Raison Et Bonheur Epicure Et Descartes

Foi, conviction délibérément choisie et assumée Différence entre croire et savoir, entre raison et foi: Les oppositions entre croire et savoir: Les vérités de la religion sont des vérités révélées, présentes dans les livres saints, elles constituent la parole divine. Les vérités de la connaissance sont établies à partir des lumières naturelles de l’homme, à partir de ses propres facultés comme la raison. L’humanisme veut prouver que la vérité donnée par Dieu n’est pas dans les Ecritures mais

de leurs projets se joueront sur des scènes différentes : scientifique, technique, organisationnelle, économique, politique, idéologique, affective/émotionnelle. De plus, tout projet rencontre des oppositions croissantes, quelles qu’en soient les raisons : concurrence, lobbys, défense de territoires, environnement, corporatisme, etc. Réfléchir à la situation et chercher à comprendre où se situent les facteurs de réussite ou de blocage d’un projet peut avoir plus d’importance que d’en maîtriser les

pour préserver notre propre vie – l'utilitarisme pose au premier plan la question du bonheur. Il s'agit, en effet, de construire une " arithmétique des plaisirs " qui permette d'accorder " le bonheur au plus grand nombre ". Est utile ce qui augmente le bonheur de la communauté, mais à condition de ne pas oublier que la communauté est un " corps fictif " et que le bonheur doit donc être compris comme celui des individus membres de la communauté. Au lieu

thèses et des antithèses. Démocrite (-460 à -370) est un philosophe physicien, matérialiste, atomiste. Il a découvert que les atomes étaient en mouvement à cause du vide, donc l’univers a été crée sans intervention divine. Il pense aussi que seul la raison permet de découvrir la réalité. Socrate (-470 à -399), grand penseur appelé « sinik » par d’autres philosophes. Son enseignement est basé sur la mayotique (l’art d’accoucher) « connait toi toi-même ». Il aime les questions et la dialectique, on le

aspects mettent en cause la possibilité pour l'homme d'être heureux. Le bonheur résiderait de ce fait soit dans l'absence de désir, soit dans la maîtrise de soi (tempérance). Cette conception négative du désir implique certaines questions : doit-on réduire nos désirs ? est-il possible de distinguer entre de vrais et de faux désirs ? cette réduction est-elle un devoir moral ? la réduction des désirs conduit-elle au bonheur ? Ces questions sont des poncifs de la réflexion morale depuis l’Antiquité

humaine. BACON : Le progrès que l’humain développe depuis plusieurs année à travers l’avancement des sciences et des techniques permet d’atteindre l’idéal que les hommes se fixent, ils pourront donc arriver à combler tous les désirs (=atteindre le bonheur). Leur conduites pourraient donc être moralement bonnes. ex. Les pays développés ont plusieurs machines qui leurs permettent d’accéder à un mode de vie supérieure. LEVI-STRAUSS : Dés qu’une civilisation n’est pas très développée sur le domaine

culturelle. Chacun pouvait se poser des questions d’ordre philosophique sans avoir recours à la tradition des mythes. Nous sommes passés d’un mode de pensée mythique à un mode de pensée fondé sur l’expérience et la raison. Philosophie (Larousse) : réflexion sur le sens, exercice de la raison dans les domaines de la pensée et de l’action. Les philosophes de la nature. p.45 Le but des premiers philosophes grecs fut en effet de trouver des causes naturelles aux phénomènes naturels. Les philosophes étaient

précise le rôle de la musique et de la poésie dans l’éducation des gardiens dans la cité idéale ; les harmonies mesurées introduisent dans l’âme l’équilibre propre à inspirer les comportements vertueux : « — Eh bien, dis-je, Glaucon, est-ce pour les raisons suivantes qu’élever les enfants dans la musique est souverain ? D’abord parce que le rythme comme l’harmonie pénètrent au plus profond de l’âme, s’attachent à elle le plus vigoureusement, et, en conférant de la grâce à ses gestes, rendent gracieux

stade, le sujet est nécessairement confus (puisqu’on ne sait pas ce qu’on ne sait pas !), il ne s’agit donc pas seulement de délimiter un domaine d’étude. Il revient en outre à l’élève de lancer une démarche critique. Il lui faut mettre au jour les raisons de ne pas adhérer aux idées reçues. Il doit aussi comprendre qu’il lui faut poser et résoudre une question à l’aide d’arguments. Cette compréhension qui arrive progressivement, par étape, c’est le travail intellectuel qu’on appelle la problématique

Introduction aux grands courants de la philosophie (Marianne Sluszny) Ce syllabus a été revu partiellement cette année. Rédigé et revu cette année : Le cours 1 : Introduction. Le cours 2 : Les présocratiques Le cours 3 : Socrate et Platon Le cours 7 : Descartes Les cours 8 et 9 : Les Lumières Philosophiques Le cours 10 : Hegel Non revu cette année mais ok : Le cours 11 : Marx Le cours 12 : Nietzsche. Attention donc : imprécisions, explications insuffisantes ou changement dans l’exposé cette année pour le