Psychanalise Freud

dirigée par Laurence Hansen-Løve Jean Lefranc Freud (1996) PhiloSophie © octobre 2008 Table des matières Introduction : Freud et la philosophie ..................................... 4 Note sur la traduction.................................................................. 9 Chapitre 1 : La naissance de la psychanalyse ......................... 10 Éléments de biographie (1856-1939) ........................................ 10 Freud neurologue .....................................

façon inconsciente. Mais les cliniciens du XIXe siècle tels que Freud mettent à jour une nouvelle forme de mémoire ; la mémoire dite refoulée. En 1896 Freud expose sa théorie selon laquelle les troubles de ses patientes seraient dûs à des violences d’ordre sexuel qu’elles auraient subi durant leur enfance et qu’elles auraient oublié à cause du traumatisme provoqué. Néanmoins ces souvenirs resurgiraient au cours de leurs thérapies. Freud se serait rétracté seulement dix-huit mois plus tard, il n’en

sortirait sans doute le patient de cet état, imposant des traitements d’une grande brutalité aux malades. Ici c’est la question du transfert et du contre-transfert qui semble inaperçue, et qui ne sera vraiment travaillée qu’avec les écrits de Freud. Les exemples de thérapeutiques « défensives » ne manquent pas dans toute l’histoire du traitement de la folie, et la plus radicale des prophylaxies s’est développée au cours du siècle dernier, avec la stérilisation des malades mentaux dans

refoulement – symptômes hystériques z FREUD et la féminité différence homme / femme PAS SEULEMENT pénis / vagin z Dans la société : L’homme : disponible, dire oui, toujours d’accord face à la femme La femme : a le droit de dire non Syndromes hystériques : pas neurochirurgicologiques z Le corps a une forte valeur symbolique z lien émotionnel : parole (les mots ont des valeurs) et émotions z BERNHEIM : voit et constate z FREUD ET BREUER : cherche à soigner z Contenu

contingente du psychisme, l’effort de la conscience pour atteindre la vérité du sujet est vain. N’est-ce pas là une bonne raison d’admettre l’existence d’un inconscient psychique, d’une pensée inconsciente comme le propose Freud dans cette extrait de la Métapsychologie ? Freud cherche à démontrer que l’hypothèse qui sert de fondement à la psychanalyse, dont il est l’inventeur, est à la fois nécessaire et légitime. Sans elle, nous sommes en effet condamnés à laisser inexpliqués des faits et des phénomènes

et il les ressort souvent dans ses rêves, il produit des effets inattendus, comme la phobie par exemple. L'homme à également besoin de ça pour se forger un identité, ainsi il peut dire par exemple : « Moi j'ai la phobie des araignées. » D'ailleurs Freud à mis en place la psychanalyse, pour permettre aux individus en désaccord avec eux mêmes de se comprendre, et donc d'évoluer. On parlait dans la première partie de la liberté de faire des choix, du libre arbitre. Cette notion de liberté, inclus

DU TEXTE DE FREUD, Métapsychologie Il n’est pas facile de se connaître soi-même : c’est un constat banal pour tous ceux qui ont consacré du temps et bien des efforts à un travail d’introspection et d’auto analyse. Il semble bien que l’effort de la conscience pour atteindre la vérité du sujet soit vain ; n’est-ce pas là une bonne raison d’admettre l’existence d’une pensée inconsciente, d’un psychisme inconscient, comme le propose Freud dans cet extrait de la Métapsychologie ? Freud cherche à y

l'Académie de Vienne en 1892, qui jouit d'un grand renom. La ville est alors en pleine effervescence : Mahler compose ses symphonies, Gustav Klimt commence à peindre, Hugo von Hofmannstahl publie ses poèmes en prose, Karl Kraus s'active à philosopher, et Freud fait son apparition. C'est l'atmosphère de la ville qui le stimulera, plus que les cours qu'on lui donne à l'Académie, sensiblement semblables aux cours qu'il avait déjà reçus à Prague3.

Citations de Sigmund Freud : "Le peuple [hébraïque] qui parvint à une telle concentration des propriétés divines ne fut pas peu fier de ce progrès. Il avait dégagé le noyau paternel qui était de tout temps dissimulé derrière chaque figure de dieu ; au fond, c’était un retour aux débuts historiques de l’idée de Dieu. Dès lors, Dieu était un être unique, les relations à lui pouvaient recouvrer l’intimité du rapport de l’enfant au père. Cependant, si l’on avait fait tant pour le père, c’est qu’on voulait

confronte à la vraie vie, aux problèmes du monde. Le principe de base de l’art n’est pas d’être utile. Pour Freud, la création artistique s’expliquerait par la névrose, par l’affection nerveuse. L’art est donc utile à l’artiste, car il lui permet d’effacer le conflit entre le plaisir et la réalité. L’artiste est celui qui sublime ses pulsions dans la création artistique, selon Freud. Et c’est pour cela que certains basculent dans la folie : Vincent Van Gogh, Guy de Maupassant… Personne ne peut