Que Signifie Penser Librement

Faut-il apprendre à penser? 2 sortes de pensées, philosopher et penser librement. Faut il philosopher plutôt que de penser librement , confusément? La pensée peut-elle se passer de règles? 1- Inutile d’apprendre des choses que nous savons déjà Pourquoi apprendre à penser alors que nous pensons déjà? On peut donc se demander si apprendre veut dire « fabriquer » ou s’il veut dire « améliorer ».On sait que la pensée est naturelle. Prenons, par exemple, un nouveau né. On sait que dès son plus

lignes plus loin qu’elle est au résultat d’une terrible nécessité ? Tout d’abord si la conscience se développe dans la socialité, dans la vie commune, cette vie commune, ce regroupement ne semble pas être premier ou du moins nécessaire. On peut penser selon notre auteur que l’homme aurait pu vivre seul, que l’homme a peut-être vécu d’abord solitaire. Mais peu importe ce qu’il en est ou ce qu’il en fut, Nietzsche n’est pas Rousseau, il ne s’interroge pas sur l’état de nature, son propos n’est pas

BARRIOL Yvan Dissertation de Philosophie : Le terme « passions » de l’étymologie « patior » voulant dire souffrir, supporter, donc passion signifie la passivité de l'individu. La passivité de l’individu dans le sens ou la volonté n’est pas maîtresse. On peut par exemple dire que boire de l’alcool n’est plus un plaisir mais une souffrance, une addiction. Donc la passion marquerait le moment ou un désir ponctuel et capable. Pourtant, dans le monde contemporain, la passion est jugée favorablement

La liberté Terme qui a plus de valeur que de sens, disait Valéry. Qu’on se batte pour la liberté, et qu’on aspire à plus de liberté, ne signifie pas du tout que la liberté ne soit qu’une valeur, sans contenu de réalité, ni que le terme n’ait qu’un sens vague. Quand un peuple opprimé se bat contre une dictature ou une tyrannie, il ne se bat pas pour un fantasme, mais pour des réalités bien concrètes (la liberté de s’exprimer, la liberté de circuler, etc.) dont il sent cruellement le manque. De même

qu’aucun ne peut librement choisir de s’enfermer dans un système politique injuste. Reliant ainsi intimement la raison à la condition de l’homme libre, Rousseau établit donc la nature de l’homme à partir de sa liberté, là où la tradition philosophique avait pour usage d’invoquer la raison. Dès lors, il établit clairement l’inaliénabilité de la liberté comme fondement du droit et fait de la liberté l’alpha et l’oméga de sa réflexion politique. Néanmoins, Rousseau ne renonce pas par là à penser un système

eux qui prennent librement la décision de s'opposer à ces normes. Cependant la liberté ne se traduit pas seulement par le fait de ne pas se conformer au reste de la société. Nous pourrions tout d'abord penser qu'être libre c'est être indépendant d'autrui, résister à toute influence extérieure, ce qui conduit alors à s'écarter du mode de vie que la société nous impose. Le terme d'anticonformisme est apparu au milieu du Xxè siècle, ce qui est plutôt récent. On pourrait alors penser à un phénomène de

lieu on pourrait penser que l'ignorant est libre car il ne possède pas de savoir et il ne sait pas que plusieurs choix peut s'offrir à lui. Il pense donc qu'il est libre. Être libre c'est faire des choix sans être contraint de suivre des choses qui sont imposées. Mais être libre ne signifie pas nécessairement faire ce que l'on veut. L'être libre a des limites; il doit respecter les lois pour ne pas nuire à la liberté d'autrui et ses droits fondamentaux. Être libre c'est penser ce que l'on veut

d’actualité ? * Peut-on être libre et donc penser librement lorsqu’on n’a ni abri, ni eau, ni nourriture, ni accès aux soins de santé ou à l’éducation ? Développement : Thèse : * Vit-on dans une société qui respecte l’intégrité mentale de l’homme ? * Protection sociale appliquée à tous pour permettre cette intégrité mentale ? Antithèse : * Libéralisme sans protection * La loi du plus fort gagne et empêche les plus faibles de vivre librement. * Ce ne sont pas les conditions matérielles

articuler la conduite de l’homme sur la maîtrise de la pensée. Un projet conséquent mettant en jeu toute une conception (idyllique) de l’homme. En effet, cela supposait que chacun avait la possibilité de régler lui-même ses pensées et d’en répondre. « Penser, voilà le triomphe vrai de l’âme » écrivait Victor Hugo, cette même âme, que Platon entendait comme ce qui, en nous, s’affirme comme pouvoir de réflexion et de conscience distanciée. En ce cas, la grandeur de l’homme a-t-elle été, est-elle encore

les conditions nécessaires à notre liberté de penser et y expose clairement les différentes contraintes que l’Homme met à sa liberté de