Ramuz

 AIME PACHE AUTEUR : Charles Ferdinand Ramuz GENRE : 1911 STYLE: réaliste Aimé Pache, peintre vaudois, est le récit de la vocation d'un artiste. Comme dans tout roman de formation, le héro doit passer par un certain nombre d'épreuves avant de parvenir à la sagesse. » Ramuz est né en Lausanne dans une famille aisée d'origine paysanne. Il garde toujours un amour pour le terroir qu'il transpose dans ses œuvres. Il a un style réaliste, mais a parfois recours au merveilleux. Il utilise

thème le plus important du récit est celui de la grande peur dans la montagne : on ne sait pas exactement ce qu’est cette grande peur. Elle est grande justement et elle est dans la montagne. Mais de qui ou de quoi on a peur, on ne sait pas exactement. Ramuz crée une peur qui est indéfinissable ou indéfinie et c’est justement parce qu’elle est comme cela qu’elle suscite des peurs. La peur est obsédante. Autour de cette grande peur, il y aura les peurs des hommes, de ceux qui sont montés à l’alpage

C. F. Ramuz, « La Grande Alice »L’absolue liberté d’AlicePour un romancier, le format court de la nouvelle offre la possibilité de mener des expériences tant stylistiques que thématiques ; c’est même souvent par la nouvelle qu’un auteur débute sa carrière. Le recueil de Charles Ferdinand Ramuz L’Homme perdu dans le brouillard , paru en 2021 et constitué de nouvelles rédigées entre 1905 et 1911, est à ce titre exemplaire. Mais de quoi la nouvelle est-elle le laboratoire

alors soigneusement éliminé, dans ce qu'on pourrait lier à une sorte de puritanisme poétique métaphysique, une quête du vrai et de la simplicité. Philippe Jaccottet reçut plusieurs prix et distinctions, dont le Prix Rambert (1956), le Grand Prix Ramuz (1970), le Grand Prix de Poésie de Paris (1986) ou le prix Pétrarque (1988).

Pastiche de Charles Ferdinand Ramuz Luka Caratsch 1M05 La Montée des vaches: Comme chaque année, c'était l'heure d'accompagner les vaches à l'alpage pour qu'elles puissent manger de la bonne herbe fraîche. Cependant, cette période n'était pas joyeuse pour tout le monde, c'était pour les femmes qu'elle l'était le moins. Elles étaient triste, triste, vraiment triste de voir leur mari partir vers la montagne, et les femmes n'avaient pas confiance en la montagne ! Pourtant, qu'elle était belle

une forme alternative de la poésie. Le tout est marqué par une modestie et une retenue, qu'il résume lui-même par la formule « L'effacement soit ma façon de resplendir »[26], et que l'on peut retrouver sous différentes formes chez Charles-Ferdinand Ramuz, Gustave Roud, Maurice Chappaz et Edmond-Henri Crisinel[27]. C'est surtout une très forte exigence de vérité qui motive le poète dans son écriture, d'où une certaine méfiance des images (« l'image cache le réel, distrait le regard », et un doute qui

partie s’étend sur toute la grossesse d’Aline et termine lors de son enterrement. Et la troisième partie montre comment réagit Henriette après l’enterrement de sa fille et de son petit fils et aussi le mariage de Julien. Tout au long du texte, Ramuz utilise un langage expressif et simple. Les phrases sont courtes et il y a beaucoup de dialogues. Il donne vie à ses personnages. Il possède un style très réaliste. La narration est à la 3ème personne du singulier, et le narrateur est omniscient

Brette Thaïs, TD331/03Commentaire de texte sur l’extrait de l’essaie “Questions” de Charles-Ferdinand Ramuz Le texte proposé à notre est un extrait de l’essaie “Questions” écrit par Charles-Ferdinand Ramuz en 1935 dans la partie Mesures . L’auteur, Charles-Ferdinand Ramuz, né en 1878 et mort en 1947, est un écrivain et artiste suisse qui navigue entre Paris et la Suisse jusqu’au début de la 1 GM qui le clouera en Suisse. Il publie des romans, des poèmes et des

1575-1577. Ramuz est né à Lausanne dans une famille aisée d’origine paysanne. Il garda toujours en amour pour le terroir qu’il transposera dans ses œuvres. Il a un style réaliste, mais a parfois recours au merveilleux. Il utilise beaucoup d’expressions orales vaudoises, ce qui lui vaudra beaucoup de critiques de la part de la France. Aimé Pache, peintre vaudois est l’un des premiers livres que Charles-Ferdinand Ramuz (1878-1947) a rédigé. Ce roman a été écrit en 1911 lorsque Ramuz quitta une seconde

julien Damon, le coq du village. Mais chez Julien l'amour passe vite tandis que chez Aline, il grandit jusqu'à la passion, jusqu'au drame... Grâce à la vigoureuse magie d'une langue simple, d'un style abrupt mais d'une étrange puissance d'évocation, Ramuz s'affirme, dès ce roman de jeunesse, le peintre magistral des plus humbles registres du coeur. Mon avis Un très beau petit livre ou dès la première page les personnages prennent vie, Aline,dix sept ans, la principale héroïne de l'histoire vit