Pyrale

variétés de mais qui ont été modifiés génétiquement par l'ajout du gène leur conférant une résistance au principaux insectes nuisibles . En particulier la pyrale, un animal qui vit en Amérique du Nord et en Europe. Ses larves causent des dégâts considérables au mais. Le mais bt secrète donc une substance chimique, son propre insecticide qui tue la pyrale. Celle ci a été extraite d'une bactérie Bacillus thuringiensis dont on a extrait le gène codant la toxine Cry1ab permettant au mais de produire son insecticide

et produit des dégâts plus ou moins gros. En France, le maïs a donc son ennemi : la pyrale du maïs, un papillon capable de créer une à trois générations par an suivant les régions. Jusqu'à aujourd'hui, les agriculteurs protégeaient leurs cultures par des traitements chimiques, mais à présent la transplantation de gènes permet de créer de nouvelles variétés de maïs pour produire une substance qui repousse la pyrale du maïs. Les avantages de cette stratégie sont : • pas de pollution

l’usage est censé être rendu inutile par les OGM mais dont l’utilisation s’est accrue pour pallier l’inefficacité du Roundup, du fait des résistances apparues ; apparition de résistances simultanées à 3 molécules herbicides chez les colza ; dégâts des pyrales du maïs remplacés par ceux d’autres insectes... Autant d’effets poussant à augmenter et varier l’utilisation des insecticides/herbicides. D’autres avantages sont également mis en avant dans les projets des agro-industriels tels que les qualités gustatives

fongicides. Prèles des champs source : blog nutrition santé Lutte contre la Pyrale du Maïs : La pyrale du maïs est un insecte, plus précisèment un papillon dont les chenilles infectent parfois le maïs. Les masses d'œufs de la pyrale du maïs sont plates et blanc crème. Les œufs sont empilés les uns sur les autres comme des écailles de poisson. Pour lutter contre la pyrale du maïs, les agriculteurs utilisent des agents de lutte biologique nommé trichogrammes. Les trichogrammes

est la pyrale (le lépidoptère Ostrinia nubilalis), dont les différentes populations sont capables de produire une à trois générations par an suivant les régions. A l'heure actuelle la protection des cultures de maïs est assurée par un traitement chimique mais la transgénèse a permis de créer de nouvelles variétés de maïs qui ont été transformées par des firmes privées (Novartis, Monsanto …) pour produire dans leurs tissus la toxine Cry 1Ab de Bacillus Thuringiensis (Bt) active contre la pyrale du maïs

3 milliards d’économies ont profité aux producteurs de maïs officiels. Entre les années 1996 et 2009, la culture de maïs Bt, a permis de réduire la population de la pyrale de 28 à 73 % selon les États examiné dans cette étude. Cette diminution de la totalité des pyrales par le maïs Bt a aussi permis de diminuer la quantité de pyrale dans les champs de maïs. Il est toutefois considérable de continuer la culture du maïs Bt en assistance de refuges non-Bt afin de limiter l’apparition de fermeté chez

des firmes privées pour produire dans leurs tissus la toxine (Bt) active contre la pyrale du maïs. On a déjà remarqué l'apparition d'insectes résistants à cette toxine dans certains pays (Malaisie, Japon, Hawaii). L'utilisation de ce maïs transgénique pourrait créer une nouvelle génération de pyrales résistantes à la toxine Bt. L'utilisation de ce maïs transgénique pourrait créer une nouvelle génération de pyrales résistantes à la toxine Bt. 2. Toxicité pour les insectes Il est important

En France, la première culture transgénique a été autorisée fin novembre 1997. Il s’agit d’un maïs mis au point par la firme Novartis. Ce maïs a reçu trois gènes étrangers qui le rendent capables de résister aux chenilles d’un papillon parasite, la pyrale. On en cultive déjà 8 millions d’hectares outre-Atlantique. Outre les maïs, soja, colza et cotons modifiés (plus de 20 millions d’hectares aux États-Unis), on produit aussi des légumes comme des courges, des tomates, des pommes de terre, du riz..

et la membrane des cellules sans leur causer des dommages irrémédiables. C’est comme ça qu’on peut introduire l’ADN dans des tissus qui vont directement produire une plante.4 Si on prend l’exemple du maïs génétiquement modifié pouvant résister à la pyrale, voici un exemple de schéma qui illustre très bien le transfert direct. 5

inefficace.                                b) Le maïs : La pyrale et la sésamie sont les deux principaux ravageurs du maïs. Ces papillons, dont les chenilles mangent les tiges et les épis de maïs, peuvent occasionner à elles seules jusqu'à 30 % de pertes sur les récoltes selon les années et les localisations. Il existe à l'état naturel dans le sol une bactérie (Bacillus Thuringiensis : Bt) sécrétant une protéine capable de détruire les larves de pyrale et de sésamie, cette protéine s’apparente à une toxine