Raisonnement Et Argumentation

comprendre le sens véritable. Dès les premières lignes du Chapitre IV que nous étudions, l’auteur se sert à deux reprises du mot expérience qui n’est pas placé au hasard. Il place l’expérience dès le début du texte pour sans défaire au début même du raisonnement afin de partir sur des bases neuves, dont la terre n’a pas encore été foulée, afin d’y trouver ce que l’œil habitué ne plus voir. Il regroupe dans l’expérience proprement dite, le passé entier de l’homme et les multiples réflexions qu’il a engendré

commence sa thèse par « je conclus donc ».     2)Télémaque fait apparaitre les étapes de son argumentation grâce à plusieurs tournures.     3)De la ligne 36 à la ligne 48, il y a plusieurs articulations de la démonstration.     4) Pour défendre sa thèse, l’auteur peut faire appel à différents types de raisonnement. Dans les lignes 9 à 13, le type de raisonnement qui est mis en œuvre est un raisonnement concessif. En effet, Fénélon commence à accorder de l’intérêt à la personne qu’est le roi conquérant

l’esclavagiste = prise de distance, ironie => esclavage indéfendable moralement. Position de l’esclavagiste/Position de Montesquieu : l’esclavage n’a pas à être défendu, il s’impose à l’esprit comme une évidence. Dualité permanente qui va faire son raisonnement : « Il est si naturel », « il est impossible que ns supposions », « nous » => montre que c’est évident, que seuls les « petits esprits » peuvent le réfuter. Apparemment, constat assez neutre, qui parait logique : rapport de cause-conséquence

Séance 2: Erasme, Le traité de civilité puérile 1530. Texte bac n°1 Questions : 1) Présenter le texte. 2) Comment Erasme présente-t-il son ouvrage ? 3) Analyser le raisonnement défendu par l’auteur. 4) Quel programme Erasme propose-t-il dans cet extrait ? 5) Quelles valeurs humanistes l’auteur défend-t-il ? 1) Ce traité de civilité puérile a été écrit par Erasme en 1530. Il écrit ce traité pour Henri de Bourgogne, âgé de 11 ans, petit-fils d’Anna de Veere, qui est la protectrice d’Erasme

justifie l’esclavage puis la vraie pensée de Montesquieu sur l’esclavage qui nous soumet à un violent réquisitoire. I_ Un texte plaidoyer qui justifie l’esclavage. 1) Le discours esclavagiste 2) Une argumentation bien développé II_ Montesquieu nous soumet un violent réquisitoire  1) Un raisonnement par l’absurde 2) La dénonciation d’un pratique abominable à l’époque Conclusion Dans cet extrait, Montesquieu exprime, au premier abord, une opinion très favorable plaidant l’esclavage. Cette

Processus  cognitif   Mémorisation   Raisonnement   Conceptualisation   Imagination     Prototype   Stimuli   Mémoire  sensorielle   Mémoire  à  court  terme   Mémoire  à  long  terme   Mémoire  épisodique   Mémoire  sémantique   Mémoire  procédurale   Interférences   rétroactives   Interférences   proactives   Opérations     Raisonnement   Traitement  de  l’info  –  capacité

plus jeune âge. Ainsi il souligne également la place prépondérante des nourrices avec la majuscule qui souligne la fonction de celle-ci qui non seulement nourrit mais éduque les enfants dès le berceau. Ces mots sont des éléments importants à son argumentation. De plus, la métaphore filée du lait, aliment de l’enfance est un premier argument qui est justifié par l’exemple de Crassus (consul romain) et des Parthes (référence à la légende de Prométhée). Le lait symbolise les récits moralisateurs qui

techniques du discours : elocutio, dispositio, inventio. Cependant Janotus ne maîtrise pas l’elocutio (élocution). Janotus est un homme d’Eglise et devrait maîtriser le latin Onomatopées : « Ergo gluc », raclements de gorge, etc. Janotus mène un raisonnement par syllogisme qui se termine par une onomatopée à la place d’une conséquence Il utilise des citations latines à tort et à travers : l.35-36 citation qui le rend ridicule Ses citations sont censées impressionner l’auditoire mais Janotus s’embrouille

L’argumentation est un processus de développement et de raisonnement. Elle est divisée en deux parties, directe et indirecte, utilisées dans différents textes par les plus grands auteurs. Entre le 16ème et le 18ème siècle, les écrivains tels que Voltaire ou Montaigne ont proposé de parfaits exemples d’argumentation directe et indirecte dans leurs essais et écrits respectifs : Candide, les Cannibales, Les confession, Retour de l’URSS. En les lisant, chaque lecteur peut percevoir le jugement de

Cafrerie (Afrique australe) à l’intérieur du premier discours. Voltaire oppose sa parole à celle d’un individu intolérant (p.176 en bas), puis ses interlocuteurs se rendent compte de l’incohérence de leur raisonnement et enfin, il dialogue avec un inquisiteur dominicain. Une argumentation progressive A- L’intolérance religieuse Voltaire utilise des métaphores pour confronter deux grandes religions monothéistes qui font du prosélytisme (propagande religieuse). Ainsi, le globe est apparenté