Race et Histoire

à vivre dans ce pays qui n’était pas le leur […] » I.S 1.2 : Les personnages sentent qu’en demeurant au Québec, ils font partis d’une race, d’un groupe de personne à part qui a sa propre histoire. Texte Maria Chapdelaine : « Ces gens sont d’une race qui ne sait pas mourir… Nous sommes un témoignage. » Texte Trente arpents : « Comment les hommes de sa race […] » Clôture 2e PARAGRAPHE : (Différences) I.P 2 : Les deux auteurs ne soutiennent pas de la même façon l’idée de l’attachement

l'histoire d'une femme noire qui grandit avec une famille blanc et qui partient une vie nonconventional d'une négresse. Le couleur du peau, la nationalité, et son race deviennent problemes psychologiques pour elle. Ce roman reflechit les sentiments et idees vers nationalité et race du temps de la revolution francaise. La protagoniste de cet histoire suffrit d'une depression longue et fatale ultimament dans ce cas. La cause de cette depresion vient de le SOCIAL STATUS d'Ourika que ne peut pas changer malgre

français, face à l'antisémitisme nazi, puisque selon l'idée nazie, c'est une question de race, le juif est impur et ne peut en aucun cas être assimilé, il ne peut pas y avoir de juif qui serait plus allemand qu'un autre... L'antisémitisme allemand est fondé sur l'eugénisme et le racisme l’antisémitisme hitlérien et nazi repose sur deux conceptions que l’on ne retrouve pas alors en France : le racisme, la notion de race supérieure étant essentielle et l’eugénisme, transformer le patrimoine génétique de

discriminatoires selon leure doctrine et leur attitude. La race des Juifs, pour les nazis, etais un sujet qui a mener a une guerre que l'on appelle la « guerre contre les Juifs » sous la propagande du NSDAP et IIIe Reich au commencement de la deuxiéme guerre mondiale en 1939. Deuxiémement parlon de leur moyens et de l'objectifs des nazies. Selon les nazis leur objectifs est de survie a l'humanite, ils sont considére comme race aryenne par-desus toute les races humaines. Les nazimes est

Maurras7. Toutefois, l'adjectif « raciste »8 et le nom « racisme » ne s'installent dans le vocabulaire général en France qu'à partir des années 19309. Le premier auteur qui semble avoir utilisé le mot « raciste » est Léon Trotsky en 1930 dans son Histoire de la révolution russe, avec un sens culturel pour qualifier le groupe des Slaves traditionalistes qui défendaient leur culture et leur mode de vie national10. Les deux mots font leur entrée pour la première fois dans un dictionnaire français, dans

sociétés humaines à cette dignité de l’objectivité. Cela ne veut pas dire que cette objectivité soit celle de la physique ou de la biologie : il y a autant de niveaux d’objectivité qu’il y a de comportements méthodiques" (Histoire et vérité,Objectivité et subjectivité en histoire, 1955). b. L'idée de subjectivité universelle En résumé, ce n’est pas parce que le sujet de l’histoire est l’homme (en tant qu’il produit les événements historiques), que la quête de l’historien se différencie de la recherche

1968, après avoir achevé ses études il commence à se faire publier dans la presse underground4. Il crée aussi un fanzine nommé BlaséE Il est une figure emblématique du courant underground. Contexte historique de création : Maus est une histoire familiale puisque l’auteur recueille les souvenirs de son père Vladek, un survivant de l’Holocauste, du génocide des juifs d’Europe centrale. Le récit alterne deux époques, les années 1970-1980 à New York où Art Spiegelman interroge son père ; et

d’apparence physique. Cette conception correspond à la conception classique allemande telle qu’elle a été définie au cours du XIXè siècle. Elle repose sur un idéal d’objectivité dans la définition du peuple allemand, en donnant la primauté à la langue, la « race » et la culture germanique. Dans cette conception, qu’on peut qualifier de « devoir vivre » ensemble, les individus n’ont pas le choix : ils appartiennent objectivement au peuple allemand, qu’ils le veuillent ou non, et doivent donc accepter cette

patronyme, l’état de santé, le handicap, les caractéristiques génétiques, les mœurs, l’orientation sexuelle, l’âge, les opinions politiques, les activités syndicales, l’appartenance ou la non appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. La discrimination peut prendre différentes formes : La discrimination est directe lorsqu’elle est délibérée et que la différence de traitement se fonde sur un critère prohibé par la loi. La discrimination est

aussi que la civilisation n’était pas indispensable à l’Afrique vu que celle-ci s’en sortait déjà bien à l’époque, relisez bien la vraie histoire du monde. Tous ces cirques étaient établi pour nous distraire, enfin de dérouter l’Afrique de son destin du monde mais retenez qu’on ne peut pas changer le monde, tout comme, qu’on ne peut pas changer son histoire ! L'Afrique reprendra le chemin de son destin, un jour ! Et ca sera avec ou sans nous ! Aujourd’hui la bible est présentée