entre l’Etat et la