Que Signifie Le Silence En Matière Contractuelle

exemple, il faudra prouver qu'il a fait une erreur de diagnostic. §3- Distinction entre obligation pécuniaire et obligation en nature Cette classification schématisée par le doyen Carbonnier, cette classification revêt une grande importance en matière économique et monétaire. S'agissant tout d'abord de l'obligation pécuniaire ou en espèce, il s'agit tout d'abord d'une obligation de transférer la propriété d'une certaine quantité de monnaie , par exemple l'obligation pour l'acheteur de payer une

d’un | | |de survenance d’un sinistre | |appartement | III. Les conditions de validité des contrats   Suivant les principes de la liberté contractuelle et de l’autonomie de la volonté (Code civil), les parties aux contrats sont libres : - de signer ou non (contracter ou pas) ; - de déterminer le contenu de leurs engagements (sauf dans un contrat d’adhésion), c’est-à-dire qu’elles peuvent aménager

Les obligations précontractuelles et contractuelles au Maroc « principes généraux » Les règles relatives au droit des contrats et obligations au Maroc, sont réparties entre le dahir du 12 août 1913 formant Code des obligations et des contrats ou dahir des obligations et contrats (D.O.C), pour le droit commun et la loi 15-95 formant code de commerce pour les dispositions relatives aux contrats commerciaux. La rencontre de deux volontés est l’élément indispensable à la formation d’un contrat. Mais

C’est ainsi que les contrats et faits ayant le but de transfert de propriété ont l’obligation de donner ( par exemple les contrats de vente , d’échange ) . L’existence de l’obligation de donner est discutée , notamment en matière de vente , dans la mesure où en cette matière , l’article 1583 du code civil prévoit le transfert automatique de la propriété , c’est-à-dire indépendamment des parties . On parle d’effet non obligationnel du contrat puisque le transfert est automatique . Traditionnellement

remise de la chose sur laquelle porte l’obligation. Le contrat est dit réelle car en latin RES veut dire chose (ex : le contrat de dépôt). 2- L’intérêt de la distinction En matière de contrat solennel si la formalité requise n’est pas accompli, le contrat est nul, et il s’agit d’une nullité absolue. De même en matière de contrat réel si la chose n’est pas remise le contrat est nul. C- La distinction entre les contrats a exécution instantanée et les contrats à exécution successif 1- La

qu'il interviendra dans les rapports entre individus Il se dégage de cette tendance que ce qui résulte de la volonté ne peut être que juste. Si on a consenti c'est que cela est conforme a nos intérêts. Fouillée : « toute justice est contractuelle, qui dit contractuelle dit juste » cette phrase illustre bien la théorie. Cette théorie de l'autonomie de la volonté marque le paroxysme de l'individualisme juridique. Elle est le fruit d'un courant de pensé économique que l'on appelle le libéralisme. La

 sur  la  condition  de  la  responsabilité  éventuelle  du   débiteur,  ainsi  ds  le  cadre  d’une  obligation  de  moyens,  le  créancier  ne  peut  mettre  en  jeu  la  responsabilité   contractuelle  de  son  débiteur  que  s’il  prouve  que  ce  dernier  à  commis  une  faute  ou  n’a  pas  mis  en  œuvre  tt   les  moyens  promis.  ON  RETIENDRA    QUE  LA  FAUTE  DU  DEBITEUR

souvent dans le premier cas (mais pas tout le temps : penser à la réticence dolosive) en présence de comportements matériels : il n’est alors pas nécessaire de scruter la psychologie de l’errans (de celui qui a commis l’erreur). -A l’instar de la matière pénale (comme les infractions pénales) il y a dol lorsque sont réunis certains éléments constitutifs, au nombre de deux : .Un élément matériel ou délictuel : c’est‑à‑dire un acte fautif ou déloyal (a) .Un élément psychologique ou intentionnel :

promesse (B). A) Rejet implicite des actes juridiques en matière de promesse de gain. La loi ne prévoit pas de conditions et de régime juridique pour sanctionner ce type de promesses de gain. C’est pourquoi face aux critiques, la jurisprudence de la cour de Cassation s’est trouvée obligée de créer un régime applicable à ces pratiques. En premier lieu elle va recourir à l’assimilation de ces promesses à la responsabilité contractuelle, acte unilatéral et contrat afin d’obliger les sociétés à délivrer

ou négatif, l 'obligation sera la dette qui pèse sur le débiteur, et qui figure là aussi dans son patrimoine, mais au passif de son patrimoine. L'obligation juridique se caractérise par le pouvoir de contrainte qui accompagne la dette. Cela signifie que si le débiteur ne s'exécute pas, le créancier a le droit de recourir à la force publique pour forcer le débiteur à s'exécuter. En droit romain, le créancier avait même le droit de saisir la personne du débiteur et d'en faire son esclave, lorsque