Putain De Silence

I et II (1983) L'Espoir maintenant, les entretiens de 1980 (avec Benny Lévy) (1980) 2 ) – Littérature Secondaire Théâtre • Bariona, ou le Fils du tonnerre (1940) • Les Mouches (1943) • Huis clos (1944) • La Putain respectueuse (1946) • Morts sans sépulture (1946) • Les Mains sales (1948) • Le Diable et le Bon Dieu (1951) • Kean (1954) • Nekrassov (1955) • Les Séquestrés d'Altona (1959) • Les Troyennes (1965) Essais •

se croit plus dur, le temps se croit plus mure, et il aurait un âge si on le savais né, mais il devient usé, usé par ces années. Est il meilleur d'être sage plutôt que démodé? Etre quelqu'un du monde, non de la société, les saisons croquerons les silences immobiles, brulerons dans le noir ces inquiétudes viles et ici ou ce soir s'exilera en fumée dans la fête éternelle le sourd clairon du ciel. Il suffit d'un murmure pour que ça devienne chaud, il suffit juste d'un souffle pour que vienne le flow

1 Roberto Zucco, tableau I, Bernard-Marie Koltès, éd. Minuit pp.9-13. Texte 1 I. L'ÉVASION. (lever de rideau) Le chemin de ronde d’une prison, au ras des toits. Les toits de la prison, jus qu’à leur sommet. A l’heure où les gardiens, à force de silence et fatigués de fixer l'obscurité, sont parfois victimes d’hallucinations. PREMIER GARDIEN. - Tu as entendu quelque chose? DEUXIÈME GARDIEN. - Non, rien du tout. PRE~IER GARDIEN. - Tu n'entends jamais rien. DEUXIÈME GARDIEN. - Tu as entendu quelque

décrocher la lune même si je la voulais ! On a grandi ensemble, construit ensemble, traversé les pires moments, vieillir ensemble c'est c'est ce qu'on voulait. Tu te rappelles ? Nos fous rires, nos premiers instants, ton sourire, les moments de silence qui voulaient tout dire. Et on pouvait se nourrir l'un de l'autre, ouais, tellement j'étais toi, t'étais moi et ça nos proches en étaient témoins. Tu étais ma vie, mon coeur et mon sang. Tu étais mes tripes mon moteur et mon sens à tout ça, alors

glisser en soulevant la première assiette. Elle sera bien étonnée. Il y a tellement de choses que je voudrais lui montrer… Tellement de choses. Mais je ne dis rien. Je prends mon pardessus en silence. Je sais comment sont les filles avec l’avenir : juste prometteuses. Je préfère l’emmener dans ce putain de McDo et la rendre heureuse un jour après l’autre. Dans la rue, je la complimente sur ses chaussures. Elle s’en offusque : « Ne me dis pas que tu ne les avais jamais vues, je les ai depuis

glisser en soulevant la première assiette. Elle sera bien étonnée. Il y a tellement de choses que je voudrais lui montrer... Tellement de choses. Mais je ne dis rien. Je prends mon pardessus en silence. Je sais comment sont les filles avec l'avenir: juste prometteuses. Je préfère l'emmener dans ce putain de McDo et la rendre heureuse un jour après l'autre. Dans la rue, je la complimente sur ses chaussures. Elle est géné : « Ne me dis pas que tu ne les avais jamais vues, je les ai depuis Noël

complétement partout à patrouiller la ville. La soif m’envahissait par la chaleur, mais il était trop risqué de m’arrêter au souk pour m’acheter un peu d’eau. Ça y est, encore 1 bloc et j’étais arrivé. Des coups de feux au loin brisèrent la glace du silence du matin. J’avais profité de ce moment pour faire mes dernier 100 mètres à course pour finalement être arrivé dans l’école. Seul l’ombre des couloirs de l’école me cachait de l’extérieur. Sgt. Dunn m’attendait. Quand je croyais être le dernier arrivé

Poète et homme politique français (1913 - 2008). Interdit au sens religieux. 8 Garde à vue. 6 7 haine grouillait en nous et on n’y pouvait rien : elle nous ruinait le cœur. Y avait la vie qu’on nous montrait à la télé et et y avait cette putain de réalité en bas des tours ; dès le plus jeune âge, on était les spectateurs de la déchéance des spectres de la tess9, ces morts-vivants qui déambulaient entre les tours de ciment à la recherche de quelque chose – une lueur peutêtre –, mais qui

qu'il est temps d'assumer, fini les supercheries, il faut le dire à haute voix, il faut le crier, la charia est un MALAISE, qu'on a toujours essayé de contourner. On a essayé de le faire passé en silence, mais il est là, toujours présent. Crions : "NON à la charia" et finissons en pour de bon cette fois, PUTAIN c'est LA REVOLUTION alors libérons nous de ces entraves...Révolution !      Depuis le 14 janvier, après cette bouffée d'air frais de liberté, mes rêves sont en régression continue. Aujourd'hui

changé pour rentré chez moi , j`attend que sarah finis de s'habillé pour rentré. En attendant dans ma tete yavais < LUi !! > , Le gar de tout a l'heur , j'savais meme pas son prénom Rien ! J`lavais jamais vue de ma vie & voila qui hante mes pensé , Putain! il m'arrive quoi la ? Ness Reveille toi , c`est un gar comme les autre, Nan j`pense pas que se soit un gar comme les autre pourquoi les autre ne mon pas fait cette effet la quand J'lai vois ? Je sais pas enfin bref Sarah a fini de s'habillé elle