Raisonnable Rationnel

du désir impossible, plusieurs questions se présentent : L’impossible peut-il être désiré ? Est-il sensé de le désirer ou est-ce une forme de protection ? N’est-ce pas irrationnel de vouloir quelque chose qui ne soit pas réalisable ? Est-il raisonnable de désirer ce que l’on ne peut pas obtenir ? Poser le problème d’un sens à désirer l’impossible signifie se demander si le désir de l’impossible peut exister. On s’interroge alors sur la notion de raison, de rationalité et de logique. En effet

de preuve. Pourtant, on ne saurait dire que la croyance est réservée au déraisonnables : bons nombres de scientifiques, d'homme pour le moins raisonnables sont croyants. Alors, peut-on dire qu'il est raisonnable d'être croyant ? Est raisonnable ce qui n'est pas contraire à la raison. Ainsi, tout le problème est de savoir si être croyant peut être raisonnable, s'il n'est pas tout simplement aberrant pour un être doué de raison de croire en Dieu, un être qu'il ne voit pas, dont il n'a pas de preuves

l’étendue, la grandeur, la figure et le nombre sont également posé. Ces vérités sont dites rationnelles et non pas empiriques. Il y a par suite deux sortes de science : les sciences empiriques ou expérimentales, ainsi que les sciences formelles ou rationnelles portant de ces choses simples et générales que sont la grandeur, le nombre, etc. Descartes établit la certitude supérieure des sciences rationnelles, «il ne semble pas possible que des vérités si apparentes puissent être soupçonnées d’aucune

se fier à sa raison. Les fondements de notre connaissance = l’esprit car les fondements de la philo sont fermes. - 2 ordres de chose : - ordre pratique de la vie quotidienne ( il n’est pas raisonnable de trop douter. - Faire confiance à nos sens et à l’expérience ordinaire. Il est purement rationnel de ne jamais considérer une idée ĉ vrai. • Doute métaphysique ≠ doute ordinaire : - « ĉ absolument faux » (hyperbolique, exagéré et radical. - « tt ceux en quoi » ( il est universel. -

matière et esprit, interprétation) Intro : La philosophie,première quête rationnelle de la vérité, Naissance en Grèce antique autour du Viè siècle avant JC. Pythagore a été le premier philosophe. Philosophie = Philia (aimer) + Sophia (sagesse) } ami de la sagesse Sagesse? 1. Dimension MORALE = viser le bien, être vertueux = être RAISONNABLE 2. Dimension épistémologique = être savant, rechercher la vérité = être rationnel = Être sage : savoir utiliser sa RAISON.  Quelles sont les relation entre

réalité, progrès absolu. * Ce qui n’est pas démontré, n’est pas raisonnable. * Ce qui ne possède pas de but n’est pas raisonnable. | * Anarchie * Prône liberté (non contrainte, pas de loi) * Autonomie, Maturité * Prendre ses par lui-même * Égalité social * Amour * Désir et sexe * Révolution * Transformation social, se libérer. * Prône connaissance du sur rationnelle (aller au delà du rationnel) * Favoriser l’effervescence * Expérimenter la magie, le

Suffit il d’être doté de raison pour être un homme raisonnable ? La raison , au point de vue étymologique , vient du latin ratio- qui signifie une ''mesure'' , ''un calcul'',' la faculté de compter ou de raisonner ''. L'homme dote de raison aurait la capacité de poser le pour et le contre d'un problème , de porter un jugement sur un sujet sans avoir de préjugés malseins sur celui-ci. La raison est donc , une faculté de l'esprit humain , inscrite dans les normes éthiques . Cette faculté ne s'acquiert

le distingue des animaux, c'est-à-dire sa raison : la recherche de la vie heureuse ne peut se comprendre chez Aristote que par l'exercice de cette vertu proprement humaine qu'est l'aptitude à la vie raisonnable. Mais encore faut-il distinguer les vertus " dianoétiques ", issues de l'activité rationnelle, des vertus " éthiques ", dues aux mœurs et à l'habitude ; alors que les premières, comme la science, l'art, la prudence, l'intellect et la sagesse, caractérisent les habitudes de méthodes et de réflexion

L’utilitarisme : Le fondateur de cette doctrine est Jeremy Bentham(1748-1832). Comme son auteur, l’utilitarisme est une éthique du dix-huitième siècle ; elle se veut rationnelle et naturaliste. Pour Bentham, la morale doit accéder au statut d’une science. En conséquence, la tâche du philosophe consistera à dégager le principe objectif et universel de la conduite humaine. Or, c’est à partir de l’observation de la nature humaine qu’il entend tirer ce principe moral. Les hommes, selon lui, fuient

[Objections, destinées à montrer la difficulté du sujet et à annoncer discrètement la suite du développement] Cependant, cette idée se heurte à deux objections. D’abord, on peut se demander si certaines de nos croyances ne peuvent pas être raisonnables. Sans être démontrées, elles peuvent être argumentées. C’est notamment le cas dans la pratique : quand il s’agit de prendre une décision, on ne peut pas s’appuyer sur une démonstration mathématique, mais ça ne veut pas dire qu’on agisse au hasard