La reconnsaise
Suite à l’émission Sans chichi du 7 mars, j’ai décidé de prendre comme sujet la reconnaissance d’un enfant. Delphine Boël est une enfant illégitime. Sa mère a eu une relation avec le roi Albert II. Elle demande au roi de la reconnaître. * Un homme est-il libre de ne pas reconnaître son enfant ? * Que veut dire reconnaître un enfant et quelles en est la conséquence ? * Quel aurait été l’impact sur la Belgique si le roi l’avait reconnue ? * Comment vit-on tout en sachant qu’un de nos parents ne veut pas de nous ?
Alors que nous sommes dans une ère où les moyens de contraception sont développés et que nous vivons sur un continent où la contraception n’est pas taboue, ou en tout cas, l’est en moindre mesure. Des grossesses non désirées ou des « surprises » se manifestent encore. Alors que nous pouvons prendre la pilule, mettre un stérilet ou encore avorter, tous ces moyens ne sont apparemment pas encore suffisants. À partir du moment où un enfant naît, la liberté de le reconnaître ne devrait pas être autorisée. Certes nous sommes libres et nous sommes en démocratie et pourtant, à cause de cette liberté, l’enfant pourrait souffrir. Qu’il y ait un « parent d’Etat », c’est-à-dire une personne qui se sera occupé de cet enfant ou non, l’enfant souffrira. Quelque soit son âge, il sera blessé, marqué pendant toute sa vie. Nombreux sont ceux qui vont s’acharner dans le but d’obtenir un regard, une attention de ce parent qui est absent mais peu obtiendront gain de cause après avoir fait tant d’efforts….
Nous sommes aussi dans une société où l’évolution de l’enfant est fort étudiée. Elle est même capitale, car l’évolution de la personnalité d’une personne commence dès son plus jeune âge. Nous savons pertinemment bien qu’un enfant a besoin de la présence de ses deux parents pour favoriser son épanouissement et son bien-être. Je ne dis pas qu’un enfant adopté ou issu d’une famille monoparentale sera