Pseudo Aristote

supérieures aux lois positives par leur conformité à des normes supérieures. Idées reprises par Socrate, Platon et Aristote. Ils ont justifié les lois humaines, les lois positives par leur conformité à des normes supérieures. Platon : Les lois humaines doivent se conformer à des normes supérieures. Les lois positives doivent respecter la volonté des dieux, intelligence et raison. Aristote : Il fat référence à un droit naturel. Il existe au-dessus de la cité un droit naturel (conforme à la nature →

PEUT ON TOUT ATTENDRE DE L'ETAT Aristote explique dans les POLITIQUES I que , l'homme est un « animal politique » qui a montré à de multiples reprises qu'il ne pouvait pas vivre ailleurs qu'en société, du latin « societas »: association d'hommes unis par la nature ou par les lois , où autrui tient une place primordiale. C'est au sein de cette société que se met en place une politique définit comme étant l'art de gouverner; De fait, l'Homme se définit par son caractère social et vivant dans

penseurs et leurs conceptions du monde. Ils sont considérés comme les fondateurs de la tradition philosophique occidentale ; la période grecque classique (Ve siècle av. J.-C.), qui commence avec Socrate à Athènes et se poursuit avec Platon, Diogène et Aristote. Ce même siècle est également celui de la sophistique représentée par Gorgias et Protagoras, entre autres ; après les conquêtes d'Alexandre le Grand, vient ce que l'on a nommé la période hellénistique : Épicure, les Stoïciens ou les Sceptiques

mythes créateurs répondent chacun à leur manière à nos questions philosophiques. LA science n'échappe pas toujours à la tentation de se considérer comme vérité définitive et de produire des mythes d'autant plus dangereux qu'ils se couvrent d'une pseudo-rationalité scientifique. Un des caractères du mythe apparaît dans la manière dont il affirme la vérité du contenu de son discours, dans son immobilisme. Il apparaît que chaque fois que la science arrête son mouvement de dépassement elle produit

des hommes, celui-ci répondit que c'était Socrate lui-même, ce qui bouleversa profondément ce dernier et décida de sa « conversion »2. Il fréquentait les sophistes (Hippias, Protagoras...) et discutait souvent avec eux dans le but de démasquer leur pseudo-science. Il prend pour sienne la sentence écrite sur le fronton du temple d'Apollon à Delphes « Connais-toi toi-même » (Γνῶθι σεαυτόν : gnōthi seautón), qu'il ne faut pas comprendre au sens de l'introspection moderne, mais plutôt au sens où il convient

prouvée ou susceptible de l'être. En effet dès l'origine de la philosophie, les grands philosophes comme Platon et Aristote ont montré que le but de la recherche de la vérité était d'accéder à une connaissance du nécessaire et de l'universel et de dépasser par là la sphère de l'opinion changeante et incertaine. Telle est l'ambition de toute connaissance qui se dit scientifique. Aristote a montré que c'est par la démonstration que l'on établit la preuve d'une affirmation et par là son statut de vérité

proprement dite. Ils l’attribuent à deux Siciliens, Corax et son élève Tisias, personnages dont l’existence réelle est mise en doute. Cette « invention » est liée à la chute des tyrans qui eut alors lieu en Sicile. Selon une tradition attestée par Aristote et Platon, Corax aurait alors proposé ses services aux petits propriétaires dont les terres avaient été confisquées par les tyrans et qui, voulant les récupérer par procédure judiciaire, ne disposaient que de la parole pour soutenir leurs revendications

"citoyens" (une communauté très fortement structurée), ensemble indissociable ville et territoire. Un état souverain perçu comme tel par ses voisins (des lois, une constitution, une monnaie, des traités avec d'autres cités). "Un parti-pris de vie commune" Aristote Les non citoyens : les femmes, les étrangers, les non libres. I-Etre citoyen à Athènes sous un régime démocratique 1-la guerre et la politique : éléments de définition de l'homme grec Andreia : le fait d'être un homme, qui veut dire courage

pourquoi la société rit. En effet, l’Homme anime son rire par divers éléments déclencheurs. Dans l’antiquité, le rire découlait de l’ironie et de la catharsis. Socrate et Aristote utilisaient ces deux procédés pour dénoncer la société. L’ironie permettait à Socrate d’attaquer le pseudo-savoir d’autrui, l’ignorance des gens et, pour Aristote, la critique de la société se faisait par le théâtre, les spectacles, laissant à un public la possibilité de se purifier de ses défauts. L’apparition de la comédie

comme déterminé à exister et à se comporter d'une certaine manière." Spinoza, Traité théologico-politique. 1670. « Chacun n’est soumis qu’aux limitations régies par la loi. » DDHC, article 29, alinéa 2. III/ Un faux fondement du droit positif : le pseudo droit du plus fort. •Certains invoquent une justice naturelle contre les lois, comme les Sophistes, contemporains de Platon : dans la nature, est juste ce qui est à l’avantage du plus fort ; or les lois répriment les forts et protègent les faibles