Pyrale

d’exportation, alors que dans un agrosystème on exporte beaucoup = épis, grains de blé. Il est souvent nécessaire d’arroser les cultures (maïs très demandeur). Ce qui abaisse le niveau des rivières et des nappes phréatiques. Le maïs à un grand ennemi : la Pyrale, le papillon nocturne qui pond ses œufs sur les feuilles. L’exportation de biomasse, la fertilité des sols et la recherche des rendements posent le Pb : -des apports dans les cultures : engrais, produits phytosanitaires -des ressources en eau -du

douzaine de virus, microbe et même champignon parasite dans certaine abeille survivantes de ruche agonisante. L’origine des ses champignon parasite n’est pas un mystère, ils sont incorporé dans les nouveau pesticide pour combattre les criquets, la pyrale du maïs ou d’autre teigne gênants les cultures. Les pesticides ne sont pas les seul cause de destruction des abeilles, ils agissent en synergie avec d’autre élément dévastateur par exemple les bio pesticides produit « naturellement » par les

Bt dont il s'agit. Les OGM ne sont pas pareil que les hybrides car ce sont des transfert biologiques. Le maïs a donc été modifié génétiquement par l'ajout du gène permettant une résistance aux principaux insectes nuisibles du maïs, entre autres une pyrale. Les OGM peuvent être utilisés pour résoudre des problèmes médicaux comme pour trouver un remède contre le diabète ou ils peuvent aussi être utilisés dans les industries pour faciliter les productions. Il est cependant utilisé plus principalement

d’insectes. . Pour la flore : Des plantes aquatiques, des lentilles d’eau… Le champs C’est un endroit en plein soleil donc très lumineux. . Pour la faune : Des renards, des oiseaux, des buses, des criquets, des carabes, des chenilles (des pyrales du mais), des limaces, des larves de hanneton, des pucerons et de la faune du sol, des campagnols.. . Pour la flore : Du maïs, des plantes adventices… Dans la foret : Végétaux Insectes Campagnols Sangliers

vont améliorer l'efficacité de l'agriculture, en respectant encore mieux l'environnement. * La bactérie « Bacillus thuringiensis » constitue un véritable réservoir de gènes de résistance aux insectes. Dans le cas du maïs, la résistance à la pyrale est conférée par le gène Cry A, appelé communément Bt. * Il n'existe aucune méthode de traitement des maladies dues à des virus chez les plantes cultivées. Par transgénèse, il est possible d'obtenir des plantes résistantes aux virus. Ces plantes

inséré le gène d’une bactérie (Bacillus thuringiensis) qui permet la fabrication d'une protéine insecticide. Celle-ci agit en bloquant les cellules intestinales des larves des lépidoptères, coléoptères et diptères. Elle permet de tuer la chenille de la pyrale, un papillon dont la larve cause d'importants dégâts dans la tige du maïs. *Plantes capables d'être soumises à un herbicide sans mourir  Ces OGM possèdent un gène de résistance à un herbicide donné, produit par la même firme que celle qui

marché des produits transgéniques, d’abord aux États-Unis et au Canada, puis timidement en Europe (colza, soja et maïs). En France c’est en novembre1997 que la culture du maïs transgénique Novartis capable de résister à son parasite principal, la pyrale, est autorisée, mais en 2007 on interdit sa culture en France. 28 01.09-C20 ENVIRONNEMENT-ch1 27/04/09 10:55 Page 29 LE CHOIX DES OGM : UNE CRAINTE ET UN ESPOIR Les avis sont très partagés en ce qui concerne les OGM car toute nouveauté

conclusion |barème | |1 |diminuer l’utilisation d’insecticide | |1 | | |utiliser une plante résistante à la pyrale | |1 | - Risque pour la survie du papillon monarque |1 |maïs transgénique | |0

3) Expliquer sous forme de schémas simples comment est créé le maïs transgénique. 5 4) Indiquer l’intérêt d’un OGM tel que ce maïs transgénique en agriculture. Le maïs OGM résiste à la larve de pyrale grâce à l’expression du gène Bt qui code pour une protéine mortelle pour la larve de pyrale. Ceci permet de limiter l’emploi de produits chimiques nuisibles à l’environnement et bien souvent toxiques pour les agriculteurs. Sur le plan économique, le but est d’améliorer les rendements agricoles

Première commercialisation d’une plante transgénique (Chine : tabac résistant à un virus). 1994 : Première commercialisation d'un légume transgénique (tomates) 1997 : En France : première autorisation de la culture transgénique (maïs résistant à la pyrale) 1999 : 40 millions d’hectares de plantes transgéniques dans le monde. 2002 : 60 millions d’hectares de plantes transgéniques dans le monde. 2003 : 68 millions d'ha de plantes transgéniques cultivées dans le monde. 2010 : 148 millions d'hectares