Préface De Bérénice

des « domestiques ». Les propos de Rousseau et de Bénichou n'ont pourtant rien de révolutionnaires. C'est l'essence-même du texte théâtral d'être destiné à l'adhésion immédiate : « La principale règle est de plaire et de toucher » (Racine, Préface de Bérénice). Cette assertion dépasse la simple dichotomie entre le théâtre de l'ancien régime et le théâtre post-révolutionnaire. L'homme s'ennuie et l'ignorance lui est attachée depuis sa naissance [..] c'est pour cela qu'il va au théâtre Et il se

par des leçons agréables,​ ​reprend les défauts des hommes.​ » Molière La critique des mœurs individuelles et sociales est une source d’inspiration essentielle dans la comédie telle que la définit Molière quand il écrit dans la ​Préface du ​Tartuffe​ 1664 ​: « S i l’emploi de la comédie est de corriger les hommes, je ne vois pas pour quelle raison il y en aura de de privilégiés. ….Nous avo vu que le théâtre a une grande vertu pour la correction… .​ »​L’auteur

littérature potentielle ..................... Sujet 9. Objets d’étude : Le théâtre : texte et représentation. Convaincre, persuader et délibérer....... Texte A. Jean Racine, Bérénice, acte I, scène 1 ...................................................................................................... Texte B. Jean Racine, Bérénice, acte V, scène 5 (vers 1303-1347) ......................................................................... Texte C. Interview du scénographe et peintre Gilles Aillaud, Théâtre

Comment représenter l'Illusion comique ? Textes et documents complémentaires Textes | Documents iconographiques | Les « avant-textes » de L'Illusion comique : L'Epître à Mademoiselle M.F.D.R.(1639) L'Examen (1660) de CORNEILLE. Préface à L'Illusion comique G.STREHLER (1987) D'autres extraits présentant le procédé du théâtre dans le théâtre : La Vie est un songe CALDERON DE LA BARCA (1635), Hamlet SHAKESPEARE (1660), L'Impromptu de Versailles MOLIERE (1665), Les Acteurs de bonne

lieu, nous allons voir que malgré le succès incontestable des œuvres ayant répondus aux attentes de Boileau, certains auteurs ne sont pas d’accord mais ont connu un succès tout aussi important. Ainsi, V. Hugo, théorise le drame romantique dans la préface de Cromwell en 1827. Ce genre est en complet désaccord avec les règles classiques notamment celle des trois unités car les auteurs appartenant à cette pensé littéraire accuse ces codes de leur faire perdre leur géni. La bienséance et la vraisemblance

triomphe avec 'Andromaque', un modèle de rigueur classique et de poésie tragique bientôt égalé par 'Phèdre' en 1677. Successeur et surtout rival de Corneille, Racine s'attaque aux sujets romains qui font la renommée du maître : 'Britannicus' en 1669 et 'Bérénice' en 1670 consacrent le nouveau favori des scènes parisiennes. A la demande de Madame de Maintenon, Racine écrit une pièce à sujet biblique, 'Esther', représentée avec succès devant la cour du roi Louis XIV. Janséniste, auteur d'un 'Abrégé de l'histoire

ainsi son personnage : « Je présente le grand Pompée à votre Éminence, c'est-à-dire le plus grand personnage de l'ancienne Rome au plus illustre de la nouvelle. » ‘’Pompée’’ était précédé d'un « Remerciement à Monsieur le cardinal Mazarin » et d'une Préface où Corneille, comme à l'accoutumée, indiqua ses sources ; cette fois, elles étaient multiples : ‘’La Pharsale’’ de Lucain, dont il avait traduit et inséré quelques vers dans sa tragédie ; Velleius Paterculus et bon nombre d'autres historiens latins

père Goriot, reflète la supériorité dont se croit investie l'aristocratie sous la Restauration. II. Reflet déformé Le romancier sélectionne les éléments intéressants da la vie des personnages , que ce qui est « utile […] à son sujet » (Maupassant, préface de Pierre et jean) Les romanciers doivent séduire leur public : Zola, écrit sous forme d'épisodes, Le personnage romanesque reflète forcément, un point de vue subjectif, celui du romancier. Albert Camus, L'Etranger, Bel Ami de Maupassant, où l'auteur

de l’anonymat s’ajoute d’autres pratiques de la littérature galante qui admet le jeu et la fragmentation de l’écriture. De plus le roman intéressait plus les femmes, les nobles y voyaient un genre agréable et non pas à travailler. Mlle de Scudéry, Préface de Mathilde 1667 présente le jeu du roman ; Mais MDLF assortit à ce jeu mondain des exigences rigoureuses qui donne du sérieux au travail collectif. ( Correction de Ménage pour sa 1ere Fiction ; aide de Huet et Segrais pour Zaïde).

éléments sérieux : c’est ce qui fait la caractéristique de l’art médiéval. A cause de cette spontanéité, le théâtre médiéval mêle la danse et le chant au dialogue. 3- Le théâtre classique 1. L’élaboration de règles Racine écrit dans la préface de Bérénice : « La principale règle est de plaire et de toucher ; toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première. » Le théâtre du XVIIème siècle se donne des règles en réfléchissant sur les pièces antiques : ‘Qu’en un lieu qu’en un