Psychodynamique

ou l'importance accordé aux données dépend en bonne partie du paradigme utilisé. […] Dans ce chapitre nous allons voir 4 paradigmes majeurs : biologique, cognitive-comportemental, psychanalytique et humaniste-existentialiste. Les paradigmes psychodynamiques et humaniste-existentialiste ont été moins influent dans les dernières années, mais ont encore des applications modernes et certains concepts continue d'avoir un impact signifiant. The Biological Paradigm Le paradigme

défensives individuelles et collectives développées face aux contraintes psychiques de travail et leurs impacts et résonances émotionnelles telles que la peur, la colère, la compassion, la honte, le dégoût… On pense ici par exemple aux travaux en psychodynamique du travail (Dejours, 2000). Les émotions sont à la fois un effet du travail et un objet du travail : effet dans le sens où l’activité de travail est éprouvante émotionnellement pour celui qui l’accomplit. Ce qui conduit à des développements sur

pour trouver des solutions qu'il apaisent » ( BLANCHARD-LAVILLE, 2001, p.102). Pour faire face au malaise, au mal-être, la personne élabore des stratégies conscientes ou inconscientes et deux types de stratégies de défense sont proposés par la psychodynamique. p.21 Premièrement, les stratégies regroupant les  défenses constructives qui visent à la transformation des sources de souffrance. De ce fait, pour C. Blanchard-Laville ( 2001, p.259) la souffrance est « l'aiguillon qui permet d'inventer »

conduite centrée sur le corps dont l’obésité serait le symptôme ? Comment l’aider à mettre en mots ce qu’il n’arrive à dire qu’à travers son corps pour l’instant ? Comment éviter que l’obésité ne devienne « un facteur d’entrave aux processus psychodynamiques propres à cette période » chapitre de son livre qui traite de la relation obèse-medecin, Waysfeld 3 2 ? Dans le met en avant l’écoute comme un outil de décodage « performant », permettant d’accéder au vécu du sujet. Il plaide pour une

patient mais d'aider au développement graduel de chaque élève vers une maturité qui lui permettra de réellement " soigner " le patient (acquisition d'un meilleur savoir-être). Cette insistance sur les relations interpersonnelles, sur l'aspect psychodynamique des soins est capitale chez Peplau. Elle dit par exemple, que toute relation enseignante-élève ou surveillante-infirmière peut devenir problématique à un moment ou un autre. Des sentiments archaïques que l'on a éprouvés pour d'autres personnes

| Réponse de l'étudiant : | Numéro. | Réponse de l'étudiant | Note | 1. | traits | 100% | | | Appréciation générale : | La bonne réponse se trouve à la page 80 | Score : | 1 / 1 | | Question 6  (1 point) | Selon l’approche psychodynamique de la personnalité, la personnalité est une structure dynamique composée de plusieurs caractéristiques qui disposent la personne à ressentir, à penser et à agir à sa manière propre. | Réponse de l'étudiant : | Valeur en pourcentage | Réponse

Neuro-Linguistique au sein des psychothérapies[149]. Les psychothérapeutes PNLt ont une pratique intégrée et coordonnée de techniques issues du comportementalisme, de l'approche systémique, des sciences cognitives, des niveaux logiques, d'une approche psychodynamique… et surtout des techniques issues de l'explicitation des stratégies mentales. S'il existe une PNLt avec une démarche et des protocoles précis, il y a surtout des PNListes dont la pratique globale peut varier fortement de l'un à l'autre[146].

autre, mais hélas, parfois encore, au sein d’une même institution créant ainsi de véritables ravages chez les enfants et leurs parents. Comment ceux-ci peuvent-ils s’y retrouver si certains de leurs interlocuteurs ne s’attachent qu’à l’aspect psychodynamique du problème et d’autres, à l’aspect cognitif. Cependant, le consensus de soin et le travail en réseau, réseau incluant bien entendu les parents, ont beaucoup progressé et permettent alors que se réduisent les clivages que vivent elles-mêmes les

de « rigoler avec les copains », le vol d’un instant de temps libre, qui font supporter les conditions du travail industriel, et qui, du même coup y attachent [M. Pialoux, 1993 ; M. Pialoux, 1995]. Attachement paradoxal ? Pas tant que cela. La psychodynamique du travail [C. Dejours, 1996] insiste sur le rôle privilégié du travail dans la satisfaction sublimée des pulsions inconscientes. Mais elle montre aussi que le travailleur n’est pas un consommateur de situations de travail gratifiantes. Il construit

biologique. Ces symptômes ne seraient que la représentation 35 ou la fixation de l'angoisse liées à l'équilibre de trois instances (le ça, le Moi et le Surmoi) organisés en fonction de la maturation affective de la personnalité. Cette théorie dite psychodynamique, révolutionnaire à l'époque, est toujours vivement contestée maintenant. Mais si celle-ci a été écartée pour la description des troubles mentaux dans les dernières versions des grandes classifications internationales (DSM IV, CIM 10), elle reste