Rancune

étant donné qu'il n'existe pas d'animal semblable. Ce traitement est donc une baliverne inventée par le médecin pour masquer son incompétence. Et évidemment, comme les prêtres et les juges, Voltaire dénonce la cupidité des médecins (et leur rancune). En effet, Zadig en guérissant Ogul par le recours à la gymnastique a privé de ses revenus le médecin d'Ogul. Il décide alors de l'empoisonner mais Zadig s'en sort in extrémis (grâce à une carte d'Astarté lui disant de venir). Comme dans le domaine

justice ainsi que l’abus de pouvoir mais aussi l’ignorance et le fanatisme religieux sans oublier la médecine et les savants. L’auteur accorde à ses personnages des vices afin de les dénoncer comme par exemple la jalousie pour le roi ou bien la rancune pour les médecins. Voltaire défend les thèmes de son temps, encore d’actualité au XXIème siècle.

un sentiment noble et un attachement intense qui rassemble les êtres, rapproche les âmes et unit les cœurs. C’est le sentiment le plus doux, le plus tendre, le plus passionnant. Il bannit les différences entre les hommes, anéantit la haine et la rancune. Il apaise l’humeur et adoucit les mœurs. Il nous apprend l’indulgence, la solidarité, le désintéressement, l’altruisme, le sacrifice… Mais comme le dit le proverbe « l’amour, c’est comme un vase antique. C’est dur à trouver, difficile à avoir

(intelligence) de son fils. L'auteur crée un parallèle entre le soleil et les 13 ans de Pedro « c'était le dernier et merveilleux rayon du soleil qui se couche » métaphore. l.19-21 Montherlant use d'un chiasme pour montrer toute la désillusion et la rancune de Ferrante à l'égard de son fils : « c'est d'un ver que sort le papillon, chez l'homme c'est le papillon qui devient un ver. » qui accentue la métaphore de la régression l. 12-15 « vous avez eu à 13 ans une grâce... que vous n'avez jamais retrouvé

27 Fais provisions pour demain, mais sache que la meilleure est la piété. 28 N'oublies pas que tu es pris pour exemple, alors crains Dieu en public comme en secret 29 Pardonnes aux autres et ne garde pas ne serait-ce qu'une graine de rancune ou de haine dans ton cœur. 30 Persévères dans la prière, fais-la du mieux que tu le peux, dans le calme et sans te précipiter en considérant que c'est la prière d'adieu. 31 Restes souriant, ne fais pas de mal autour de toi. 32 Sois généreux

feint de ne pas comprendre la position de l’auteur de la Théodicée.. Voltaire préfère toucher notre intelligence, il dénonce donc l’absurdité. En fin de compte, c'est une œuvre séduisante beaucoup plus par ses simplifications, ses partis pris, ses rancunes, ses polémiques, sa virtuosité que par son contenu philosophique. 9) Le monde intellectuel résonne encore de la querelle qui opposa au XVIIIe siècle les deux pôles de la pensée française : Voltaire, écrivain caustique et brillant causeur, symbole

ne veut pas d’eux vivent une situation très difficile à mes yeux. Face à des actes pareils je reste incompréhensive. Cependant, je ne suis pas en total accord avec les agissements de D. Boël. Je la trouve dure, hargneuse dans ses propos, dans sa rancune. Qu’elle cherche des réponses ça, je le comprends, Je l’ai fait aussi. Mais il me semble quand même évident que le roi n’allait pas la reconnaître. C’est une enfant illégitime. C’est vrai, elle n’y peut rien mais il faut qu’elle accepte. Surtout que

un roi qui préfère la discussion diplomatique aux armes lignes 1 à 3 dialogue avec l’ennemi à propos de ses dessins -> ligne 69 : rappelle d’une ambassade un roi qui n’hésite pas à être généreux avec l’ennemi => l.22 et l.25 et qui ne garde pas rancune -> ligne 25 « voisins et anciens ennemis » B/ un roi philosophe et orateur il expose dans un discours construit et assuré la marche à suivre dans le conflict. Pour lui la meilleur arme est la parole et pas le combat => réflexion et décision censée

nous amuse. Loin d’émouvoir notre sensibilité, Voltaire préfère toucher notre intelligence, il ne dénonce pas l’horreur mais l’absurdité. Candide, en fin de compte, est une œuvre séduisante beaucoup plus par ses simplifications, ses partis pris, ses rancunes, ses polémiques, sa virtuosité que par son contenu philosophique.

malmené- « reprocher », « retrouver » = vb à l’infinitif, désigne la culpabilité d’Antoine- « juste » (l28, 31) = mot étant celui du titre, tragédie du ressentiment et de la culpabilité- « ressentiment » (l31,32) = épanorthose, désigne frustration et rancune d’Antoine face au départ de Louis IV- Assentiment silencieux de la famille-Bref dialogue, silence confirme l’adhésion de la famille au discours d’Antoine- « Oui ? » (l34) = forme interrogative, absence durant la tirade - « Je ne dirais plus rien »