Ralph Lauren Rapport

UNIVERSI Hassan I Faculté des Siences Economiques Juridiques et Sociales Rapport de stage, Master 2 Audit et contrôle de gestion EVALUATION DU DISPOSITIF DE CONTROLE INTERNE DANS UNE STRUCTURE MAROCAINE Encadré par Réalisé par Mr. Khalid ZEHAICHI(Groupe Aksal) Mlle Nidale LAMQARI Année universitaire 2010 – 2012 DEDICACES Je dédie ce travail à mes très chers parents, ma familles, pour lesquels

http://www.lefigaLe luxe est entré dans un nouveau cycle - Les Echos - 2017 L’heure est aujourd’hui à une révision en profondeur des modèles. Les stratégies d’offre sont repensées : L’heure est au fine tuning : restructuration de l’offre (Burberry, Ralph Lauren, Hugo Boss, Paul Smith) et remise en cause des lignes bis, repositionnement (montée en gamme vs accessibilisation), …. Le tabou du prix est tombé. La tendance est à l’harmonisation au niveau mondial, entraînant, parfois, des baisses de prix

cette concurrence variée est donc très forte. Pouvoir de négociation des fournisseurs : Le pouvoir de négociation des fournisseurs est assez faible dans la mesure où ce sont les marques qui ont l’avantage sur les fournisseurs. On assiste alors à un rapport de force entre les marques d’un pays développé et la sous-traitance dans un pays à faible coût de production. Pouvoir de négociation des consommateurs : Le pouvoir de négociation du client est quant à lui très fort car les entreprises doivent répondre

États-Unis, Le Japon et le Brésil. En 2008, elle a baissé de 2,3% sur un an, ce qui s'explique par une évolution des prix de 3,9% sur la même période. Aujourd'hui on note deux nouvelles tendances qui portent leurs fruits : le marché de l'homme qui rapporte 10% du marché et celui du marché bio qui représente environ 3,4 % du marché de la cosmétique en France (pourcentage fait en 2007) et qui augmente de 40% par an (source : enquête Eurostaf de juillet 2008) Chaque jour en France, 143 000 flacons

distribués ; · Parrainage d’événements de grande envergure comme le festival du film de Cannes. * Faiblesses  -Produit  · Produits axés sur le chimique plus que sur le biologique (très peu de composants naturels). -Prix  · Prix élevés (par rapport à la moyenne du marché) qui éliminent une grande majorité de la population (consommateurs potentiels) (pas en termes d’objectif mais en termes de taux de pénétration). -Distribution  Absence de la marque chez les détaillants. IV. Stratégie

d’un point de vue symbolique. Pour ce faire, ce mémoire fait appel au concept de personnalité afin de développer une échelle de mesure de la personnalité des marques de luxe. En s’appuyant d’abord sur les perceptions des consommateurs par rapport à une dizaine de marques de luxe, à travers une série d’entrevues individuelles, notre étude a permis dans un premier temps de produire des items de la personnalité des marques de luxe. Une enquête réalisée auprès de 177 participants a permis

Autres : Holland & Holland, Goosens. Vin : Rauzan Ségla. Les grands américains  Ralph Lauren  Philipp-Van Heusen Corp Calvin Klein, Tommy Hilfiger.  Coach (maroquinerie)  Li & Fung : Cerruti, Clergerie, Delvaux. Les grands parfumeurs  L’Oréal : 1er groupe mondial d’hygiène beauté. Division produits de luxe. Parfums et cosmétiques : Lancôme, Helena Rubinstein, Biotherm, Shu Uemura, Kiehl’s, parfums Ralph Lauren, Giorgio Armani, Cacharel, Guy Laroche, Paloma Picasso, Viktor & Rolf, Diesel, Martin

|Crème anti-âge Novadiol | |1985 |Giorgio Armani |Parfum Aqua di Gio | |1985 |Ralph Lauren |Parfum Polo | |1989 |Helena Rubinstein |Crème de soin anti-âge Prodigy

ménagères et permet de consacrer plus de temps à son « petit mari ». Les femmes sont très sophistiquées: rimmel abondant, et cheveux plaqués. Un film Cadonett de 1965, présente une femme qui court sans que ses cheveux bougent d’un millimètre. Les rapports homme/femme sont encore très stéréotypés : la femme est là pour séduire par sa beauté et ses talents de cuisinière. Un film Végétaline manque ainsi de se transformer en strip-frites. Une campagne marque pourtant une grande évolution dans la représentation

majorité des lunettes avaient conservé un aspect avant tout fonctionnel. Ce n'est que dans les années 1990 que le plus gros fabricant mondial, l'Italien Luxottica, introduisit massivement des lunettes sous licence Giorgio Armani, puis Prada, Ralph Lauren, Gucci et Chanel. D'autres fabricants suivirent cette tendance, dont Safilo, le numéro deux mondial de l'industrie - lui aussi italien - avec les marques Carrera, Dior, Fendi, Boss, T.Hilfiger et Jimmy Choo. Luxottica, l'émergence d'un