Quiproquo Theatre

« Castigat ridendo mores » A) Comique de situation
 Tout tourne autour du tableau: 7 dans le passage. Spectateur entouré de blanc. Rire: comment voir dans du blanc des liserés blancs? B) Comique de mots
 Échanges vifs, reprise « cette mrd », anadiplose. Quiproquo sur Handington séquence 1. Réticences humoristiques aposiopèse « le…/ peintre ». Exagération, redondance « Très, très! ». Périphrase ironique pour définir Marc séquence 3 « garçon intelligent » antiphrase. trivialité: argent, tabou dans culture Française

procédés nous font penser à la Commedia dell’arte Italienne qui avec des masques, des déguisements et des farces, divertissait partout où elle passait. Regnard dans le Légataire Universel reprend ce style, les situations Burlesques, les coups de théâtre, les quiproquos, les folies amoureuses, en font une comédie d’intrigue. Le valet type Crispin persuade son maître Géronte qui inconsciemment lui verse deux mille écus. Et dans le dénouement c’est lui qui résout tous les conflits amoureux en valet rusé et

1S2 Mathieu Dm de français : Commentaire Marivaux est un auteur du XVIIIème siècle qui utilise le théâtre pour mettre en scène des gens amoureux et pour briser les convenances sociales en faisant triompher leur amour. C’est le cas dans Les Fausses Confidences écrit en 1737 et aussi dans le Jeu de l’Amour et du Hasard, un de ses chefs d’œuvres, écrit en 1730, où il met en scène de nombreux quiproquos et conflits amoureux. Dans la scène 13 de l’acte II, nous retrouvons les idées de Marivaux. En effet

; elle interpréta une traduction italienne de Phèdre en 1858,1861 et 1867. Maxime et Renée l’entendent donc à cette époque. 2. Le geste familier de M. à la fin du passage constitue un effet de réel : »la sortie de théâtre »=> cape nouée sous le menton. 3. Pourquoi vont-ils au théâtre ?: Zola manifeste un grand souci de vraisemblance psychologique : les héros s’intéressent peu à la tragédie et lui préfèrent les opérettes d’Offenbach. Ils vont voir Phèdre par snobisme mondain comme le montre l’expression

qu'on retrouve toujours dans les réécritures de Dom Juan: - Héros séducteur - Groupe des femmes séduites - Statue du commandeur, moral, force transcendante, ombre de la mort. II- Place dans l'oeuvre de Molière 1. Créée le 15.02.1665 au théâtre du Palais Royal, exemplier 4. Très grand succès, Molière joue Sganarelle. Mais le parti Dévot( croyant) est contre la pièce et reproche que la morale soit dite par un valet. Peut de temps après la querelle de Tartuffe, considéré comme un faux dévot

politiques et idéologiques, ont abondamment utilisé le théâtre comme moyen de transmission de leurs idées. Ce théâtre engagé, issu des théories de Brecht, vise à faire réfléchir le spectateur sur le monde, voire à l’embrigader. Louis Jouvet, dans ses Témoignages sur le théâtre en 1952, réagit contre cette forte contamination du théâtre de son temps par le discours didactique, en opposant deux modes de réception du spectacle théâtral : « Le but du théâtre ne peut pas être une recherche d’ordre intellectuel

 La Comédie S1. Etude d’une scène d’exposition : Le Bourgeois gentilhomme + Tartuffe S2. Le registre comique 1. Etude d’un quiproquo comique : L’erreur de Lubin in Georges Dandin 2. Un jeu de scène comique : Tartuffe Acte IV, scène 5 a) quels arguments Tartuffe donne-t-il pour séduire Elmire ? vous semblent-ils convaincants ? b) Comment Elmire réagit-elle ? Comment le texte l’indique-t-il ? pourquoi agit-elle ainsi ? c) A qui les propos d ’Elmire sont-ils destinés 

Commentaire rédigé Marivaux, Fausses Confidences, Acte II, scène 13 (1737) Un amour contrarié entre deux jeunes gens, les figures du père autoritaire et du valet rusé, des quiproquos et des stratagèmes en tous genres, tels sont les ingrédients traditionnels de la comédie et les ressorts d’une intrigue qui finit toujours bien. Au XVIIIème siècle, Marivaux ne déroge pas à cette tradition mais il lui donne un charme particulier et une profondeur psychologique en intériorisant les

faire rire. Il utilise pour cela divers procédés : le comique de mots : accents, répétitions, exagérations, mélange de ton, jeu de mots, sous-entendus) le comique de gestes (coups, chutes, entrées et sorties, poursuites) le comique de situation (quiproquo,décalage) le comique de caractère. Le comique a différentes natures : la satire (critique d'un vice ou d'un ridicule) la parodie (imitation exagérée et caricaturale d'un style) le burlesque (fait de pousser une situation jusqu'à l'extravagance)

rapportait une fable, venaient picorer les grains de raisin qu’il dessinait. L’art est-il une mimesis, comme le disaient les Grecs, une imitation du réel ? Ou le réel présent dans l’art est-il le fruit de rapports infiniment plus complexes que Le théâtre, selon Giraudoux, se débat entre deux écueils, le réel et l’irréel : « C’est très simple, cela consiste à être réel dans l’irréel. » Cette réflexion faite sur le genre théâtral peut aisément s’applique à tous les genres littéraires. L’art est évidemment