Pyrale

d’insectes résistants aux OGM remet en cause leur utilisation ! Nous connaissons tous des insectes ravageurs des cultures, comme par exemple la pyrale pour le maïs. Un papillon qui était maitrisé par des traitements chimiques et à présent par transplantations de gènes permettant de créer de nouvelles variétés de maïs pour produire une substance qui repousse la pyrale. Cependant une étude récente à prouver que de génération en génération, cet insecte pouvait résister à cette substance. Le 19 juillet 2004

produits (aliment du bétail, brise vent, combustible, construction) qui sont commercialisés et/ou utilisés dans la vie de tous les jours participant ainsi à la sédentarisation des populations et au maintien d'un équilibre socio-économique fragile. La pyrale des dattes, Ectomyeloïs ceratoniae Zell. (Lepidoptera, Pyralidae) est sans conteste le plus important problème du palmier dattier tunisien. L'infestation des dattes au champ et dans les aires de stockage déprécie énormément la qualité marchande des

moins importants. En France, le maïs est aussi ravagé. Ce ravageur se nomme la pyrale du maïs, c'est un papillon capable de créer entre une et trois générations par an selon les régions. Jusqu'à maintenant les agriculteurs protégeaient leurs cultures grâce à des traitements chimiques, mais maintenant la transplantation de gènes permet de créer de nouvelles variétés de maïs pour produire une substance qui repousse la pyrale du maïs. Néanmoins, dans certains pays dans lesquels l'application de la substance

et des noix ou les chenilles défoliatrices de nombreux arbres fruitiers. Enfin, l’arsénite de sodium (ou de soude) a été utilisé comme insecticide, puis comme fongicide, en viticulture. La lutte insecticide en traitement d’hiver contre l’altise, la pyrale ou encore les tordeuses de la grappe a démontré indirectement les propriétés antifongiques de l’arsénite de sodium (contre l’esca et l’excoriose). En traitement d’été, les arséniates ont aussi été utilisés comme insecticides (contre les vers de la

sont capables de synthétiser elles-mêmes un insecticide. Il n'y aurait alors plus besoin de pulvériser les champs, et donc le sol, avec des insecticides. Ceci permettrait une baisse de la pollution dans les régions agricoles.Prenons l’exemple de la Pyrale que nous étudierons plus tard, il faut savoir que les PGM sont plus efficaces dans la lutte contre les insectes ravageurs que les insecticides chimiques car celui synthétisé par la plante est présent en permanence. Ainsi, les insectes cibles sont

ce problème. 5) Les points négatifs des OGM: Pour l'environnement : la création d'OGM pourvus d'un insecticide pourrait entraîner l'évolution des insectes concernés (comme la pyrale) vers une plus grande résistance, d'autant plus que beaucoup d'insectes produisent de nombreuses générations en un an (la pyrale en produit 5), ils ont donc une grande faculté de mutation. Il existe aussi un danger pour les insectes utiles comme les abeilles car on soupçonne les OGM d'etre a l'origine de leur

se fait en plusieurs étapes : 1. Tout d’abord, il faut identifier le besoin ainsi que le gène responsable de la caractéristique requise pour combler à ce besoin. Par exemple, en cas du maïs Bt, le gène Bt est nécessaire à la résistance de la pyrale. 2. Il faut extraire le gène, la série de nucléotides, de l’organisme qui le contient. 3. Après, il faut fabriquer une chimère, c’est-à-dire qu’il faut insérer le gène isolé dans un vecteur. Le type de vecteur le plus connu serait le plasmide

disparaître une espèce d’insecte précise comme la pyrale pour le maïs. Mais il a été prouvé que les OGM n’ont pas qu’un impact sur une seule espèce ravageuse, mais aussi sur des espèces bénéfiques à l’écosystème comme les papillons ou les abeilles… Aux Etats-Unis une expérience a été réalisée sur un papillon, le Monarque. Les chenilles de ce papillon, on été nourries de feuilles recouvertes du pollen du maïs Bt. Ce maïs produit un insecticide pour résister à la pyrale (insecte qui dévore les tiges de maïs)

plus ou moins gros. En France par exemple, le maïs a donc son ennemi : la chenille pyrale du maïs, un papillon capable de créer une à trois générations par an suivant les régions. Jusqu'à aujourd'hui, les agriculteurs protégeaient leurs cultures par des traitements chimiques, mais à présent la transplantation de gènes permet de créer de nouvelles variétés de maïs pour produire une substance qui repousse la pyrale du maïs : le maïs Bt. On sait alors que la concentration de cette espèce est grandement

génétiquement les plantes principalement pour augmenter leur résistance, par exemple pour le maïs Bt (dont j’ai parlé dans l’histoire des OGM), dont la modification génétique permet de tuer la chenille de la pyrale, qui s’attaque aux tiges du maïs.                                (Chenille de la pyrale - Maïs dévasté par cette chenille)   On peut aussi modifier les plantes à des fins médicales, par exemple le riz doré : la carence en vitamine A tue chaque année plusieurs milliers d’enfants, et cette