Préface Mademoiselle De Maupin

l'Art pour l'Art, et la démystification de la mort, faux symbole de pureté et de beauté pour lui. De manière générale, l'Art pour l'Art reste tout de même le fil conducteur de l'auteur dans ce recueil. Théophile Gautier le dit dans la préface de Mademoiselle de Maupin : « Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien, tout ce qui est utile est laid. », inspiré, lui et Théodore de Banville par les paroles du philosophe allemand du XVIIIe siècle, Emmanuel Kant qui déclarer dans Critique

La Fontaine, « Fables » a.) Corpus d’examen b.) Éléments de biographie c.) Caractères, La Bruyère d.) Morale et art de vivre e.) Épicure – extraits f.) La gaieté g.) Thème de la mort h.) Théophile Gautier, Mademoiselle de Maupin, Préface (1880) Généralités Contexte historique Le Classicisme, 17ème siècle, une période d’ordre et d’autorité. C’est l’époque de Louis XIV, l’autorité des seigneurs féodaux diminue de plus en plus. Ce roi marque l’apogée de la monarchie absolue de droit divin : le

"Art pour l'Art" et originalité de l'œuvre. Avec Baudelaire, il faudrait aussi rappeler Théophile Gauthier, son contemporain et autre grand romantique. Il a parfaitement défini ce qu'était "l'Art pour l'Art" dans sa préface à "Mademoiselle de Maupin" qui est aussi un témoignage à charge contre la mercantilisation de l'art et l'asservissement de la critique. L'art pour l'art, c'est l'art romantique qui a conquis sa pleine autonomie et n'a plus de finalité autre qu'en lui

romantisme prône un ton impersonnel. « L’art pour l ‘art » comme l’a théorisé Théophile Gautier : « tout ce qui est utile est laid, car c’est l’expression de quelque besoin, et ceux de l’homme sont ignobles et dégoutants » écrit-il dans la préface de Mademoiselle de Maupin (1835) : c’est une écriture non engagée qu’il, ainsi que les Parnassiens, représentent tout en s’engageant contre la littérature engagée. À partir de 1848 le courant réaliste, d’avant-garde à l’époque, prend une certaine importance

obtenu le prix (lire la biographie de GAUDE Laurent...) GAUTIER Théophile Portrait de GAUTIER Théophile Théophile Gautier (1811-1872), après une période romantique, expose sa théorie de « l’art pour l’art » (culte du beau) dans la préface de son roman Mademoiselle de Maupin (1835) et (lire la biographie de GAUTIER Théophile...) GAVALDA Anna Portrait de GAVALDA Anna Anna Gavalda est née en 1970. C'est une romancière française que le public a découverte grâce à son recueil de nouvelles Je voudrais

groupe littéraire français de la 2nde moitié du XIXème siècle, succède à la période romantique où le lyrisme était selon les parnassiens à l'excès ainsi que l'engagement politique. Ces nouveaux principes littéraires sont définis dans la préface de mademoiselle de Maupin de Théophile Gautier. Ils disent : "Il n'y a de vraiment beau que ce qui peut ne servir à rien. Tout ce qui est utile est laid,…". Les parnassiens réunis autour de Lecomte de Lisle refusent une poésie de l'expression, de l'effusion des

" Tout art est parfaitement inutile. " Oscar Wilde, Préface au Portrait de Dorian Gray - 1891 Avant de jouir de l’importance qu’elle connaît aujourd’hui, l’oeuvre d’art, qu’elle soit littéraire, picturale ou encore musicale, a du lutter contre ses nombreux détracteurs. Accusés d’hérésie, d’amoralité, de perversion, de sadisme, les auteurs ont toujours du lui trouver une bonne raison d’exister et de tenir une place importante dans la société. Si l’on pouvait croire que cette

progressivement la tête du mouvement romantique et publie un manifeste retentissant dans la préface de Cromwell (1827), ainsi qu’un recueil (Les orientales, 1829). Le romantisme en tant qu’école est né. 1828, un second cénacle se compose réunissant cette fois : Vigny, Sainte-Beuve, Musset, Th. Gautier, Gérard de Nerval, Emilie et Anthony Deschamps. Ce jeune groupe très enthousiaste, lance de nouveaux manifestes (préface des Orientales ou celle des Etudes françaises et étrangères…) et milite dans les journaux

indépendantes, de deux centres d'actions, ou, si l'on veut, de deux personnes morales juxtaposées dans le même cerveau ; chacune a une œuvre, et une œuvre différente, l'une sur la scène et l'autre dans la coulisse » d’après Hyppolyte Taine dans la préface de la troisième édition de son ouvrage « De l’intelligence » paru en 1878) ou le cadavre exquis (« jeu qui consiste à faire composer une phrase, ou un dessin, par plusieurs personnes sans qu'aucune d'elles puisse tenir compte de la collaboration ou

fantastique ou le récit historique. Grâce à sa théorie de "l'art pourl'art", il est surtout connu pour être le maître de l'école poétique parnassienne. En 1835, reprenant et développant sa Préface d'Albertus (1832), Gautier consacre en effet le principe théorique de "l'art pour l'art" dans sa Préface de Mademoiselle de Maupin (1835). Les idées essentielles de cette théorie3 sont les suivantes : - L’art est désintéressé (il n’a aucun but utile) : il est lui-même sa propre fin. « Il n’y a de vraiment beau