Des mots incensensés qui se posent sur des lèvres, un regard de glace qui se prend sur la grève, pourquoi tant de gerçures sur des fleurs sans couleurs, pourquoi tant d'amertume dans la soif de rancoeur. Il ne faut pas être ce qu'on se contente d'avoir, pourtant l'ont doit connaitre, les mots sont dérisoires, les gens ont une valeur que l'on ne voit même plus, l'argent fait du bonheur un homme à moitié nu. On ne crie plus les phrases, il faut qu'on les chuchote, et a trop se souler avec du mauvais vin, cacher comme des loups au fond de notre grotte, on ne laisse le hasard qu'agir par le destin. Et si, l'on devenai le contraire d'être fort, la lâcheté pèserai sur un avenir de mort, le temps se croit plus dur, le temps se croit plus mure, et il aurait un âge si on le savais né, mais il devient usé, usé par ces années. Est il meilleur d'être sage plutôt que démodé? Etre quelqu'un du monde, non de la société, les saisons croquerons les silences immobiles, brulerons dans le noir ces inquiétudes viles et ici ou ce soir s'exilera en fumée dans la fête éternelle le sourd clairon du ciel.
Il suffit d'un murmure pour que ça devienne chaud, il suffit juste d'un souffle pour que vienne le flow. Je n'ai pas d'image qui m'vienne, juste des souvenirs troubles, comme une photo ancienne que l'on perçois en double. Vieillir pour oublier, il faut bien qu'le temps passe, frémir et tout donner que veux tu que j'y fasse? Pleurer, gémir et mourir de plaisir ne te prend plus la tête laisse les choses venir. Il suffit d'un regard pour que tout s'illumine, rien qu'un simple partage pour combattre ce spleen, ce malaise que surgit n'importe ou, comme un couteau tranchant qui caresse le cou. T'as mal et tu sais pas pourquoi, tu pleure et puis tu n'entend pas, tu traverse le gouffre des enfers, mais crois moi un sourire permet de revenir en arrière. Sois simple, surtout ne t'en fait pas le bonheur arrive toujours à qui n'attend pas, met les mains sur la table, arrête de tricher, écrase ta