Quiproquo Amoureux

Célimène, amante d’Alceste: Célimène est connue pour sa coquetterie. Elle n’hésite pas à flatter les personnes de son entourage lorsqu’elle est en leur présence. Elle représente l’hypocrisie. Alceste reconnaît ces défauts, mais il en quand même amoureux. Éliante, cousine de Célimène, elle représente la sagesse. Elle conseille à Célimène de faire preuve de franchise lorsque celle-ci doit choisir entre ses amants. Philinte et Alceste apprécient ses qualités et pense tous les deux à la marier. C’est

Question de corpus Premièrement, il s'agit d'étudier le type de personnages mis en scène dans les deux extraits. Dans le texte de Molière, Célimène dresse un portrait péjoratif des courtisans, en les caractérisant de "gens extravagants"(l.2), "toujours affairé" (l. 19), "ennuyeux" (l.29), " pauvre esprit" (l. 40)... Les quatre parents du deuxième document peuvent être classifiés dans le même type que Célimène, même en laissant transparaitre quelques différences: les parents se critiquent

Le Misanthrope de Molière, écrit en 1666 et publié en 1667 est une pièce de comédie. Et cette pièce, comme toutes lespièces de Molière ou presque, est une critique de la société et plus particulièrement de la cour sous le règne du roi Louis XIV. Les principales cibles de ces critiques sont l'hypocrisie et sa« banalisation », car, comme le dit si bien Philinte dans la scène première, l'hypocrisie est devenue une des « mœurs du temps ». Le Misanthrope de Molière n'est pas ce qu'on pourrait appeler

Commentaire de texte : Molière, Le Misanthrope, Acte V Dans la dernière scène tout les personnages sont présents : Acaste, Clitandre, Arsinoé, Philinte, Éliante, Oronte, Célimène et Alceste. Alceste a perdu son procès, il souhaite quitter la société mais avant souhaite voir Célimène. Celui ci doit partir, il propose donc à Célimène de venir avec lui. Sachant que tout le monde est au courant que Célimène est une hypocrite, il pense la persuadé facilement « je veux bien, oublier vos forfaits »

qu'il est menacé de perdre, car il se refuse à solliciter ses juges, selon l'usage d'alors, et aussi, nous le devinons, par la coquetterie de Célimène, une jeune veuve éprise des plaisirs de la société et dont, par un hasard ironique, il est devenu amoureux, malgré ses défauts. À l'emportement de son ami, Philinte oppose une placidité indulgente, qui achève de mettre Alceste en fureur. Juste à ce moment arrive Oronte, grand seigneur qui se pique de poésie, qui est un poète grave et ridicule qui veut

que cette scène relève du comique de situation ? • scène de théâtre dans le théâtre[1] : l’aveu se fait sous le couvert du jeu. Angélique et Cléante prennent les rôles de Philis et Tircis et improvisent un air d’opéra. • le quiproquo[2] : il s’agit également d’un quiproquo car le but des 2 amants est de tromper Argan, le père d’Angélique, qui croit assister à une scène d’opéra écrite. • les 2 amants usent du double langage, grâce à leurs fausses identités : v. 16 « Oui, Tircis, je vous aime » :

dénouement, dévoile tête à tête des amoureux. Elle voit leur réconciliation. Sc. très riche en émotion, en infos et en procédés de théatre. I/ Une scène forte en émotion et en sentiments. A/ Une atmosphère nocturne Sc. qui est censée se passer la nuit. Eclairs = manière de souligner une ellipse temporelle. Rosine est ds l'attente de Figaro et du Comte. Suspens à son paroxysme --> RDV amoureux sous la pression de Bartholo = topos du théatre. RDV amoureux = RDV clandestin avt que R. ne l'avoue

dénouement, dévoile tête à tête des amoureux. Elle voit leur réconciliation. Sc. très riche en émotion, en infos et en procédés de théatre. I/ Une scène forte en émotion et en sentiments. A/ Une atmosphère nocturne Sc. qui est censée se passer la nuit. Eclairs = manière de souligner une ellipse temporelle. Rosine est ds l'attente de Figaro et du Comte. Suspens à son paroxysme --> RDV amoureux sous la pression de Bartholo = topos du théatre. RDV amoureux = RDV clandestin avt que R. ne l'avoue

Femmes est une comédie écrite au XVIIe siècle par le dramaturge Molière. Dans l’acte 1 scène 4 on peut remarquer un quiproquo ainsi que 2 conceptions de l’amour par les différents personnages : Arnolphe, aussi nommé Monsieur de la Souche et Horace, un jeune homme amoureux d’Agnès. Tout d’abord, les deux personnages ne communiquent pas réellement car leur dialogue est fondé sur un quiproquo, un malentendu qui fait prendre quelqu’un pour un autre ou une chose pour une autre. Ici, c’est Horace qui se confie

comprend pas ses questions de la bonne manière. Nous allons voir comment Molière, à travers cette comédie, fait ressortir le caractère de ces deux personnages tout en ce moquant d’eux. Pour cela nous travaillerons d’abord sur le dialogue comportant un quiproquo, puis nous nous attacherons aux personnages de cette comédie classique. I - le dialogue a) l’interrogatoire d’Arnolphe Dans cet extrait, le dialogue est direct, il n’y a pas de pause entre les questions et les réponses. Arnolphe mène l’interrogatoire